EMBUSCADE POUR UN VOYEUR

Malgré la situation plutôt embarrassante dans laquelle sa femme, et ses deux copines, venaient de le trouver. Paul n'éprouvait aucune gêne particulière. Après tout, il venait lui-même de les surprendre en pleine action ensemble, et ça lui semblait tout simplement normal pour un homme d'en ressentir une telle excitation. Ce n'est pas donné à tous les jours pour un mâle d'assister à une partouze entre femmes aussi délurées. Depuis qu'il avait épousé Louise, leur vie sexuelle avait beaucoup évoluée, et tous les deux, se permettaient maintenant de réaliser tous leurs fantasmes les plus secrets. Aussi, n'avait-il pas été surpris, ni outré, de la découvrir en train de se livrer à des jeux saphiques avec ses deux meilleures amies. En les voyant se procurer autant de plaisir mutuel, il n'avait ressenti aucun sentiment de jalousie. Bien au contraire, il avait pleinement profité du spectacle, et il se réjouissait même que sa femme donne ainsi libre cours à de nouveaux fantasmes sexuels, même sans sa présence. Il savait donc d'ores et déjà que Louise ne s'était pas sentie offusquée le moins du monde de le trouver en train de se masturber pendant qu'elles s'adonnaient à leurs petits jeux lesbiens. Sur ce point, il lui faisait totalement confiance, c'est pourquoi il n'avait ressenti aucun malaise lorsque les trois femmes nues l'avaient surpris dans cette position qui sinon, aurait pu être plutôt fâcheuse. Et, pour lui démontrer qu'il avait tout à fait raison. Louise l'embrassait tendrement, tandis que sa copine Jeanne entreprenait de le dévêtir pendant que Colette, agenouillé devant lui, lui prodiguait une formidable fellation. Pendant que la douce langue de son épouse se lovait à la sienne, il pouvait sentir celle de son amie se tortiller autour de son pénis qu'elle faisait habilement coulisser entre ses lèvres. Rapidement, il fut délesté de sa chemise, puis son pantalon tomba à ses chevilles. Jeanne l'aida à se défaire de ses chaussures, de ses bas, et il se retrouva bientôt complètement nu, à la merci de ces trois femmes bien décidée à profiter de sa masculinité. - Alors mon amour, ça va être ta fête Mais, je t'interdis d'éjaculer avant que je t'en donne la permission, tu m'entends, lança Louise en le regardant droit dans les yeux. - Mon cher voisin, tu as maintenant trois femmes en chaleur à satisfaire Si tu croyais que ça allait être du gâteau, rigola Jeanne, avant de se joindre à Colette qui le suçait avec une avidité redoublée. - Mais, que vont dire Gilles et François lorsqu'ils l'apprendront ? questionna Paul pour détourner l'attention - Ne t'en fais pas avec ça j'en fais mon affaire, se contenta de répondre Colette avant de reprendre de plus belle la fellation - Allons nous installer au salon, nous serons plus confortables, lança alors Louise à ses deux copines qui s'interrompirent pour entraîner Paul dans la grande pièce. D'un mouvement rapide, les deux femmes poussèrent l'homme qui retomba sur le sofa. Pendant ce temps-là. Louise était allée mettre un disque compact dans le lecteur, et revint rapidement rejoindre ses comparses debout au milieu de la pièce. - Maintenant, tu vas nous regarder Tu peux te caresser, mais interdit de jouir. Tout ça, je veux être la première en jouir, c'est d'accord, lança Louise, d'abord à l'endroit de son mari, puis vers ses deux amies qui opinèrent de la tête. Dès que la chanson de Marvin Gaye se fit entendre, les trois femmes, dans toute leur nudité, se mirent à se déhancher lascivement, à se toucher et à se caresser au rythme de la musique devant Paul qui jouissait à nouveau d'un spectacle hyper-sexy. Il tenait son sexe toujours dur dans sa main, et le faisait coulisser doucement dans sa paume en contemplant ses trois corps qui ondulaient devant lui. Les trois femmes s'évertuaient à l'exciter un maximum, et leurs silhouettes toutes délicates s'y employaient à merveille. L'homme devant elles arborait une formidable érection, prête à les servir. C'est alors Louise elle-même qui donna le signal. Avant que la chanson ne s'achève, elle se mit à genoux et rampa vers son mari, telle une tigresse qui s'approche de sa proie. Amusées, ses deux copines l'imitèrent. Paul eut bientôt trois prédatrices affamées à ses pieds. C'est encore Louise qui s'attaqua la première à l'objet de ses désirs. Elle approcha le visage, et levant

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LUNDI 18 JUIN 2012

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