COURS D'ÉTÉ AVEC MADEMOISELLE NICOLS 2

Mademoiselle Nicols, me fixant droit dans les yeux, me dit alors : - Je vous en supplie, baisez-moi ! Ça fait deux semaines que ça dure, je n'en peux plus ! Je passai alors derrière le bureau, me mettant à ses côtés, prenant sa main droite, je la posai sur ma grosse bite pour qu'elle la saisisse. Sentant dans sa main ce pieu brûlant d'excitation. Mlle Nicols ne put s'empêcher d'hoqueter de nouveau, émue par le fait de caresser une aussi grosse bite. Elle regardait sa main s'activer lentement sur mon pieu ; elle faisait coulisser la peau de celui-ci sur mon gland, véritablement trempé de mouille. Quant à moi, je me mis à lui peloter ses gros nibards. Ils étaient fermes et m'excitaient terriblement. Je lui léchai les pointes afin de les faire bander au maximum. Mlle Nicols semblait aimer ça. Puis, passant ma main le long de son ventre, je me mis à lui caresser la chatte. Celle-ci était incroyablement douce et fine. Je sentis sur sa vulve de la cyprine couler. Mlle Nicols mouillait de plus en plus. Elle respirait aussi de plus en plus profondément. Je la fis se mettre à quatre pattes sur le bureau, comme une vraie petite ribaude en rut. Me plaçant derrière elle, j'avais sa chatte et son cul à hauteur de langue. Cette garce me tendait son intimité outrageusement, cabrant son dos au maximum, de façon à écarter les fesses. Elle voulait plus que tout que je la fouille avec ma langue. Alors, écartant les lèvres fines et nues de sa belle petite chatte avec mes doigts, je me mis à lui lécher sa vulve trempée de mouille ainsi que son clito. Mlle Nicols lâcha alors de grands gémissements de jouissance, sentant la langue glisser et s'enfoncer dans sa belle petite chatte. Mlle Nicols avait vraiment un cul de rêve, parfaitement mis en valeur par le porte-jarretelle et les bas noirs. J'entendais ma langue clapoter sur sa chatte tiède, qui dégageait une agréable odeur suave. Mlle Nicols était ainsi outrageusement offerte dans cette position et le risque d'être surprise lui vaudrait une exclusion immédiate. Cela rajoutait encore plus à l'excitation initiale. L'ayant bien léchée, je décidai de la baiser. Je montai alors sur le bureau, complètement à poil et je me mis derrière elle, afin de la prendre en levrette. Je pris alors ma bite, en fusion totale entre mes doigts, pour la diriger vers la belle chatte de Mlle Nicols. Celle-ci gardait les cuisses quasi serrées, comme pour empêcher que de sa chatte ne coule une vague de cyprine. Rapprochant mon gland trempé de mouille de sa fente, je sentis celui-ci la toucher. Appuyant un petit peu, je réussis à le pousser dans le vagin brûlant de ma prof. Sentant mon gland écarter sa vulve et entrer dans son intimité. Mlle Nicols ne put s'empêcher de lâcher un gémissement non contenu de jouissance. Puis, me rapprochant de son beau cul, je fis pénétrer ma bite dans sa chatte par le biais d'un long coup de rein. Nous sentîmes mon pieu s'insérer en elle centimètre par centimètre, lui écartelant complètement l'entrée de sa chatte. Grimaçant au début. Mlle Nicols lâcha un grand gémissement, non contenu, de jouissance une fois qu'elle sentit son intimité entièrement occupée par ma queue. J'avais ainsi dû forcer un peu pour insérer mon chibre dans sa chatte car Mlle Nicols avait gardé les cuisses serrées. Une fois bien en elle, ma prof me dit de sa petite et douce voix : «Baisez-moi !». Posant mes mains sur son beau cul de déesse, je me mis dès lors à aller et venir en elle. Je sentais mon gland glisser dans son vagin chaud, humide et serré, dont les parois tendres étaient un régal pour ma grosse queue. Je lui défonçai sa belle petite chatte, qui ne devait certainement pas être habituée à se prendre des bites d'un aussi beau calibre. Je sentais aussi à chaque pénétration bien profonde ses fesses s'écraser contre mon bassin, ce qui m'excitait plus que tout. Mlle Nicols restait ainsi immobile, allant légèrement à l'encontre de mes coups de queue pour sentir mon chibre s'enfoncer profondément en elle. Elle gardait les yeux fermés de jouissance, lâchant quelques gémissement de temps à autre. Sa chatte était un délice, tout comme son corps entier d'ailleurs. Des fois. Mlle Nicols se caressait les seins pour s'exciter plus encore. Ses pointes dardaient comme jamais et Mlle Nicols aimait

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LUNDI 9 DéCEMBRE 2013

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