L AMOUR APRÈS LE VOYEUR DU CHANTIER

À peine arrivée chez elle. Claire eut droit à un concert de protestations de la part de son mari et de ses enfants : -«Ah, te voilà enfin !» -«On commençait à se faire du souci !» -«Moi j'ai faim !» Afin de mettre fin à ces agressions verbales. Claire dut rapidement inventer une excuse valable pour son retard ; elle leur expliqua alors, qu'il y avait eu un accident sur la route et que celui-ci avait occasionné un bouchon. Puis la faim étant la plus forte, tout le monde prit place autour de la table de la salle à manger, où tout en s'alimentant, chacun y alla de son anecdote sur les dangers de la circulation. Très vite Claire se désintéressa des propos échangés autour d'elle pour se remémorer les enivrants moments qu'elle avait vécu sur ce chantier désert. Mais si les échanges amoureux partagés avec son jeune amant dans l'intimité de la Clio lui remontèrent tendrement en mémoire, ils furent vite chassés par la vision de cet homme qui avait espionné leurs ébats en se masturbant. L'image de ce gland crachant sa semence laiteuse contre la vitre de la voiture la bouleversait à tel point, que les moments, pourtant fort agréables passés avec Guillaume, s'estompèrent au profit du souvenir de cet inconnu. Sous ces images qui défilaient dans son esprit, une bouffée de désir se propagea au plus intime de sa féminité, la faisant doucement mouiller sur sa chaise. Avec amusement elle songea à sa culotte encore tout humide de sa jouissance récente. -«Maman !» -«Oui ? Qu'est-ce que tu disais ? S'inquiéta Claire revenant brutalement à la réalité du repas.» -«Je te demandais, lui répéta Isabelle, si tu voulais bien me prêter ta voiture cet après-midi. J'ai promis à Jacqueline de passer la voir.» -«Si tu veux ma chérie. A la condition que tu m'aides à faire la vaisselle, accepta Claire.» -«Tu pourras me déposer à la vogue ? S'empressa de demander René à sa s ur aînée.» -«D'accord, à condition que tu nous aides à faire la vaisselle, accepta celle-ci en reprenant les conditions de sa mère.» Le repas dominical se termina dans la bonne humeur pour les enfants, dans une espèce de langueur érotique pour Claire. Jacques, laissant les membres de sa famille s'occuper de la vaisselle à la cuisine, alla s'installer dans un fauteuil face au poste de télévision, afin de suivre les informations de treize heures… La vaisselle lavée et rangée. Isabelle entraîna son jeune frère, s'empressa de s'installer avec un plaisir évident derrière le volant de la Clio, sous le regard attendri de Claire qui leur fit un signe de la main. Une fois la voiture disparue au bout de la rue. Claire regagna le salon où Jacques, confortablement installé dans son fauteuil fixait l'écran de télévision. Comme le désir qui lui humidifiait l'entrecuisse ne s'estompait pas. Claire songea qu'il lui fallait à tout prix calmer ce besoin érotique. Pour cela elle allait devoir demander à son époux d'éteindre de sa lance ce brasier qui lui consumait les entailles. Connaissant les habitudes de son mari, elle se dirigea vers le bahut où était rangés les alcools, afin de lui servir son verre de Cognac hebdomadaire. Apportant le verre ballon où miroitait l'alcool, elle demanda à Jacques : -«Tu ne trouves pas que j'ai un peu grossi J'ai pris un derrière énorme !» Et comme pour donner plus de poids à ses paroles, elle posa le verre de cognac sur un guéridon et pivota sur elle-même, plaquant ses mains sur ses hanches agréablement galbées et se pencha légèrement en avant afin de mettre en évidence sa croupe rebondie dont elle connaissait le pouvoir érotique sur son mari. Malgré l'engourdissement qui commençait à l'envahir. Jacques ne put s'empêcher de poser un regard gourmand sur les fesses dodues de son épouse. Du fait de la position de cette dernière, le tissu de la courte jupe se plaquait sur les rondeurs jumelles, les dessinant avec une précision réelle. Sous le léger vêtement épousant le contour du postérieur évasé de sa femme. Jacques discerna avec émoi le relief de la culotte qui enserrait le cul rebondi et cette vision terriblement érotique, éveilla en lui un incontestable désir. Dans son slip son membre frémit légèrement. -«Tu ne trouves pas que j'ai pris des rondeurs, continua Claire en passant ses mains sur ses hanches dans un effleurement plein de sensualité.» -"Tu te fais des idées, lui répliqua Jacques, la gorge nouée Tu as toujours un cul

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JEUDI 28 JANVIER 2010

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