BÉNÉDICTE AU CINÉ

Quelques temps après notre rencontre, Bénédicte et moi sommes allés au cinéma. Nos fantasmes partagés, elle être vue et moi l'exhiber, restent notre principale occupation les jours où nous partons à l'aventure. Notre désir et plaisir de vivre des situations insolites montaient à l'unisson et Béné, en confiance, se révélait une vraie petite salope. Nous avions décidé de commencer notre soirée par un bon film. Arrivés dans la salle pratiquement vide, nous choisissons une place au fond, éloignée de l'allée centrale. Béné, toujours très sexy, a une jupe courte évasée, les seins nus sous un chemisier largement échancré. Ses seins superbes sont sa fierté et la mienne. J'aime autant qu'elle voir les hommes la déshabiller du regard et elle fait tout pour cela. Quelques minutes après le début de la séance, je suis penché sur elle et je la caresse. J'ouvre son chemisier juste en dessous de sa poitrine et je tète ses boutons roses. Ma main pelote à travers le slip minuscule sa petite chatte déjà toute gonflée et son clito qui bande sous la dentelle. Elle est tellement sensuelle qu'elle démarre au quart de tour. À la lueur de l'écran, j'aperçois deux ombres se glisser dans notre rangée, à quelques sièges de nous. Nous constatons vite qu'il s'agit d'un couple et que leur occupation est assez similaire à la notre. Ils s'embrassent à pleine bouche et l'on devine la main du garçon se promener des cuisses aux seins de sa compagne, qui est, elle, la plus proche de nous. À priori cette main ne cherche pas encore à s'immiscer sous les vêtements. Je fais remarquer au bout de quelques temps à ma compagne : - Ils ont l'air plutôt sage ! Tu crois que notre présence les intimide ? Ils n'ont pas dû nous voir en arrivant. - Demande-leur ! Me dit-elle en riant. - Je vais plutôt les mettre à l'aise. Tandis que nous échangeons un baiser passionné, j'entreprends de défaire un à un les derniers boutons de son chemisier. Béné sent bien ma man uvre et se contente d'enfoncer sa langue dans ma bouche. J'écarte largement le pan de son vêtement et le maintien de ma main passée derrière ses épaules. Je masse le joli sein découvert. Je remarque que le garçon, s'il ne cesse d'embrasser sa compagne, s'est positionné de façon à nous voir, et que son regard ne quitte plus Bénédicte. Je sais que ce sein, de profil, est superbe et le gars doit se rincer l' il. Ma compagne, loin de s'offenser de mon manège, lance de fréquents coups d' il à son admirateur. Je caresse et soupèse sa poitrine comme un melon et, de l'autre main, pelote sa cuisse en remontant sa jupe. L'accoudoir doit en partie cacher mon geste mais le garçon ne peut ignorer que je branle ma compagne. La position de ses jambes, très écartées, est sans équivoque. Il a dû le faire remarquer à son amie car elle aussi se tourne souvent vers nous mais nous la voyons réagir quand il cherche à s'immiscer sous sa jupe. Elle n'est visiblement pas prête à s'exhiber et je remercie à nouveau le hasard qui m'a permis de rencontrer Bénédicte. D'une pression de la main, j'invite Béné à écarter plus grand encore ses cuisses, repoussant sa jambe jusqu'à la poser sur l'accoudoir de son fauteuil. Ainsi ouverte, offerte, légèrement tournée vers ses voisins, sa position est totalement indécente. j'en profite pour glisser la main dans son slip et branler son bouton dressé. La tète au creux de mon épaule, elle se laisse branler. Son sillon est humide et quand je plonge un doigt à l'entrée de son vagin gluant, elle gémit et se cabre dans mes bras. Nos deux voyeurs ne nous quittent plus du regard. Si la situation les gênait, je pense qu'ils auraient changé de place. Je caresse Béné de plus en plus profondément et j'ai maintenant deux doigts qui s'agitent au fond de sa cramouille en produisant un bruit de clapotis tout à fait obscène mais très excitant. Je ne crois pas qu'ils puissent l'entendre, pourtant ils doivent percevoir les gémissements de ma petite pute. Elle me caresse à travers mon pantalon et je sens ses doigts s'attaquer à ma ceinture. Je l'aide à me dégrafer et durant de longues minutes, nous nous masturbons réciproquement. La situation est très excitante et nous pousse à aller plus loin. D'autant que nous sentons leur regard sur nous et que la fille, jambes écartées, a autorisé son compagnon à la trousser et se laisse visiblement branler, en partie protégée par son accoudoir, hélas

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VENDREDI 27 AVRIL 2012

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