UNE FEMME DE MÉNAGE

Un matin, en achetant un pain chez la boulangère, je relevai la petite annonce suivante : «Dame parlant français fait votre ménage. Prix modérés, travail sérieux.» Je n'avais jamais eu de femme de ménage, mais l'idée m'avait plusieurs fois déjà traversé l'esprit. En bon célibataire, je n'étais pas un grand assidu des tâches ménagères et je dois avouer que mon appartement en avait bien besoin. Après quelques hésitations, je me décidai donc à appeler. Une voix toute légère mais nuancée d'un fort accent hispanique me répondit. Elle se présenta sous le nom d'Angelica. Rendez-vous fut prit pour le lendemain afin d'examiner les conditions de travail d'Angelica. À l'heure convenue, elle se présenta donc chez moi et je découvris une jolie dame d'environ 45 ans, toute frêle, pourvue d'un physique très harmonieux. Elle se présenta à moi comme étant équatorienne, arrivée en France depuis peu, mais parlant suffisamment le français pour comprendre et être comprise. Une brève discussion s'ensuivit au cours de laquelle nous définîmes les tâches qui incomberaient à ma nouvelle femme de ménage, puis nous prîmes congé en décidant qu'Angelica travaillerait chez moi tous les samedis matins. Arriva donc le premier samedi qui vit Angelica débarquer dans mon appartement. La sensation m'était étrange, je ne savais trop que faire pendant qu'elle travaillait. Je décidai donc de prendre un bain afin de me détendre. Je la mis au courant de mes intentions, fis couler l'eau, et m'enfermai dans la salle de bain pour me déshabiller. J'entrai dans l'eau avec délectation et ne tardai pas à m'assoupir sous l'effet relaxant de l'eau chaude. Quelle ne fut pas ma surprise, en sortant de mon demi-sommeil, de surprendre Angelica en train de m'observer. Nos regards se croisèrent un bref instant et, toute honte bue, elle me proposa sans sourciller : - Si vous voulez, je peux vous laver le dos, après tout, je suis là pour nettoyer. - Euh… Au fond pourquoi pas ? Oui, c'est d'accord. Et sans hésiter, elle se saisit de l'éponge et commença à me frotter le dos. Sans me demander mon avis, elle étendit son nettoyage vers mon torse, puis mon ventre. Après quoi, elle me demanda de me lever afin qu'elle puisse continuer. Me trouvant alors un peu dans le rôle du prisonnier consentant, je m'exécutai, tout en sentant que mon sexe commençait à trouver cela intéressant et montrait ses premiers signes d'ardeur. Une fois que je fus debout dans la baignoire. Angelica me toisa d'un regard. Tout en passant une main dans ma toison pubienne, très abondante, elle planta ses yeux noirs au fond des miens pour me dire : - Ça c'est trop difficile à nettoyer, il faut faire autre chose. N'étant pas certain de ce qu'elle avait voulu me dire, je fus vite éclairci sur le sujet, quand je la vis passer ses deux mains sous sa jupe, puis tirer sa petite culotte vers le bas. En un temps record, elle se déculotta et releva haut sa jupe pour me révéler un minou presque entièrement rasé où seul trônait un «ticket de métro» de poils noirs. À cette vue, je ne pus réprimer une érection violente qui attira un large sourire de ma femme de ménage. Elle ajouta : - Puisque vous aimez ça, je vais vous faire la même chose. Elle m'enjoignit de sortir de la baignoire, me frotta vigoureusement avec une serviette, puis m'emmena dans la chambre où elle me fit étendre sur le lit. Quelques instants plus tard, elle fit sa réapparition avec eau chaude, éponge, ciseaux, peigne, rasoir et mousse, me laissant alors peu de doutes sur le sort qui m'était réservé. Jouant alors un peu l'innocent, je m'adressai à elle. - Là-bas, dans la salle de bain, j'étais d'accord avec vous… Mais ici, je ne suis plus tout à fait convaincu. Regardez, mon enthousiasme est tout retombé ! - Oui, je vois que je dois vous convaincre à nouveau. Et joignant le geste à la parole, elle déboutonna sa jupe, puis la laissa tomber à ses pieds, ce qui ramena mon érection précédente. La situation, sans en être moins érotique, revêtait un aspect étrange. Je me trouvais nu sur mon lit, le sexe dur comme de la pierre, en compagnie d'une femme qui avait deux fois mon âge, le sexe à l'air mais portant toujours son sweat-shirt et qui semblait avoir la ferme intention de s'occuper de moi. Angelica se plaça à califourchon sur mes cuisses et se saisit de l'éponge pour me nettoyer la bite consciencieusement, ce qui n'arrangea rien à ma situation. Puis, avec les ciseaux et

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MERCREDI 18 JUIN 2014

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