ÉCHANGISME AUX SPORTS D'HIVER

J'ai trente-six ans, mon mari Alain en a quarante et nous pratiquons l'échangisme depuis plusieurs années déjà. Nous formons un couple uni mais très libertin. J'ai rencontré Alain alors que j'étais encore étudiante à la faculté de médecine de Marseille. Notre entente sexuelle a été parfaite dès la première fois. Pour moi, c'était quelque chose de très important. Je n'aurais pas pu vivre avec un homme qui sache mal me faire l'amour ou qui ne partage pas mes fantasmes. À vingt ans et malgré les études très sérieuses que je poursuivais, j'étais constamment préoccupée par des idées (et des envies ) osées. J'avais besoin de faire l'amour assez souvent. C'est à cette époque aussi, que j'ai eu une petite liaison avec une autre étudiante en médecine. Maryse. Une soirée de révision chez elle qui a complètement dégénérée et qui s'est terminée dans son lit. Je voulais tout connaître, tout essayer. Même les femmes. Avec Maryse, j'ai découvert un plaisir très différent mais tout aussi intense que celui que je pouvais éprouver avec les hommes. Je n'étais pas sa première conquête et elle m'a tout appris de l'amour saphique et des caresses entre filles. Maryse était encore plus obsédée que moi. Elle avait des goûts un peu spéciaux et prenait parfois plaisir à m'attacher et à me bander les yeux pour mieux jouer et jouir avec mon corps. Je devais me comporter en poupée docile et me laisser faire. Quelques mois plus tard, je croisais Alain dans une boîte de nuit du Vieux Port. C'était la première fois que je tombais vraiment amoureuse de quelqu'un. La première fois aussi que je jouissais tant avec un homme. J'ai raté ma troisième année de médecine à cause de lui. Il faut dire que je préférais faire l'amour avec Alain plutôt que d'aller à la fac ou de garder mon nez plongé dans mes bouquins de cours. Il avait tout le temps envie et moi aussi. Il aimait tout ce que j'aimais et je me donnais à lui sans retenue. Je lui ai avoué assez rapidement que j'avais eu une expérience bisexuelle. Le fait de savoir que j'avais baisé avec une fille l'excitait énormément. Il aurait aimé que je reprenne contact avec Maryse pour nous voir nous exciter et nous faire jouir devant lui mutuellement mais j'ai refusé. Je ne me sentais pas encore capable d'une telle exhibition. Quelques années plus tard, j'acceptais. Elle ne s'appelait pas Maryse mais Caroline. Elle était un peu plus âgée que moi, divorcée et nous l'avions contactée par Minitel. Alain n'a pas seulement joué les voyeurs. Au bout d'un moment, il s'est joint à nous et ce fut une soirée très agréable pour nous trois. Puis, peu à peu, nous sommes passés du triolisme à l'échangisme. Nous avons commencé par fréquenter les clubs privés de la région (un petit bisou à tous mes amis du Paradisia de Cabriès), puis par passer des annonces dans des revues spécialisées. Faire l'amour à plusieurs tout en m'exhibant ou en étant voyeuse des ébats des autres m'excite prodigieusement. De plus, je peux satisfaire tous mes fantasmes, jouir avec des femmes, des hommes, me faire prendre en sandwich, etc. Même pendant nos vacances, que ce soit l'été ou l'hiver dans une station de ski, nous cherchons à rencontrer d'autres couples. C'est ainsi que durant le mois de février de cette année, nous avons profité d'un petit séjour à la neige en Savoie pour nous rendre dans un club échangiste d'Annecy : l'Aphrodite. Des amis nous avaient fortement recommandé l'ambiance chaude et libertine de cet établissement. Dans mes valises, au milieu des pulls de laines et des combinaisons de ski, je n'avais pas oublié d'apporter quelques tenues très sexy. Pour notre première soirée à l'Aphrodite, j'avais choisi de passer sous une robe moulante et fendue, un ensemble en dentelle noire avec string, porte-jarretelles et soutien-gorge pigeonnant. J'adore plaire et donner envie de moi. Je m'étais bien maquillée tout en m'efforçant de mettre ma bouche en valeur. Pour moi, c'est déjà un moment très excitant de me préparer à de telles soirées. Question ambiance, nous n'avons pas été déçus par l'Aphrodite, ni par le couple avec qui nous avons rapidement sympathisé. Ils étaient plus jeunes que nous. Sabine avait trente ans. C'était une superbe rousse avec les yeux verts, un très beau visage et un corps parfait. Son chemisier semblait trop étroit pour contenir son opulente poitrine et ses petites fesses étaient moulées sous une minijupe qui laissaient entrevoir

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LUNDI 12 MAI 2014

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