DANS LES CALANQUES…

Salut, les mecs ! Je m'appelle Fabien, j'ai 34 ans. J'habite à Marseille où je bosse comme dessinateur industriel pour une boîte de sous-traitance dans l'aérospatiale. Physiquement, je suis brun, plutôt baraqué, 1 mètre 82 pour 75 kilos, beau mec, moustachu et doté d'une tige de 18 cm sur 5cm. Côté baise, je suis attiré par les plans bien vicelards, à deux ou plus. Ce qui m'excite, c'est mater des mecs qui s'enculent tout en me faisant tailler une bonne pipe. Je suis très voyeur. Mais je préfère nettement la réalité aux films porno. Même si j'en achète ou si j'en loue de temps en temps. Et à Marseille, je connais plusieurs coins pour venir reluquer de jolis culs en attente d'une belle queue pour se faire défoncer. Il y a d'abord les calanques de Luminy. Mais depuis que la mode est à l'escalade ou la randonnée, elles sont de plus en plus désertées par les homos à cause du va-et-vient incessant des touristes, des marcheurs du dimanche et des rois de la grimpe ! Un peu moins connues, mais aussi pleines d'imprévues, il y a les calanques de Cassis, à quelques kilomètres de Marseille. Je vous conseille d'éviter les plus fréquentées, style Port Miou, plutôt réservées aux couples échangistes hétéro et de marcher en direction des criques plus éloignées et un peu plus difficiles d'accès. C'est l'étalage de culs, de bites et de corps bien bronzés. C'est aussi l'endroit privilégié des voyeurs et des exhibitionnistes. Une des plus belles séances de baise à laquelle j'ai assisté, s'est déroulée en Septembre dernier. Il faisait encore très beau mais il y avait beaucoup moins de touristes au bord de la mer. Je suis arrivé en moto par un sentier que seuls les initiés connaissent et qui m'évite une demi-heure de marche dans des chemins pierreux. Je sortais de mon boulot, il n'était guère plus de dix-huit heures et le soleil commençait à disparaître dans la mer à l'horizon. Mes deux petits salauds se trouvaient sur un rocher plat, au ras de la mer. Un noir athlétique et un petit blondinet, complètement à poil tous les deux. Le blondinet, à genoux entre les cuisses de son pote, en train de pomper une tige énorme, noire et raide comme un piquet. Je les surplombais avec une vue imprenable sur la bouche qui s'activait sur le pieu d'ébène, à un rythme frénétique et passionné. J'ai senti aussitôt la mienne se raidir sous mon froc. Le spectacle était superbe, si superbe que je n'ai pas tardé à ouvrir ma braguette pour m'empoigner. L'étalon noir avait une tige qui ne devait pas faire loin de 22 centimètres, un engin très épais avec un gland énorme. L'autre s'efforçait d'en avaler le plus possible entre ses lèvres. De temps en temps, il mettait quelques coups de langue sur les couilles, tout en branlant la tige puis, il se remettait à la pomper. Je n'ai pas tardé à être repéré, vu que je ne faisais rien pour me cacher. Mais cela ne les a pas empêchés de continuer. Imperturbable, le petit minet blond a continué sa pipe, levant de temps en temps les yeux vers moi. Je crois que c'est ça qui lui plaisait, voir un mec s'astiquer la tige pendant qu'il dévorait la pine de son copain. Son pote me regardait lui aussi, par moments. Il m'adressait un sourire, l'air de dire : - Tu as vu ce salaud comme il pompe bien ! J'ai décidé de m'approcher et je suis descendu vers eux, ma queue toujours raide, sortie de ma braguette. Je suis arrivé sur le rocher plat et après le petit salut d'usage, ils m'ont proposé de continuer à jouer le mateur. Comme j'étais là pour ça, j'ai repris ma tige dans mes doigts, leur laissant carte blanche pour leur petite exhibition. Et je n'ai pas été déçu, loin de là ! Le petit minet blond est venu s'accroupir sur le visage de son pote, pour se faire lécher le cul à grands coups de langue. Il triquait comme un salaud, lui aussi, une tige fine qui restait plaquée sur son ventre avec le gland rose bien décalotté. Une petite paire de couilles blondes et fripées pendaient au-dessous. Rien à voir avec la carrure d'athlète de son copain qui avait les abdominaux bien dessinés, les pecs saillants et des cuisses de sprinter américain. Lui, il était plutôt frêle, le corps menu mais avec une jolie gueule. Une vingtaine d'années, guère plus. Il a fini

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VENDREDI 27 JANVIER 2012

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