LA GONZESSE DU BAGNARD 1

Depuis quelques semaines, un nouveau couple s'occupe de l'immeuble où j'habite. Un jeune couple, avec petite fille de 4 ou 5 ans tout au plus. Un couple qui ne ressemble cependant en rien à l'image qu'on peut se faire de concierges… Lui, avec ses tatouages plein les bras fait plutôt ancien bagnard alors qu'elle, on pourrait plus facilement se l'imaginer en danseuse nue recyclée. Bref, dès la première fois que je l'ai vue, j'ai commencé à fantasmer sur elle. Mais, avec un mari comme le sien, je me disais qu'il valait sûrement mieux ne pas me montrer trop entreprenant et laisser tomber. J'oubliai donc tous mes fantasmes, me contentant de lui sourire lorsque je la croisais dans le corridor. Un samedi matin, fidèle à mon habitude, je décidai d'aller faire une machine au lavoir automatique du sous-sol. Dans ma robe de chambre, les bras chargés de mes vêtements sales, j'entrai dans la petite pièce sans me douter de ce qui allait arriver. Elle s'y trouvait déjà et mettais ses trucs dans le sèche-linge. Elle arborait une tenue plutôt négligée : un simple pantalon de sport et un t-shirt ample. Même sans maquillage, elle m'apparaissait toujours aussi séduisante. Quand elle m'aperçu, elle me sourit aussitôt. Un peu gêné, je lui rendis son sourire et me dirigeai directement vers les laveuses au fond de la pièce. Pendant que j'emplissais la première machine, je me retournai vers elle et l'aperçus, penchée sur le sèche-linge dans un angle qui me permettait d'entrevoir ses seins nus par la large échancrure de son t-shirt. De beaux seins, ronds et pleins à faire frémir n'importe quel homme. Nu sous mon peignoir, mon excitation naissante fut instantanément visible. Elle releva la tête et me regarda quelques instants en souriant. Puis, elle baissa lentement les yeux vers ce sexe qui se dressait sous l'étoffe. Puis, elle leva les yeux et me sourit à nouveau, mais cette fois-ci avec pleins de sous-entendus qui me firent rougir. Dès lors, elle abandonna sa tâche, se releva et se dirigea vers moi. Je venais à peine d'actionner la machine qu'elle se retrouvait tout à mes côtés. - Je vous ai vu souvent me regarder de la tête aux pieds. Je semble vous plaire, n'est-ce pas ? Me dit-elle en baissant les yeux vers mon sexe tendu qui formait une véritable tente sous mon peignoir. - Heu… Oui, c'est sûr ! Me contentai-je de répondre. D'une geste assuré, elle glissa sa main sous mon peignoir et attrapa mon sexe qu'elle entreprit de caresser d'une poigne ferme. - Moi aussi, j'vous ai trouvé très excitant dès que j'vous ai vu, continua-t-elle. Et, elle s'agenouilla devant moi et porta mon pénis à sa bouche. - Vous n'avez pas objection à ce qu'on se fasse plaisir alors ? Questionna-t-elle, en commençant à me sucer. Tout en me masturbant, elle faisait glisser mon gland circoncis entre ses lèvres, puis l'engouffrait dans sa bouche en faisant tourner sa langue autour. Je lui tenais délicatement la tête et la regardait me sucer aussi goulûment, n'en revenant tout simplement pas de la voir ainsi réaliser ce fantasme que je m'interdisais. Puis, après quelques instants, elle s'arrêta et retira son t-shirt, dévoilant ses superbes seins dressés. Elle prit mon sexe tendu et glissa mon gland tout mouillé entre ses deux globes qu'elle serrait des deux mains et entreprit une branlette espagnole. Mon gland tout dégoulinant se glissait entre ses melons et mon sexe bandé dur atteignait sa langue qui me léchait à chaque passage. Elle se releva d'un bond, se retourna en se penchant sur la machine qui roulait et, baissant son pantalon, elle me tendit la croupe de ses fesses. Du coup, elle passa du «vous» au «tu» : - Je veux que tu m'encules comme une salope, que tu m'enfonces ta bite entre les deux fesses. Je sais que t'en meurs d'envie, allez, mets-moi la, me dit-elle. Je ne me fis pas prier et, retroussant mon peignoir, je pris mon sexe bandé d'une main pour lui glisser entre les fesses. Pour faire durer le plaisir, je me mis à genoux derrière elle, écartant ses fesses à deux mains, et je plongeai ma langue pour titiller son anus. Je lui léchai le «bouton de rose» tout en glissant une main sous son ventre pour lui caresser la chatte. J'y enfonçai deux doigts tout en poussant ma langue le plus profondément possible dans

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LUNDI 2 JUILLET 2012

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