GANG BANG BARBARE

Ils étaient tous rassemblés au centre de la pièce sombre. Des menottes reliaient les chevilles et les poignets d'une femme, dans la vingtaine, se tenant debout au milieu de plusieurs hommes, une dizaine, peut-être plus. Prostrée mais docile, elle attendait avec impatience le début de la séance de fellation collective à laquelle elle avait accepté de prendre part. Elle serait payée assez grassement pour avaler le foutre de tous ces barjots, pas moins d'une trentaine de jets de sperme allaient se déverser dans sa bouche. Les hommes jubilaient, on lui pinçait déjà les tétons, les fesses et les lèvres de la chatte. Toutes ces tiges la rendaient folle d'excitation, sa chatte mouillait déjà abondamment et la cyprine luisait maintenant entre ses cuisses légèrement galbées. Justin, un mec grand et rachitique, s'attaquait déjà à son anus qu'il désirait plus que tout. Il la força à se mettre à quatre pattes sur le sol recouvert d'un tapis rugueux et il y plongea sa langue frétillante. Il se retira le temps de la complimenter sur son derrière : - Ton cul goûte si bon, ma poulette, n'arrête surtout pas de sucer les autres… La femme gémit fortement, cambra les reins en poussant son cul vers la bouche qui s'y affairait. Elle dit dans un souffle, à l'intention du gourmand : - Encule-moi maintenant, je n'en peux plus, je veux ta tige au fond de mon cul… Xavier, un type petit mais vachement bien pourvu en musculature, réagit violemment et lui dit, en lui trouant la gorge de sa bite énorme, qu'elle n'avait pas à leur dire quoi faire. Ce connard ne supporterait aucune réplique, si bien que la femme suça son manche sans demander son reste. Il lui éjacula à la bouche et se retira pour s'étendre sous elle. Pendant que la femme se faisait sodomiser assez brutalement, comme demandé, le barbare enfouit sa queue entre ses seins opulents. Il allait et venait grave en lui assénant des claques au derrière et en lui écartant les fesses. Il adorait se branler entre des seins énormes et cette fille en avait une paire suffisante pour faire disparaître son manche complètement. Un type super affreux, pas rasé, plein de cicatrices et dont on aurait juré qu'un camion de dix-huit roues lui avait passé sur le visage, s'approcha d'elle afin de lui faire pomper son petit dard. Il était suivi de près par deux hommes d'une grande beauté. Patrice et Carlos. Elle ferma les yeux pour sucer et fronça les sourcils lorsque le type l'empêcha de retirer son manche de sa bouche en lui tenant fermement la tête des deux mains pour lui éjaculer directement au fond de la gorge. Les deux autres gaillards, un latino et un beau blond beaucoup plus jeunes, se masturbaient au-dessus de son visage. Elle ouvrit la bouche, les suppliant du regard de la lui baiser bien fort. Ils n'avaient pourtant aucun besoin de se faire prier pour cela, dès que cet orifice fut libéré par le laideron, le beau blond y poussa sa queue aussi loin que possible, ce qui valut à la blonde catin un haut-le-c ur intense. Pas étonnant vu la dimension gigantesque de son phallus. Le Latino était moins membré, si bien que sa queue n'atteignait même pas le fond de sa gorge. Elle pompa les deux tiges alternativement en prenant bien soin de lécher leurs grosses couilles velues. Elle adorait les burnes, il suffisait qu'un mec lui foute ses testicules en pleine tronche pour qu'elle prenne son pied grave. Lorsque tous ses clients eurent jouis plusieurs fois, dans sa bouche, dans son cul, sur et entre ses nibards, la plupart quittèrent la chambre d'hôtel tandis que d'autres choisirent de rester pour profiter une dernière fois de cette pute blonde platine. Patrice. Carlos et Justin se prirent chacun un trou, le blond se plaça en-dessous d'elle, dans son cul, le Latino choisit sa bouche et Justin, se tapa sa moule toute juteuse. Elle ne pourrait avoir de repos que lorsque toutes les burnes dont elle était responsable seraient vidées plusieurs fois, jusqu'à ce qu'elles soient toutes réduites à l'état de prunes séchées. Deux semaines plus tard, les trois hommes lui proposèrent un petit travail pour le week-end suivant. Ils lui avaient même envoyé un contrat avec toutes les choses qu'ils allaient lui faire. Il fallait donc qu'elle en prenne conscience, qu'elle le signe et prouve ainsi son consentement total. Le papier, accompagné d'une boite contenant des vêtements de vinyle, stipulait ceci : La femme

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JEUDI 21 MAI 2015

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