BOULOT JOUISSIF

La semaine dernière, j'ai placé une annonce dans plusieurs journaux afin de me dégoter un petit boulot de domestique. Avec mon statut d'immigré fraîchement arrivé, je ne pouvais espérer mieux que de faire une peu de jardinage et des taches ménagères pour des bourgeois. Je devais au moins commencer par ce type de travail pour espérer me trouver un appartement sur Paris. Cela faisait maintenant un an que je vivais en France et que j'habitais chez des amis. Ils allaient se marier d'ici un an ou deux, comptaient s'acheter une maison au plus tôt et Béatrice attendait son premier bébé… Je savais donc que ma présence chez eux était de moins en moins souhaitée. Bref, une seule personne m'a téléphoné pour demander mes services, un homme extrêmement riche et seul qui me proposait d'occuper les appartement que sa femme occupait à l'époque, mais qui était malheureusement décédée d'un cancer depuis. Il n'avait pas d'enfant pour partager cet immense domaine, pas de chien, juste des domestiques. J'avais peine à croire ce qui m'arrivait, c'était trop beau pour être vrai. J'allais sûrement connaître le vice caché lors de mon entrevue, le samedi suivant. En m'endormant ce soir-là, je songeai que ce vieux de la vieille qui a vécu séparément de sa femme toute sa vie ne pouvait supporter la solitude. Quelle triste ironie ! Je me présentai chez lui le samedi car pendant la semaine, je travaillais comme assistant dans une poissonnerie. Encore une cruelle ironie car le poisson me fait horreur ! Ma joie était grande en ce samedi matin lorsque j'arrivai à la porte du domaine qui, franchement, devait faire 1000 acres minimum, avec des rangées de cyprès faisant office de clôture ! Le vieux ne prit que quelques minutes de son temps pour m'annoncer que j'étais le seul candidat. Il me donna la description de tâches que je pus parcourir en quelques secondes et que je glissai ensuite dans la poche de ma veste. Mon déménagement était prévu pour le week-end suivant, ce qui tombait bien car Béatrice allait accoucher d'un jour à l'autre. Le samedi. Patrice, mon colocataire, m'aida à déménager mes maigres biens dans l'immense domaine de mon nouvel employeur. Il siffla d'admiration en voyant où j'allais vivre et me souhaita bonne chance avant de s'éclipser. Je restai seul et je dépaquetai mes affaires dans l'après-midi. À cinq heures, une petite cloche annonça le dîner. Je descendis dans les appartements de Simon et je remerciai le cuisinier qui nous servit des plats tous plus raffinés les uns que les autres. Le vieux Simon profita de cette occasion pour me décrire plus spécifiquement mes tâches. Il m'offrit d'emblée une augmentation de 300 % sur mon salaire, en plus du droit d'utiliser son antique Jaguar comme bon me semblait, en échange d'un boulot supplémentaire. Il rougit un instant avant de me dévoiler cette fameuse tâche qu'il était prêt à payer très cher. Mais avant que je puisse répondre par la négative, il se leva et me demanda d'y penser avant de prendre toute décision. Je ne pus finir mon dessert et j'allai dans la douche pour me rafraîchir les idées. Le vieux me demandait carrément de faire le ménage pendant la semaine, et de m'exhiber dans nos appartements un week-end sur deux, seulement vêtu d'un jockstrap en cuir. Il avait dissimulé plusieurs orifices derrière des tableaux de grands peintres et ainsi, il avait le loisir d'y glisser son doigt et d'écarter le cadre pour épier. Je le sus lorsque je vis l'un des cadres bouger alors que j'avais tout juste terminé de me vêtir. Le vieux mateur aurait tout aussi bien pu me mater directement, bien assis dans son fauteuil, mais voilà qu'il semblait avoir transformé sa maison en immense peep show… Je me demandai s'il le faisait avec feue sa femme. C'était peut-être la vraie raison pour laquelle elle habitait à part, afin qu'il puisse s'adonner à sa perversité sans retenue. Il avait aussi rajouté une clause au contrat verbal qui lui permettait de disposer de mon corps comme bon lui semblait, le week-end, quand ses serviteurs étaient absents. Je devrais alors me plier à tous ses fantasmes, et c'est bien à ce niveau que j'avais encore quelques réticences. Le lendemain, j'enfilai le jockstrap et je me contemplai dans la glace par curiosité. Je me sentis aussitôt observé et ça me fit bander un max ! Je rougis, je m'habillai en gardant le dessous provoquant et j'allai donner ma réponse à Simon. Il lisait un dossier

» Plan cul Dembeni

VENDREDI 23 DéCEMBRE 2011

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