ADEPTE DE TOUS LES PLAISIRS

Il y a quelques années, jamais je n'aurais imaginé pouvoir raconter mes histoires de cul. Je n'étais pas la dernière des gourdes mais tout ce qui touchait au sexe me faisait peur. J'avais la terrible angoisse de coucher et de me retrouver nue avec un homme et couchée dans le même lit. Mes angoisses, c'était de mal faire les choses, de ne pas être à la hauteur, de paraître ridicule et d'être incapable de m'occuper du sexe de mon partenaire. J'étais pleine de doutes et remplie d'hésitations même si je savais que je plaisais beaucoup aux garçons. Et plutôt que d'être confrontée à leur désir ( et à leur queue toute dure devant moi, si j'ose dire ), je préférais me masturber et vivre des relations imaginaires. C'est en arrivant à la faculté de Bordeaux que je me suis complètement dévergondée, au grand dam de mes parents qui espéraient, pour moi, des études brillantes et une carrière réussie dans la magistrature. A Bordeaux, j'ai fait la connaissance d'Aurore. Comme moi, elle était étudiante. Nous avons sympathisé sur les bancs de l'amphi et elle m'a proposé de partager avec elle son grand appartement tout en payant la moitié du loyer. Aurore était le contraire de moi. Elle parlait de garçons et de cul sans arrêt et vivait quasiment nue toute la journée. Elle me racontait ses expériences dans les moindres détails. Elles préféraient les hommes murs et mariés. La situation de maîtresse et les relations troubles des rencontres adultères l'excitaient beaucoup. Cela se passait le plus souvent dans des hôtels ou dans des garçonnières discrètes. Je savais tout de ses rendez-vous clandestins et j'étais souvent jalouse d'elle quand elle rentrait à la maison et me disait, sans aucune gêne : «Il m'a bien baisée, le salaud ! Je n'ai pas arrêté de jouir. Je n'en peux plus.» Aurore n'amenait jamais ses amants à la maison pour rester totalement libre. Elle leur faisait croire qu'elle vivait encore chez ses parents. Quant à moi, je n'avais rien à lui raconter. Parfois, je mentais mais Aurore semblait s'en apercevoir tout de suite et je rougissais. Un jour, elle m'a lancé : «Ne me dis pas que jolie comme tu es, tu es encore pucelle !» C'était pourtant vrai. À dix-huit ans, mon sexe n'avait connu que mes doigts. Et c'est Aurore qui s'est chargé de me pervertir et de me faire découvrir tous les plaisirs du libertinage. Non pas en me présentant à l'un de ses nombreux partenaires mais en s'en chargeant elle-même. Un soir, elle est venue se glisser dans mon lit. C'était juste pour bavarder un peu Elle ne portait qu'une petite culotte en dentelle et, après m'avoir raconté ses dernières aventures avec un toubib de la ville, elle m'a questionné sur les miennes avant de me demander, sur le ton de la plaisanterie : -«Tu n'es pas gouine, au moins ? Remarque, j'ai rien contre les filles qui font ça entre elles.» Deux minutes plus tard, elle m'embrassait en ajoutant : -«C'est même très bon, entre filles.» Je n'avais jamais eu de fantasmes bisex pourtant, je ne refusais pas sa bouche ni ses mains qui caressaient déjà mes seins et dont je sentais les pointes s'ériger sous ses doigts. En riant. Aurore m'a dit : -«Je vais t'apprendre à être une bonne petite salope.» Ses lèvres se sont de nouveau posées sur les miennes et sa main est descendue lentement sur mon ventre avant d'atteindre ma chatte. J'étais déjà toute mouillée. Entraînée par un délicieux tourbillon de sensations, je me laissais faire et j'écartais bien mes cuisses pour m'offrir aux attouchements de ma copine. Aurore a quitté ma bouche pour pencher sa tête vers mes seins. Elle a sucé et léché mes tétons l'un après l'autre. Plusieurs fois, elle m'a répété : -«Tu aimes ce que je te fais ?» J'avais trop de plaisir pour lui répondre d'autant plus que ses doigts excitaient toujours ma vulve. Pourtant, je ne me sentais pas du tout gouine mais j'adorais ce qu'elle me faisait et je n'avais qu'une envie : qu'elle continue ! Ce fut encore plus fort quand Aurore s'est mise à embrasser ma chatte et à la titiller avec la pointe de sa langue. Elle l'insinuait entre mes lèvres que je sentais gonflées de désir et s'attardait sur mon clitoris, me faisant gémir de plaisir. -«Qu'est-ce que tu mouilles ! Il était temps de te faire dépuceler, je crois !» Ses caresses me rendaient folle. J'étais

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MARDI 10 MARS 2015

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