LES AVENTURES DE SPARTANUS III

Spartanus était devenu le roi de l'arène. Pendant chaque spectacle, il réussissait à sodomiser plus d'esclaves qu'au précédent. On venait à présent de toute l'Italie pour le voir. Même à Rome, on ne parlait que de lui. D'ailleurs, il était question qu'il s'y rende pour faire son show. Il était devenu le chouchou du propriétaire de l'école de gladiateurs, à tel point qu'il n'avait même plus de problème lorsqu'on le suprenait en train d'enfiler sa grosse queue dans l'anus des gardes. Malgré tout cela. Spartanus n'était pas satisfait. Son maître s'appropriait la gloire de ses succès. Ce n'était pas juste. C'était lui la star, c'était lui le seul homme capable de sodomiser des dizaines d'individus par show. Qu'avait fait son maître à part l'acheter ? Absolument rien. Spartanus continua toutefois d'être sage pendant quelques temps. Il forma quelques autres gladiateurs qu'il aimait beaucoup à l'art de la sodomie. Ils eurent même le privilège de l'assister pendant son spectacle. Un jour. Spartanus leur dit : - Mes frères, mes chers amis, un jour, je vous le dis en vérité, je serai à la tête d'une armée et vous serez mes fidèles lieutenants. L'un d'eux répondit : - Et nous tuerons tous les Romains qui se dresseront devant nous. - Non ! Dit sèchement Spartanus. Non, mon fougueux ami gaulois. Nous ne les tuerons pas. Nous les sodomiserons. Et dès lors, le seul but de Spartanus fut de lever une armée. Mais pour cela, il lui fallut s'échapper. Il n'eut aucun mal à dresser tous les gladiateurs contre les Romains. Il se garda simplement de leur dire qu'il comptait monter une armée de sodomiseurs. Un jour, à son signal, tout le monde se jeta sur les gardes pour les mettre hors d'état de nuire. Spartanus et ses amis s'accroupirent au-dessus de quelques victimes et les enculèrent jusqu'à ce qu'ils aient l'anus en feu. Ensuite, ils montèrent dans les appartements de leur maître, qui se trouvait en compagnie d'un jeune minet complètement glabre. Spartanus s'approcha du gros homme et lui dit : - C'est fini, ô mon maître. Tu as perdu. L'homme garda son sang-froid. - Je t'ai toujours bien traité. Spartanus. Tu es injuste de vouloir me tuer. Je t'ai donné ta chance alors que d'autres t'auraient tué directement. Sois clément. - Je n'ai nullement l'intention de te tuer. Mais nous allons vous faire votre affaire à toi et à ton ami. C'est le jeune homme qui protesta cette fois. - Mais je n'ai rien fait moi. Je ne mérite pas cela. - Juste, répliqua Spartanus, mais j'ai bien envie de t'enculer. Et il fit ce qu'il avait dit. Il coinça le jeune homme, lui cracha trois fois dans l'anus et y pénétra ses doigts, jusqu'à ce que le degré de dillatation lui parasse correct. Il s'assura par quelques allers retours de la main que son légendaire phallus était disposé à pénétrer sa victime, puis il l'encula enfin, genoux contre terre et bite dans le cul. Motivé par la peau douce des fesses du minet, il ne tarda pas à lui éjaculer sur le cul. Puis il passa à son ancien maître, que ses camarades avaient déjà tous sodomisé. Celui-ci suait comme un gros porc et semblait à bout de souffle. Spartanus le fit toutefois mettre à quatre pattes et le prit par derrière. Il se mit à le sauter en lui demandant si ça ne faisait pas bizarre de se faire ravager l'anus par celui dont il y a encore peu de temps on était le maître. Tout en soufflant bruyamment, le gros homme répondit : - Tu es toujours mon esclave Spartanus. Les soldats vous retrouveront et tu me seras remis. Ce que tu es en train de me faire, je te le ferai subir cinquante fois et par des Numides bien membrés. Ton trou du cul ne sera plus qu'une gigantesque bouche d'aération avant que je ne te fasse bouffer par les lions. Nullement inquiet. Spartanus se retira en riant et en répliquant : - En attendant, maître, le tien me fait déjà penser à un pot d'échappement. Après ces réjouissances, la petite troupe prit la fuite, car tôt ou tard, allaient arriver les troupes du gouverneur. Les gladiateurs révoltés gagnèrent une petite montagne toute proche et s'y retranchèrent. L'endroit était particulièrement bien choisi ; on y avait une bonne vue et son accès restait difficile pour des troupes importantes. Spartanus décida de fortifier l'endroit et d'y rester quelques temps pour monter une petite armée et s'entraîner pour mener des raids de sodomie rapides et efficaces. Dès le premier soir. Spartanus ne se sentit pas bien. Ses…

» Plan cul Bois-Guillaume

MARDI 5 DéCEMBRE 2006

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