EXPRESS DE NUIT

Corinne embarquait dans le train de nuit qui l'emmenait à Berlin rencontrer les patrons japonais de la firme dont elle était directrice commerciale pour la France. Jetant un dernier regard au quai qui défilait déjà devant ses yeux, elle apprécia doucement la fin de cette soirée d'été. En traversant la banlieue nord, elle regarda le soleil descendre vers l'horizon depuis son compartiment-lit individuel où elle avait déjà tombé la veste et les chaussures. La convoyeuse qui s'occupait de son wagon était une grande jeune femme allemande, blonde, avec un superbe corps musclé mais très bien dessiné. Lui ayant déjà donné son billet, elle était maintenant tranquille jusqu'au lendemain matin. Un vieux fantasme revint à sa mémoire en regardant le paysage. Il y a une vingtaine d'années, quand elle était adolescente, elle rêvait de pouvoir se montrer nue à la fenêtre d'un train passant lentement à travers une gare, de façon à ce que tous les gens présents sur le quai puissent la voir exposer son petit minou où trônait un triangle de poils noirs et ses gros seins aux mamelons durcis par l'excitation. Alors que le train ralentissait, sans doute à l'approche d'une petite gare de banlieue. Corinne fut emportée par son idée, et en moins de temps qu'il ne faut pour le dire, elle avait déjà verrouillé la porte de son compartiment. Ayant pris une profonde respiration, elle se débarrassa de son chemisier, dégrafa son soutien-gorge, et attendit ainsi que la gare arrive. Le quai finit par apparaître, et les premiers quidams purent contempler la poitrine offerte à leur regard par cette inconnue qui passait. À la surprise de Corinne, le train marqua à ce moment un arrêt, sans doute interrompu dans sa course par un feu rouge. Bien évidemment, cela eut pour effet de rassembler une foule de curieux devant la fenêtre où se passait l'exhibition, et les seins de Corinne provoquaient beaucoup de réactions d'enthousiasme, ce qui l'excita encore plus. D'un air suggestif, elle posa ses doigts au niveau de sa hanche gauche, sur la fermeture éclair de sa jupe. Des spectateurs affriolés se mirent à frapper la vitre en signe d'encouragement, tandis que des sexes masculins avaient fait leur apparition dans le groupe de voyeurs. Encouragée par ses admirateurs. Corinne fit glisser la fermeture éclair, et laissa glisser sa jupe le long de ses jambes bronzées. La moiteur de cette soirée d'été rendait l'atmosphère surchauffée et Corinne s'enhardissait de plus en plus au fil du temps. Plusieurs mâles de l'assemblée se masturbaient ouvertement, et une femme balançait même sa culotte à bout de bras. Voyant cela. Corinne écarta d'abord le tissu de son string, dévoilant son mont de vénus, ce qui amena une clameur générale d'appréciation. Trop excitée, elle le tira vers le bas, le laissant finalement tomber sur ses chevilles. Elle entrouvrit ensuite sa fenêtre et lança le petit morceau de tissu qui cachait sa chatte encore quelques instants plus tôt vers son public. En retour, la femme à la culotte lui lança la sienne, qu'elle reçut sans difficulté. À ce moment, et alors que certaines queues avaient craché leur semence, le convoi s'ébranla à nouveau, poursuivi sur quelques mètres par les admirateurs les plus fervents. La solitude de Corinne dans son compartiment lui permit, une fois la petite gare hors de vue, de soulager son envie de jouissance par une séance de masturbation intense en reniflant ardemment la petite culotte de l'inconnue. Après un orgasme tant attendu, elle reprenait son souffle sur son lit, toujours dans le plus simple appareil lorsqu'on frappa à sa porte. Surprise, elle ne sut que faire et, sans réfléchir, fit la morte, espérant que le visiteur providentiel crût à son absence. Elle fut ramenée brutalement sur terre lorsqu'elle entendit une clef s'introduire dans la porte de son compartiment. En une seconde, la porte s'ouvrit, si bien que Corinne eut tout juste le temps de couvrir sa nudité de ses seules mains. La convoyeuse, surprise de la trouver ainsi, referma précipitamment la porte en s'excusant, et la voyageuse sauta sur le verrou afin de le verrouiller à nouveau. Elle tira également les rideaux sur sa fenêtre afin de se créer un petit espace personnel. Vers 23h30. Corinne se mit au lit, toute nue comme à son habitude. Le train fit alors arrêt en gare de Bruxelles, et reprit sa course quelques minutes plus tard. Bercée par le roulis du train, elle était sur le point de s'endormir lorsqu'à nouveau quelqu'un frappa à sa porte. Chatte échaudée craint l'eau froide Et cette fois, elle

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SAMEDI 19 AVRIL 2014

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