ÉTUDIANTE PERVERSE

Perverse, moi ? Oui, sans doute. J'ai appris, au lycée, que la valeur n'attendait pas le nombre des années Ca m'a pris tôt de chercher à exciter les hommes. C'était amusant, agréable et cela me faisait mouiller dans mes petites culottes. Je leur jouais le grand jeu, sourires en coin, regards appuyés J'ai toujours voulu garder un côté adolescente même si j'avais déjà un corps de femme. Je pensais que cela les excitait encore plus. Aujourd'hui, je suis étudiante. Les garçons de mon âge ne m'attirent pas vraiment. Ou alors, il faut qu'ils soient très beaux, très mignons. Et pas du tout coincés avec les filles. Mais j'aime surtout les hommes qui sont dans la quarantaine. Avec eux, je m'éclate beaucoup plus. Je ne sais pas pourquoi, mais je les préfère un peu gros, avec du ventre. Je trouve que ça fait plus vicieux, un homme qui a des rondeurs. Et puis, ça me plaît de caresser leur ventre. Avant de descendre un peu plus bas Quand je suis avec un homme beaucoup plus âgé que moi, je prends un plaisir incroyable à jouer les jeunes filles naïves et dociles. Une sorte de poupée, un peu timide et réservée, comme si je ne savais pas grand chose sur le sexe. Eux sont ravis de pouvoir tout m'apprendre. Et comme ils me sentent une proie facile et malléable, ils cherchent toujours à profiter à fond de moi. Pour moi, c'est un jeu très jouissif. Surtout quand j'attends des choses comme : -«Attends, je vais bien t'apprendre à sucer une queue. N'ai pas honte de me montrer ton petit trou, ce sont des choses que toutes les femmes acceptent.» Là, je suis aux anges et ma minette réagit en étant toute trempée. En deux mots, j'aime avoir l'impression qu'un homme profite de moi, de ma jeunesse et de mon soi-disant manque d'expériences. Et que j'ai tout à découvrir. En fait, c'est moi qui le trompe. Car des expériences, j'en ai déjà eu des tas. En ce moment, il s'appelle Bernard. Il est marié, ça m'arrange. Je n'aime pas les types trop collants qui voudraient m'avoir tous les soirs dans leur lit. Je tiens à garder ma liberté et mon indépendance. Bernard, c'est… mon toubib ! Et il me fait faire de ces choses. Je suis sûre qu'il n'en fait pas la moitié avec sa femme. C'est moi qui l'ai un peu dragué car je crois qu'il n'aurait jamais osé dépasser certaines limites en sachant que j'étais sa patiente. Il me plaisait beaucoup : assez grand, brun, très viril, la peau mate, des bras poilus et un petit collier de barbe. Déjà, je ressentais quelque chose d'assez fort quand je devais me déshabiller devant lui dans son cabinet. Je prenais un malin plaisir à ne porter que des jolis dessous et des tenues très sexy quand j'avais rendez-vous. Et quand il posait son stéthoscope sur ma peau, tout près de mes seins, ça me rendait toute chose. Il y avait l'intimité trouble du cabinet, moi en simple culotte et soutien-gorge et lui, ses mains sur mon corps. Bref, j'étais toujours dans un drôle d'état quand je le quittais. Et puis, c'est vrai, cela m'excite encore plus de pervertir un homme marié. Je sais que nos rendez-vous auront un petit parfum de liaison adultère qui n'est pas fait pour me déplaire. Bernard a fini par s'intéresser à moi autrement que si je n'étais qu'une simple patiente. J'ai su que j'avais gagné quand, un jour, après m'avoir tendu la feuille de soins, il m'a dit : -«On pourrait prendre un verre ensemble, un de ces jours.» J'ai répondu d'un air innocent : -«Oui, pourquoi pas !» Deux jours plus tard, j'étais à la terrasse d'un café avec lui. Cette fois, ça n'a pas traîné. Une heure après, il me conduisait dans un hôtel. Il avait l'air très content de pouvoir se taper une jolie petite minette comme moi. Dans la voiture, je lui ai dit que j'avais peu d'expérience avec les hommes et que j'étais toujours un peu anxieuse chaque fois que je rencontrais quelqu'un. Il a pris un ton paternel pour me rassurer mais dans ses yeux, je lisais quelque chose comme : -«T'inquiète pas, je vais bien te sauter, petite garce.» Il a choisi un hôtel où on pouvait payer par carte bleue et sans être obligé de passer par une réception. C'était plus discret. Une fois dans la chambre, j'ai gardé mon air intimidé et j'ai attendu que ce soit lui qui

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MERCREDI 27 MAI 2015

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