UN CONTE DE NOËL 3

Elle fonça alors sur moi, tête baissée. Mêlant à nouveau mes réflexes fulgurants à la magie de Noël qui perdurait encore dans mon corps, je lui sautai dessus, passant la chaîne en-dessous de ses bras contre sa poitrine rebondie. Arrivé derrière elle, je serrai fermement la chaîne, lui appuyai sur le dos avec mon coude pour la soumettre en tenant mon bassin contre son cul. Ce contact malgré moi me fit bander à nouveau. Peut-être que si je la sodomise, le Père Fouettard sera trop excité pour surveiller Noëlle, me dis-je. Mais je n'eus pas le temps de réfléchir plus loin que quelque chose de dur et d'épais me frappa le cou. Le Père Fouettard, que je n'avais pas vu arriver, m'avait frappé de son fouet qui m'étranglait maintenant. Ce dernier s'était durci et le vieux me tenait au-dessus du sol avec. La Mère Fouettarde se libéra, me regarda avec un regard de triomphe. -Je suis sûre que ta semence sera suffisante pour exciter la jeune princesse ! Et elle sera beaucoup plus facile à obtenir… Deux lutucettes vinrent m'immobiliser les jambes pour m'empêcher de me débattre. Elles se mirent à me lécher les pieds. La mère fouettarde face à moi arracha d'un coup sec la lanière de cuir de sa veste et ses deux gros seins jaillirent en dehors. Elle déchira ce qui restait de mon caleçon et sourit en voyant mon érection totale : -Ça va être encore plus rapide que ce que je pensais ! Elle glissa ses doigts le long de ma queue et les serra sans ménagement, me branlant ainsi rapidement. Elle approcha sa poitrine, fourra mon engin entre ses seins et, les pressant fortement l'un contre l'autre, se mit à monter et redescendre en me fixant de ses yeux de psychopathe. J'étais très excité et je savais qu'il ne le fallait pas, mon plaisir se communiquerait à Noëlle et nous serions tous deux perdus. Pourtant cette impression d'interdit m'excitait encore plus. Le travail de la Mère était très habile et les petites putes de lutucettes me léchaient toutes les parties du corps qu'elles pouvaient atteindre. Il fallait que je tienne. Je tentai de regarder le Père Fouettard pour gagner du temps. Son rictus mauvais me calma un peu, mais je ne pourrais pas faire abstraction longtemps de mes sensations physiques. La vieille sentit qu'elle n'avait plus autant d'emprise, elle m'empoigna la base du sexe et prit le reste dans sa bouche. Je pensais qu'elle s'arrêterait au niveau de sa gorge mais à ma surprise, elle prit une inspiration et l'avala jusqu'à ce que sa bouche atteigne mes couilles. Jamais je n'avais ressenti pareille sensation ; je lui pénétrais la gorge et tandis que ma queue semblait aspirée au fond, la fin était proche. - DIX, NEUF, HUIT, SEPT… Et ce foutu compte à rebours que j'avais encore oublié et qui semblait prévoir le moment où je gaverais la mère comme une oie. Nos corps seraient ensuite réduits en un bain de chair et de sang, tout cela s'annonçait très joyeux. - QUATRE, TROIS, DEUX… SYSTÈME DÉSACTIVÉ ! Sans comprendre ce qui venait de se passer, je dus pousser un cri en éjaculant en grande quantité au fond de la gorge de ma tortionnaire. Après en avoir avalé une partie, elle s'enleva et laissa gicler le reste sur les fesses de Noëlle qui était toujours attachée. J'entendis quelques gémissements de sa part provoqué par la résistance qu'elle essayait de s'imposer à elle-même. Au milieu de cette débauche une grosse voix s'éleva soudain. - Ooh, ooh, ooh ! Qu'est-ce que c'est que ce bordel ? - Papa ! S'écria Noëlle. Dépêche-toi, il tente de réaliser la prophétie ! Le Père Fouettard relâcha son étreinte autour de ma gorge et je tombai à terre. Le couple sado-maso s'était désintéressé de nous pour faire face à Papa et Maman-Noël, qui avaient fait irruption dans l'entrepôt. - Mon vieil ennemi ! Siffla le Père Fouettard comme un serpent. - Mon usine était à deux doigts de se faire détruire, mes employées ont le cul défoncé, une bande de sado-maso se balade partout, un parfait inconnu éjacule sur les fesses de ma fille bien-aimée et tout ça à cause de toi ! Ooh, ooh, ooh ! Prépare-toi à subir mon courroux ! Son regard dur croisa le mien quelques instants : - Quant à toi, je ne sais pas qui tu es mais je m'occuperai de ton cas plus tard. En attendant, emmène ma fille en lieu sûr, et rhabille-toi s'il te plaît ! - Oui Monsieur ! Dis-je, tentant de faire bonne…

» Plan cul Gagny

MERCREDI 27 DéCEMBRE 2006

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