COPAINS TOUT-TERRAIN

Benjamin était aveuglé par le soleil au zénith, ses cheveux châtains et ondulés battaient au vent. Il avait beau courir, la course de la balle était plus rapide que la sienne. Il reculait à grands pas, son gant de base-ball levé haut dans les airs. Il recula ainsi jusqu'à la clôture délimitant un vaste terrain plus ou moins bien entretenu. On pouvait y apercevoir quelques lauriers roses en fleur, des marguerites et quelques très grands frênes. La pelouse n'étant pas entretenue et ne voyant aucune voiture dans l'allée goudronnée de la demeure. Il enjamba la clôture et se retrouva sur les fesses, de l'autre côté. Jason, son pote depuis l'enfance et grand confrère sportif, courut vers la clôture que son ami venait de franchir. Le métis aux cheveux bruns bouclés l'enjamba aussi, après avoir vérifié lui-même qu'il n'y avait personne de l'autre côté et tenté de ramener son meilleur ami à la raison. - Benji, reviens, lui cria-t-il en le rattrapant progressivement. Benjamin venait de s'arrêter devant un petit jardin d'eau en bordure d'un sous-bois sur le flanc du terrain. La maison semblait abandonnée. Benjamin et Jason se mirent donc à la recherche de leur balle. Benji en fouillant dans l'eau du petit ruisseau. Jason en arpentant le terrain et le sous-bois humide. Jason, torse nu, son chandail faisant office de bandeau, s'arrêta net près de la maison, ce qui attira l'attention de Benji dont les recherches restaient infructueuses. - J'entends des voix ou quoi ! Vieux, il me semble avoir entendu à l'instant le cri d'un mec, un cri lointain mais tout de même un cri, s'écria Jason. Benji le regarda une seconde sans trop y croire mais un autre cri vint aussitôt déchirer le silence de cette fin d'après-midi ensoleillée. Jason fut le premier à s'élancer sur la gouttière et à l'escalader. Benji le regarda monter, interloqué, mais en le voyant disparaître sur le balcon, il s'élança à sa suite. Il alla rejoindre Jason derrière un palmier nain entouré d'une douzaine d'autres plantes sauvages empotées. Les plantes étaient disposées en biais de portes vitrées coulissantes donnant sur une chambre à coucher de la maison, de fin rideaux de mousseline ne les voilant que partiellement. En fixant l'intérieur de la chambre pendant un moment, les deux jeunes hommes purent scruter l'intérieur de la pièce. - Il y a quelqu'un, s'exclama Jason, ça serait pas monsieur Rossignol ? Benji concentra son regard sur le milieu de la pièce où se trouvait un grand matelas directement posé sur le sol. Il y avait bien deux personnes dans la chambre : un grand mec aux traits un peu frustres et à la carrure large et rachitique, étendue sur le lit, jambes légèrement repliées, pieds posés à plat contre le torse d'un homme aux hanches légèrement évasées, ne faisant pas plus de 150 centimètres de hauteur mais néanmoins bâti comme une joueur de rugby. - En effet, murmura Benji, pensif, ce couple ressemble étrangement à monsieur Rossignol et son ami, les derniers à avoir emménagé sur l'île. Il se caressa la queue furtivement, dérangé par une érection naissante. Jason ne put ignorer la tige de son ami, grandissant et s'élargissant dans son petit short blanc moulant quasi transparent. Le brunet pouvait voir le gland de son copain prendre de l'ampleur et se dessiner à travers le fin tissu, et son torse lui semblait plus beau que jamais avec ses abdominaux saillants et ses pectoraux reluisants de sueur. - Si tu regardais mieux. Jason, au lieu de mater ma queue, s'exclama Benji en ne cessant de fixer l'intérieur de la pièce, tu remarquerais combien ils s'éclatent les deux là À ces paroles. Benji porta la main à sa queue en la bougeant de bas en haut. Jason écarquilla les yeux en voyant son ami se masturber devant lui, devant cette scène. Michel Rossignol tripotait les mamelons de Fred, qui branlait son petit pénis au repos. Ce dernier avait beau tenter de faire grossir son membre en le caressant dans tous les sens et en malaxant ses bourses, le jouet qui lui défonçait le cul était trop immense ; il fronçait les sourcils en gémissant chaque fois que Michel lui enfonçait son faux membre dans le fond du cul. - Et si tu forçais ensuite ton regard un peu plus, tu remarquerais qu'il y a de fortes chances pour que «monsieur Rossignol» et son ami soient pédés comme des phoques ! Jason réussit enfin à détourner le regard de la bite gonflée de son pote

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LUNDI 5 NOVEMBRE 2012

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