MA COLLÈGUE NATHALIE

Lorsque je pris possession de mon bureau dans cette compagnie où j'allais à présent exercer de nouvelles responsabilités, je n'avais en tête que de mener à bien les missions que j'aurais à remplir. Aussi je ne pensais qu'à mes préoccupations professionnelles lorsque me furent présentés les membres de ma nouvelle équipe, laquelle était composée essentiellement de femmes. Je dois dire que la plupart d'entre elles n'étaient pas réellement des canons de beauté. Aussi remarquai-je à peine l'une d'elles. Nathalie, qui pourtant se démarquait sensiblement du lot avec son allure très féminine et son air réservé. Les premières semaines passèrent et je m'intégrais bien dans ma nouvelle équipe. Nathalie, avec qui je travaillais occasionnellement, était agréable mais assez distante, voire froide. Belle petite blonde, elle avait la trentaine, assez mignonne et très mince. J'avais remarqué qu'elle avait une poitrine assez plate. Son postérieur cependant, toujours moulé dans des jupes très courtes et ses jambesinterminables, finissant le plus souvent par une paire de chaussures ou de bottes à talons hauts, lui donnaient un air sexy que j'avais fini par remarquer (le savait-elle à ce moment ?). Je savais d'elle qu'elle était mariée et je l'imaginais rangée, malgré ses tenues très féminines qui traduisaient cependant un certain désir de plaire. Aussi n'avais-je strictement aucune idée en tête (et je suis de toute façon assez réservé, même si je dois avouer que je plais généralement assez aux femmes), et j'étais bien loin de me douter de ce qui allait arriver lorsqu'elle entra dans mon bureau, en cette fin d'après-midi d'automne pour me montrer des documents. Je la fis s'installer en face de moi à ma table. La porte du bureau était restée ouverte comme à l'habitude. Ne me doutant absolument de rien, ma surprise fut totale quand après seulement cinq minutes, et aussi directement que je le raconte, elle me fixa, droit dans les yeux et me lança presque sèchement : -«Serais-tu d'accord pour que l'on se voit en dehors du travail ?» Surpris par cette annonce aussi inattendue que directe je restai un instant sans voix, n'osant plus prononcer le moindre mot, de peur d'être entendu par d'autres. Mais mon côté joueur et curieux reprit bien vite le dessus et d'un air amusé, je pris une feuille de papier pour lui écrire ma réponse. Elle resta tout d'abord surprise (chacun son tour !) devant ma façon de répondre à ses avances, presque inquiète. Enfin elle put lire ce qui était écrit sur le papier que je lui tendais : «Pourquoi pas ma chère, mais j'aime les filles excessivement sexy et provocantes.» Elle resta à son tour sans voix, ne s'attendant pas à une réponse aussi coquine de ma part, puis se levant de sa chaise, me demanda si j'étais libre dans la semaine en fin d'après-midi. Je lui proposai de nous rencontrer dans un appartement que je possédais en ville et qui était inocuppé (nous avions l'un comme l'autre besoin d'une discrétion absolue sur nos relations), et décidâmes de nous y retrouver un soir après le travail. Lorsque j'ouvris la porte je découvris une Nathalie comme j'avais espéré la trouver ce soir là. Elle portait une veste trois quarts en fourrure qui découvrait complètement des jambes fines et superbement proportionnées, gainées de bas couleur chair et montées sur des escarpins noirs à talons hauts. Elle était maquillée comme je l'aimais, pas outrageusement, mais le rouge de ses lèvres lui donnait un air résolument très féminin. Je l'aidai à enlever sa veste de fourrure et découvrit le reste de sa tenue : un joli petit tailleur bleu, extrêmement ajusté, avec une jupette moulante, que je rêvais à présent d'arracher. Malgré tout, un peu gênés de cette situation pour le moins curieuse, nous restâmes quelques instants dans l'entrée, debout, sans trop savoir quoi faire. Je me décidai enfin à la faire asseoir dans le canapé du salon. Je n'avais pas d'autres sièges dans cet appartement habituellement inoccupé, et je m'installai donc par terre, assis en face d'elle sur un épais tapis, tout en lui servant un verre. Assise sur le canapé, les jambes croisées aussi haut que le permettait sa jupe étroite, elle me dominait légèrement, et l'une de ses superbes jambes se balançait négligemment, venant buter sur une de mes mains. Situation étrange que

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JEUDI 22 JANVIER 2015

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