CAROLINE ET NOTRE GONZESSE 3

Ainsi, les jolies salopes avaient joui, mais ma propre situation empirait de minute en minute. En désespoir de cause, j'avais dû quelques instants auparavant empoigner ma queue et je me branlais maintenant copieusement. J'étais au bord de l'éjaculation et je sentais bien que cela serait un grand gâchis, à la fois pour les filles, du moins pour mon anglaise adorée, et pour moi. Enfin, ma s ur, compatissant, se rendit compte de mon désarroi. Elle secoua Alison, qui sommeillait de plaisir, enlacée à elle, et lui murmura à l'oreille : - Je crois que Christophe a besoin de tes services. Alison ouvrit ses troublants yeux verts et comprit, à la vue de ma bite qui avait pris des proportions respectables, l'urgence de la situation. Quittant le confort des bras de Caro, elle s'approcha de moi. Toute trace de lassitude amoureuse disparue, elle ressemblait à nouveau à une chatte en chaleur. Elle me chuchota tendrement : - Tu vas voir, je vais bien m'occuper de toi. Après quelques instants de réflexion, elle ajouta : - Tu sais, tout à l'heure, ton doigt dans… Elle hésita un moment : in my ass… - Ton cul… - Oui, c'est ça, mon cul. J'ai envie, comme cela, maintenant… - Mais cela va te faire mal ! - Non, je ne pense pas. Laisse-moi faire. Elle se tourna vers ma s ur : - Please. Caro, I need your help… Se mettant à quatre pattes, elle emboucha ma queue qui n'en demandait pas tant. Caroline s'approcha des fesses de la belle britannique mais, n'ayant pas bien suivi notre discussion amoureuse, et se trompant d'orifice, elle se mit à lui lécher consciencieusement la moule. Alison réagit immédiatement à cette erreur de trajectoire qui entravait ses plans et, abandonnant ma verge, elle remit son amie sur le droit chemin. Tout allait donc pour le mieux dans le meilleur des mondes, sinon que je ressentais à nouveau l'imminence de ma jouissance, que la fraîcheur de la bouche d'Ali avait tout juste retardée de quelques instants. Je prévins ma «fellatrice» du danger et elle abandonna aussitôt son oeuvre et me libéra. Caroline me céda la place. Sous la caresse de celle-ci. Alison s'était idéalement positionnée, les reins bien cambrés, la croupe haute et les cuisses écartées. Ses deux fesses étaient entrouvertes et dévoilaient son anus humide. Ainsi offert, celui-ci me sembla bien étroit et l'inquiétude m'envahit : sans vaseline pour préparer le petit orifice, ne nous étions-nous pas embarqués dans une aventure risquée ? Bien que n'étant assurément pas novice. Alison semblait avoir un cul bien étroit et, sans vouloir me vanter, je possède une queue d'un calibre supérieur à la moyenne et surtout un gland particulièrement développé. Fort heureusement, j'avais jouis peu avant et je présentais ainsi des attributs d'une taille plus raisonnable. J'introduisis mon majeur dans le trou du cul de la jeune anglaise, ce qui me rassura également un peu. Ma s ur avait en effet bien fait son travail : c'était brûlant et bien humide de salive, si bien que je pus introduire mon doigt jusqu'au bout, ce qui arracha à Ali un soupir de contentement. Mais la pauvre n'était pas au bout de ses peines (ou de ses joies)… J'appliquai mon gland, lui aussi bien humide, à l'orée de l'orifice et entrepris une lente progression. Sous la poussée, l'anus s'entrouvrit sans problème, et je man uvrai si bien que mon gland fut à l'intérieur avant même qu'Alison ait pu pousser un gémissement. Paradoxalement, c'est moi qui manifestai le premier mon plaisir tant ma verge éprouvait de bonheur sous la pression du sphincter étroit mais l'anglaise me rejoignit rapidement. Un instant, on ne put savoir si son halètement était de douleur ou de plaisir mais rapidement il n'y eut plus aucun doute. Alison prenait elle aussi son pied. Cela m'encouragea à reprendre mon avancée. Je progressai sans aucun problème, maintenant que le gland était passé et bientôt je fus au fond. Bon Dieu, quel pied ! Que j'étais bien ! Jamais une sodomie ne m'avait procuré autant de plaisir. Je l'avais pratiqué en effet à plusieurs reprises mais j'avais assez souvent été déçu. En ce qui concerne les vierges du cul, c'est si laborieux que cela perd presque tout son charme tandis que chez les filles qui pratiquaient régulièrement cet art, l'anus était trop ouvert pour que l'on ressente un plaisir vraiment inoubliable. Alison, quant à elle, ne ressortait heureusement d'aucune de ces deux catégories : elle avait suffisamment d'expérience pour que la pénétration se fasse sans problème mais était encore assez serrée pour que le limage

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JEUDI 23 MAI 2013

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