CORINNE ET LES INCONNUS

J'étais un homme marié et totalement insatisfait par ma vie conjugale. Alors, comme beaucoup d'hommes dans mon cas, il m'arrivait d'avoir des maîtresses ou de faire appel aux services de ces belles créatures qui, parfois, s'affichent impudiquement sur le bord des routes et dans les rues de certains quartiers chauds. Avec mon ex épouse, ça ne collait pas du tout sur le plan du sexe. C'était une «migraineuse» et moi, j'avais tout le temps envie. Elle n'était non plus pas très ouverte sur certaines choses et je n'ai jamais pu lui confier quels étaient tous mes fantasmes. Malgré cela, nous sommes restés une quinzaine d'années ensemble. Je pouvais tenir parce que je la trompais régulièrement. Mon métier, m'obligeant à me déplacer dans toute la France, me permettait de vivre mes infidélités sans le moindre problème. Les choses sont très mal faites car la plupart du temps, mes partenaires, elles, étaient des femmes mariées qui se plaignaient d'être mal ou pas assez baisées par leur mari. Il s'agissait d'aventures sans lendemain, de contacts que je nouais parfois par Minitel ou réseaux téléphoniques en fonction de mes futurs déplacements en province. J'ai connu des femmes sacrement salope. Je pense notamment à l'épouse d'un pharmacien de Nancy qui m'avait convié à un petit gang-bang dans un sauna. Nous étions plus de dix à nous occuper d'elle Pour moi, il ne s'agissait que d'assouvir des désirs physiques avec toutes ces partenaires et de calmer mes frustrations. Avec Corinne, ce fut différent, dès la première fois. Il y a eu quelque chose en plus et qui a dépassé le stade purement sexuel. Pour moi, elle était la femme dont j'avais toujours rêvé : coquine, sensuelle, assez perverse, délicieusement friponne. Et très jolie ! Lorsque nous avons fait l'amour pour la première fois ensemble, j'ai ressenti un sentiment très fort en plus de l'excitation que me procurait son corps. Nous nous complétions à merveille, à tel point que nous avons passé une nuit blanche et nous avons fini sur un lit trempé de sueur, de sperme et de cyprine, dans une chambre dont l'odeur d'étreintes aurait pu laisser croire que des dizaines de couples y avaient fait l'amour. Corinne était la secrétaire de l'un de mes nouveaux clients. Il y a trois ans, elle vivait encore à Lille. Comme toujours, lorsque je suis en déplacement, et face à une belle femme, je cherche à la séduire. Alors que j'attendais son patron, elle semblait prendre un malin plaisir à répondre à mes avances tout en se montrant assez aguicheuse. Elle portait des vêtements qui moulaient bien son corps avec une jupe courte qui dévoilait ses jolies jambes. Une poitrine bien formée, des fesses rondes et cambrées, un beau visage avec des yeux coquins Je n'étais pas pressé de voir son patron débarquer dans le bureau. Quand elle m'a prévenu que la voiture du «boss» venait d'entrer sur le parking, il m'a fallu prendre les devants. C'est elle qui m'a donné le nom d'un troquet sympa pour que nous puissions nous y retrouver à la fin de sa journée de travail. Plus tard, dans la soirée, elle avait préféré venir dans ma chambre d'hôtel plutôt que de m'inviter chez elle. J'ai compris, alors que nous étions tous les deux dans le lit, que ce genre de situation l'excitait encore plus. Et là, elle m'a tout donné, tout fait, tout offert et montré qu'elle y prenait autant de plaisir que moi. D'habitude, peu de femmes aiment être sodomisées. Ou alors, il faut agir avec une extrême douceur. Corinne, elle, m'a surpris par sa sensibilité anale. Alors qu'elle était à quatre pattes devant moi, cambrée, c'est elle qui me suppliait : - Oui, encule-moi plus fort ! Fais-moi mal. J'aime ça, me sentir complètement dominée quand un homme me prend par-là ! Baise-le à fond, mon cul ! Moi, j'étais comme fou, surexcité par son tempérament, son absence de tabou, de l'entendre parler, gémir, me demander d'y aller plus fort, et de la voir se tortiller dans tous les sens. Pendant cette nuit, il y a eu des étreintes brutales puis, d'autres plus sensuelles et amoureuses. Je n'avais jamais connu une telle communion, un tel accord en me trouvant dans les bras d'une femme. Nous avons aussi ri, beaucoup discuter et échanger de nombreuses choses. Je devais rester la semaine complète à Lille et j'ai revu Corinne chaque soir. Je la retrouvais après son travail, nous allions boire un verre, dîner dans un restaurant

» Plan cul Ville-d'Avray

DIMANCHE 23 MARS 2014

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