ESCLAVAGISME SEXUEL - CATHERINE SANS LIMITE

Au bout de quelques minutes, je descendis aux toilettes pour hommes. C'était des toilettes spacieuses avec quatre cabines et trois urinoirs, je cherchai celle qui était fermée et frappai doucement. - C'est moi, vous m'ouvrez ? La porte s'ouvrit et je vis Catherine, assise sur les WC avec sa jupe relevée, en train de se masturber et le chemisier ouvert, permettant à Marc de lui peloter les seins. Je refermai la porte derrière moi et m'approchai de Catherine en ouvrant ma braguette pour en sortir mon sexe déjà excité par la situation. - Suce-moi aussi. Elle prit mon sexe dans sa bouche et alterna avec celui de Marc. - Prends nos deux sexes en même temps. Elle prit nos deux sexes en même temps et cela lui déforma un peu la bouche. - Je me la ferais bien, me dit marc en souriant. - Je suis désolé mais je n'ai pas prévu de prendre des préservatifs. - J'en ai dans ma poche, dit-il content. - Catherine, tu veux bien te faire baiser par Marc et moi, là, maintenant ? Tout en suçant nos deux sexes simultanément, elle hocha la tête pour nous dire qu'elle était d'accord. - Très bien, commence par nous mettre les préservatifs. Elle prit un préservatif qu'elle posa sur mon sexe et le déroula avec sa bouche en englobant mon sexe complètement puis en fit autant avec le sexe de Marc qui me semblait être plus long et plus gros que le mien. - Lève-toi. Catherine. Marc assis-toi sur les toilettes et Catherine, tu te penches en avant pour le sucer. Tout le monde s'exécuta, ce qui me permit de pénétrer Catherine sous les yeux ébahis de Marc. Après quelques instants dans cette position, je sentis que Marc n'en pouvait plus : il voulait vraiment la baiser. Je demandai donc à Catherine de se lever et de chevaucher Marc. Il eut un soupir de plaisir au moment où Catherine s'asseyait sur lui et commençait à monter et descendre sur son sexe. La vue de mon côté était merveilleuse, puisque j'avais sous les yeux la pastille anale toujours dilatée de Catherine, ce qui me donna envie de la sodomiser. J'approchai mon sexe de son anus. - Décidément, tu as de la chance car tu vas vivre une deuxième double pénétration. Mais cette fois-ci avec deux vraies queues. Et je la sodomisai d'un coup. Elle émit un petit cri discret qui en disait long sur ce qu'elle ressentait. Que c'était bon que d'être dans cet anus resserré et de sentir les mouvements du sexe de Marc. Celui-ci devait aussi ressentir le même plaisir puisque son sexe durcit encore. Au bout de plusieurs minutes dans cette position Marc me lança : - J'aimerais bien l'enculer aussi ! - Mais pas de problème. Je me retirai du cul de Catherine, je la soulevai du sexe de Marc et demandai à ce dernier de ne pas bouger. Je retournai Catherine : - Pose ton cul sur sa queue et assis-toi dessus. Elle s'assit dessus et fit une grimace qui confirma mes doutes sur la taille du sexe de Marc. Elle commença à effectuer des mouvements délicats, tout en se retenant pour ne pas trop descendre. Je n'allais pas resté planté là, je lui attrapai les jambes et les relevai très haut, ce qui eut pour effet de l'empaler entièrement sur le sexe de Marc et de la faire crier. Je lui plaquai ma main sur la bouche pour éviter que quelqu'un ne l'entende et je la pénétrai. Marc et moi accélérâmes nos mouvements quand soudain il râla de plaisir. - J'ai envie de lui jouir dans la bouche, me dit-il. Moi-même, je sentis que j'allais éjaculer, je me retirai donc. - Vas-y, assis-toi sur les toilettes et suce-nous. Catherine s'exécuta, retira nos préservatifs et suça goulûment nos sexes, alternativement. Soudain j'éjaculai de toutes mes forces et comme je n'étais pas dans sa bouche, j'aspergeai le côté de son visage, une partie de ses cheveux et son cou. Marc éjacula lui aussi mais dans la bouche de Catherine. Il devait y en avoir une bonne dose car le sperme coula le long de son sexe, le long du cou de Catherine jusqu'à son chemisier. Au même moment, quelqu'un entra dans les toilettes, s'approcha de notre porte et frappa : - Sortez de là, c'est le patron. Allez faire vos cochonneries ailleurs. Nous nous dépêchâmes de nous rhabiller et sortîmes des toilettes. Le patron, un homme grand et costaud d'une cinquantaine d'années, de type guadeloupéen, avait un air méchant quand Marc et moi sommes sortis. Cependant, il fut très surpris

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JEUDI 12 SEPTEMBRE 2013

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