BRUNO MON MAÎTRE À JOUIR

Je crois, tout d'abord, qu'il est nécessaire de me présenter. Je m'appelle Marie-Laure, j'ai vingt-huit ans et j'habite la jolie ville de Toulouse. J'y suis née, j'y ai poursuivi mes études et aujourd'hui, je travaille comme secrétaire dans un laboratoire d'analyses médicales. J'aime plaire, donner envie de moi et exciter les hommes. J'ai toujours eu une nature assez exhibitionniste. Déjà, me promener nue sur une plage, devant des beaux mecs qui ne cessent de me mater, me procure des sensations troubles et intenses. L'été, je ne porte que des choses très légères, des jupes courtes et moulantes, des t-shirts échancrés sans soutien-gorge par-dessous. Et quelques fois, je vais jusqu'à oublier volontairement de passer une petite culotte ce qui me procure une irrésistible envie de faire l'amour. Séduire reste une obsession chez moi et je fais tout mon possible pour attirer les regards. Mais n'allez pas croire que je suis seulement excitée par le fait d'allumer. J'adore le sexe, j'adore jouir. Je ne pense pas être plus salope qu'une autre femme mais j'assume mes désirs et je cherche constamment à réaliser mes fantasmes. M'exhiber sur Internet est une grande première, pour moi. L'homme qui m'accompagne sur les photos s'appelle Bruno. C'est mon petit copain. Baiser devant l'objectif d'un appareil à photos l'a excité tout autant que moi. Bruno est électricien. Il a créé sa propre entreprise et il n'est pas rare que je vienne le retrouver sur l'un de ses chantiers, rien que pour m'offrir à lui. Ou alors, dans ses ateliers quand je sais qu'il est tout seul. Nos étreintes sont rapides mais délicieuses. Nous ne nous déshabillons pas. Il ouvre simplement sa braguette et écarte ma culotte pour me prendre. Il me baise debout contre un mur, assise sur l'établi, demi-couchée sur son bureau… Généralement, je jouis très vite et très fort. J'aime Bruno et je suis folle de sa queue ! Je pense que vous en rendrez facilement compte avec les quelques clichés de nous deux. Il nous arrive de faire l'amour sensuellement, avec beaucoup de douceur et de tendresse. Mais, suivant mon humeur, je peux avoir envie de plaisirs plus pimentés et de lui réclamer plus de vice et des caresses plus osées et plus perverses. Je mouille énormément quand il me traite comme sa chienne, comme sa petite pute à tout faire et que je ne dois rien lui refuser. Ca, j'adore. J'adore me sentir complètement dominer et soumise à ses désirs les plus fous, les plus scandaleux. A lui de me diriger, de m'ordonner de bien prendre sa queue dans ma bouche pour la sucer à fond, de lécher son gland, ses bourses, de me placer en levrette pour lui présenter aussi bien ma chatte que mon petit trou. Je le laisse m'attacher et me bander les yeux, s'il le désire. Prisonnière et ligotée sur le lit, mon corps lui appartient dans sa totalité. Il peut le pénétrer longuement avec des objets divers et en jouir comme il le souhaite. Raser mon sexe, si cela l'amuse et bien d'autres choses… J'ai fait la connaissance de Bruno, il y a deux ans. Une rencontre assez banale, à la terrasse d'un café de Toulouse. J'étais attablée devant mon Perriere-rondelle, je laissais libre cours à mon imagination tout en regardant le flot des gens passer dans la rue. C'était une journée de début de printemps, j'étais en congés, il faisait un temps agréable et ensoleillé. Beaucoup d'hommes me dévisageaient puis. Bruno est arrivé. Il a garé sa moto, une grosse cylindrée, juste à côté de la terrasse et il est venu s'asseoir à la table voisine. Deux minutes après, il me branchait Il était tout à fait mon genre d'hommes et, avant même d'en savoir un peu plus sur lui, je m'amusais déjà à l'allumer, à le provoquer, à jouer le jeu de la séduction. Bruno a trouvé plus « sympa » de poursuivre notre conversation en me demandant de venir m'asseoir à sa table. Quelques minutes plus tard, je chevauchais sa moto, accrochée à sa taille et excitée d'aller faire l'amour, je ne sais où, avec cet inconnu. Je m'étais décidée à le suivre sans réfléchir, n'écoutant que mon corps et le désir qui le tenaillait depuis que j'avais quitté mon studio. En plus, j'adore ce genre de situation : me donner à un homme d'une manière presque anonyme. Prendre du plaisir avec lui puis, le quitter et ne garder que le souvenir de nos ébats. C'était sans doute l'une des raisons qui a fait que je n'avais jamais cherché

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DIMANCHE 1 MARS 2015

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