CHRONIQUE ÉROTIQUE D'ANTOINE III

Chers lecteurs. Voici donc la conclusion de ma chronique, le paroxysme de mes aventures sexuelles. Jean-François passa tout son samedi en ma compagnie ; nous avons marché dans les rues de Paris, nous avons fait la sieste dans un parc verdoyant et, avant de rentrer, nous nous sommes acheté de quoi déjeuner en grand ! Tout au long de la préparation du repas, je n'ai eu de cesse de lui caresser les fesses et la queue. Mon invité s'avéra être un vrai cordon bleu, et c'est finalement lui qui cuisina les escalopes de veau à la moutarde forte, les moules, les diverses salades et le dessert. Nous mangeâmes au point de nous faire exploser la panse et nous prîmes ensuite un digestif au salon. L'excitation nous gagnait déjà mais nous restions étrangement silencieux, comme en transe. Je fus le premier à me ressaisir, j'avais très envie de lui. - Es-tu prêt à échanger les rôles ce soir ? Mon beau gaillard sortit de ses songes éveillés et me regarda dans les yeux avant de répondre : - Bien sûr, tout ce que tu veux, je le veux aussi ! Je n'attendais pas autant de sa réponse, j'étais aux anges… - Alors, je peux te demander de me défoncer la rondelle devant un bon ami… Cette fois, il rit bruyamment avant d'ajouter joyeusement : - Oui, c'est une excellente idée ! C'est ainsi que nous nous retrouvâmes dans mon bureau, tous les deux assis devant mon ordinateur. J'allumai ma webcam même si Louis n'était pas encore connecté à Internet. - Ainsi, il aura toute une surprise lorsqu'il arrivera, dis-je à mon grandiose amant qui jouait déjà des pieds sur la bosse dure déformant mon pantalon. Après avoir ajusté une dernière fois l'angle de la webcam, je me levai tout en dégrafant mon jean. Je ne portais rien en-dessous, si bien que ma queue lui tomba dans les mains lorsque tous les boutons furent défaits. Il la regarda un instant, il la scrutait même, tout en la branlant d'une main professionnelle. Ma respiration se fit plus saccadée lorsque je réussis enfin à lui mettre entre les lèvres. Il avait commencé par la bécoter gentiment, comme s'il n'avait jamais vu de bite de toute sa vie. Cette fois, je dus bouger des hanches pour la faire entrer complètement dans sa bouche. J'adorais l'envoyer au fond de sa gorge, jusqu'à la garde. Après ce début quelque peu timide, il se relaxa complètement. Il allait même me retourner, apparemment dans le but de me trouer, mais j'interrompis son geste aussitôt : - Je veux encore profiter de toi, comme hier, tu te souviens comme c'était bon ? Quand Louis sera là, je te promets que je me soumettrai à toi… Il acquiesça et se positionna sur le plancher à quatre pattes. Je me félicitai de cette attitude en m'accroupissant derrière lui et en mettant un doigt dans ses fesses. Le passage était un peu difficile, il me faudrait lui lécher la rondelle… De cela, j'en raffolais. À l'issu de cette dégustation de cul et de bourses, qui dura une bonne dizaine de minutes tant je m'étais emporté, j'engageai ma torpille dans la route de chair que mon amant me présentait si ouvertement. Au début, il gémit à chaque coup de reins, mais bientôt, je vis sa rosette se contracter, j'entendis une gémissement long et plaintif et je sentis tout à coup que tous ses muscles pubiens se relâchaient… Cette sensation me fit perdre la tête. Je retournai mon amant plusieurs fois, dans diverses positions, le tronchant toujours plus fort, toujours plus profondément. Lorsque je le pris par terre, dans la bonne vieille position du missionnaire, je sentis l'orgasme survenir. Je me retirai au dernier moment pour inonder son visage d'une grande abondance de foutre. Le coquin se léchait les lèvres, essuyait quelques gouttes avec ses doigts avant de les lécher encore, se repaissant entièrement de ma semence. Je restai un moment suspendu au-dessus de son visage. Je me délectais encore de ses gestes lubriques lorsqu'un message apparut finalement sur mon écran d'ordinateur. C'étais Louis, il n'aurait pas pu mieux tomber. Il me demanda de but en blanc, sans même me saluer : - Tu veux venir dormir chez moi avec ton copain ce soir, j'aimerais bien participer tu vois, la webcam c'est pas tellement excitant… L'idée me plut terriblement, je brûlais d'essayer la défonce anale avec deux mecs à la fois. Jean-François était bien content de sortir et de rencontrer quelqu'un. Nous sortîmes donc de la maison vers 8 heures le

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VENDREDI 16 MARS 2012

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