CAROLINE ET NOTRE GONZESSE 1

Cette année-là, ma s ur Caroline, qui était alors âgée de vingt-et-un ans, deux ans de moins que moi, était partie étudier en Grande-Bretagne, dans le but d'améliorer sa pratique de la langue anglaise. Elle était revenue pour la première fois dans notre petite ville alpestre au cours des vacances de Noël, à la grande joie de toute la famille. Elle était accompagnée de sa meilleure amie. Alison, avec qui elle partageait un appartement à Londres. Celle-ci, qui était passionnée par la montagne, désirait découvrir la région et ma s ur, qui la connaissait mal, me demanda d'organiser une balade à skis afin de leur en faire découvrir les plus beaux sites. Nous décidâmes de partir deux jours et de passer une nuit dans un chalet que nous avions loué. La première journée, qui se déroula sous un ciel superbe, fut un véritable enchantement. Comment aurait-il pu en être autrement, avec la beauté des paysages enneigés, à laquelle s'ajoutait pour moi celle des deux superbes filles qui m'accompagnaient ? Alison, je ne l'ai pas encore dit, était aussi brune que ma s ur est blonde. Elle était aussi plus grande que celle-ci et possédait, pour autant que je pouvais en juger, des seins et une croupe tout aussi généreux que ma jolie s ur. Nous parvînmes au chalet épuisés mais ravis. Après un repas rapide et frugal. Caroline nous annonça qu'elle allait prendre une douche. Pendant ce temps, j'entrepris d'allumer un feu dans la cheminée, à la demande d'Alison qui trouvait cela «so romantic». La jeune anglaise était allongée sur une fourrure, devant la cheminée et tentait de lire, tâche difficile, tant mes efforts face au feu récalcitrant la faisaient rire. Elle ne m'avait jamais semblé si désirable qu'en cet instant, vêtue simplement d'un long pull aux couleurs chaudes, qui dévoilait ses longues jambes dorées et parfois, quand elle agitait celles-ci, son émouvant petit slip blanc. Sa joie et ses battements de jambes atteignirent leur comble quand les flammes commencèrent à s'élever, tandis que j'admirais leurs reflets sur son joli visage épanoui. Il ne faisait aucun doute que si nous avions été seuls, la soirée se serait achevée de la manière la plus agréable qui soit. Malheureusement, la présence de ma s ur rendait impossible pour ce soir et remettait à plus tard cette merveilleuse perspective. Caroline sortit alors de la douche et s'approcha de nous, sans la moindre gêne, en petite culotte et les seins nus. Alison annonça qu'elle allait lui succéder et elle ôta d'un geste rapide son pull, révélant de mignons sous-vêtements blancs ornés de dentelles. Caroline se fit la même remarque que moi et s'exclama d'un air de reproche : - Tu ne m'as jamais montré ceux-là ! - Non, c'est vrai, répondit Alison, je les ai achetés juste avant de venir. - Je peux les essayer ? - Of course, darling ! Joignant le geste à la parole, sous mes yeux ébahis, l'anglaise se débarrassa de son soutien-gorge et de son slip, les tendit à ma s ur et nue, elle disparut dans la salle de bain. Je pus constater au passage que ses formes étaient aussi voluptueuses que je l'avais imaginé, et notamment ses seins volumineux qui semblaient particulièrement fermes. Mais ce qui me troubla le plus sur le moment était la parfaite désinvolture avec laquelle les deux filles agissaient envers moi, comme si elles se trouvaient dans leur studio londonien et que je n'existais pas. Comme pour confirmer ce sentiment, ma soeur ôta devant moi sa petite culotte et enfila les vêtements abandonnés par son amie. Tout en s'admirant devant le miroir, elle m'interrogea : - Elle te plaît, ma copine, n'est-ce pas ? - J'aurais du mal à le nier, répondis-je franchement. - Tu sais, elle m'a dit que tu lui plaisais bien aussi. Je crois que tu vas pouvoir te payer du bon temps avec elle ! - Dommage que tu sois là avec nous, dis-je avec une pointe de méchanceté. - Ah, c'est moi qui te gênes ! Si tu veux, je peux rester un moment dans la cuisine. Je vais prendre un bouquin ! Annonça-t-elle. Et s'exécutant, elle disparut dans la pièce voisine. Je ne croyais pas à ma chance d'avoir une s ur si compréhensive. Je n'avais plus qu'à attendre le retour d'Alison, qui se produisit assez rapidement. Elle avait enfilé un léger T-shirt qui ne cachait pas grand chose de ses formes opulentes. Elle m'interrogea sur les raisons de l'absence de son amie mais, curieusement, elle sembla se désintéresser de ma réponse et préféra s'étendre devant le feu auprès de moi en

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JEUDI 14 FéVRIER 2013

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