GÉRALD

Je m'appelle Annie, j'ai 39 ans, je suis la mère d'un grand fils étudiant de 18 ans et la femme d'un homme de 45 ans, médecin. Je suis une belle femme aux jambes longues, à la taille fine et à la poitrine très abondante. Un jour, mon fils ramena à la maison un de ses amis, Gérald, pour travailler à leurs examens. Mon fils me le présenta ; c'était un beau garçon de 18 ans, musclé, presque plus viril que mon mari bien que plus jeune que mon fils. Ils allèrent dans sa chambre et je ne les entendis plus. Gérald venait maintenant souvent à la maison. Un soir, mon fils me demanda s'il pouvait inviter son ami à dîner. Je lui répondis oui. Le soir venu, nous étions tous à table à parler de choses et d'autres quand je surpris le regard de Gérald sur ma poitrine. En même temps qu'il regardait mes seins, il avait un petit sourire vicieux et supérieur qui me dérangeait. Mes seins étant vraiment très développés, je suis obligée de mettre des décolletés pour ne pas trop les compressés. Gérald passa même sa langue sur ses lèvres. C'est très gênant quand des hommes regardent fixement ma poitrine, j'ai toujours l'impression qu'il vont me déchirer la chemise et faire je ne sais quoi avec leurs bouches. Je décidai de trouver un prétexte pour quitter momentanément la table. Gérald, qui n'était pas idiot savait qu'il m'avait mis mal à l'aise, ce qui était son but, et dès qu'il vit que j'allais quitter la table, il me demanda de me montrer le chemin des toilettes, puis il fit mine de ne pas comprendre pour me demander de l'accompagner, ce que je fis en ayant un sentiment d'angoisse inexpliqué. Quand on passa devant la chambre de mon mari et moi, il me demanda à qui était cette chambre. Je répondis. Il ouvrit la porte et entra, je le suivis car je n'avais pas envie de le laisser seul dans ma chambre. Nous étions donc seul dans la chambre, loin de mon mari et de mon fils, la maison étant grande. Il ferma la porte à clé et la mis dans sa poche, ce qui me fit peur sur le coup et il me dit : - Annie, depuis que je te connais j'ai envie de te baiser et de lécher tes deux gros seins. Crois-moi, c'est bien ce que je compte faire ! Il me poussa violemment sur le lit et déchira mon chemisier, mettant ainsi à l'air ma poitrine, puis il se mit à lécher langoureusement et puissamment mais tétons. J'étais paniqué et je ne savais plus quoi faire. Il baissa son pantalon et me mis sous le nez son sexe, imposant, faisant environ une fois et demi celui de mon mari. Il avait une érection d'une impressionnante raideur. Il m'enfonça son gros pénis dans la bouche et fis des allers retours lents mais puissants et me dit : - Ça fait du bien de se faire sucer par la mère de son pote ! J'avais beau me débattre, je ne pouvais plus bouger tellement j'étais tétanisé. Ses deux mains me caressaient les seins. J'avais l'impression de n'être qu'un corps abandonné à un jeune amateur de grosses poitrines. Ensuite, d'un mouvement brutal, il déchira ma jupe et ma culotte d'un coup et effleura ma chatte avec sa grosse bite. Il me dit avant l'instant que je redoutait le plus : - T'aimes ça te faire pénétrer par n'importe qui, salope ! Puis il enfonça entièrement son pénis en un seul fois à l'intérieur de moi et commença des allers retours lents et appliqués. Quand il était sur le point de jouir, il retira son sexe du mien et l'enfonça dans ma gorge avant de m'envoyer de grosses giclées chaudes et amers. Depuis ce jour, à chaque fois que Gérald vient à la maison, j'invente des prétextes pour partir de chez moi.

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SAMEDI 24 MARS 2012

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