UNE GRANDE PASSION

Ce que je vis avec Laurent est tellement fort que j'ai eu envie de l'écrire, d'en parler, de témoigner de cette passion qui nous unit. Je n'avais jamais vécu cela auparavant. Pourtant, j'ai connu beaucoup d'hommes. Je les ai aimés mais ce ne fut jamais aussi intense que dans cette relation avec Laurent. Nous nous sommes rencontrés, il y a un peu plus de deux ans, au mariage d'une amie commune. J'avais déjà entendu parler de lui, sans le connaître. Je me souviens très bien du premier slow dansé dans ses bras. J'étais déjà conquise, charmée, troublée. Laurent avait de l'humour, il était beau, il savait parler aux femmes. Puis, il y a eu un deuxième slow, un troisième, quelques rocks aussi. J'étais venue seule à ce mariage, lui aussi. Légèrement grisée par l'alcool, je m'amusais à lui faire des avances de manière discrète mais insistante. J'étais déjà prête à faire l'amour avec lui le soir même s'il me trouvait à son goût. Au bout d'un moment, nous sommes sortis du restaurant pour prendre l'air. Et c'est là qu'il m'a embrassée. J'ai répondu à son baiser alors que tout mon corps s'était mis à frissonner. À cet instant, ma seule envie était d'être à lui. Toute à lui. Il m'a encore embrassée puis il m'a murmuré : - Et si on s'éclipsait discrètement ? Il y a beaucoup de monde et personne ne remarquera notre absence. J'ai envie d'être seul avec toi. Je l'ai suivi sans réfléchir. Nous avons pris sa voiture et nous sommes allés chez moi. Dans le hall de l'immeuble où je vivais, il m'a encore enlacé. Et moi, j'étais très excitée. Terriblement excitée. Laurent était à la fois tendre et viril, ses mains qui caressaient et découvraient mon corps pour la première fois me mettait hors de moi. La lumière du couloir s'était éteinte et j'étais contre le mur, lui offrant ma bouche et le laissant jouer à sa guise avec mes seins à travers mon chemisier. J'ai commencé à gémir alors que ma petite culotte ne cessait de s'humidifier. Laurent ne semblait pas pressé de monter chez moi. La situation, nous deux dans le noir, paraissait lui plaire et j'ai même cru qu'il allait me prendre dans le hall tellement ses caresses se sont faites plus intimes. Je l'aurais laissé faire. Il a passé ses mains à l'intérieur de mon soutien-gorge puis, dans mon slip en dentelle à la recherche de mes fesses et de mon sexe. Je mouillais de plus en plus tandis que je sentais sa verge très dure sous sa braguette. Mon bassin s'est mis à onduler et je n'en pouvais plus. J'étais si excitée que j'aurais pu sans problème jouir ainsi et seulement sur ses doigts. J'étais prête à m'abandonner quand Laurent a préféré monter chez moi. Nous sommes passés directement dans ma chambre. C'est lui qui m'a déshabillé tout en continuant de m'embrasser et de me caresser. Il me trouvait belle, sexy, il parlait déjà de me faire l'amour toute la nuit. J'avais les pointes de mes seins durement érigées quand il a retiré mon soutien-gorge. Il les a léché et sucé, excité entre son pouce et son index avant de me débarrasser de ma jupe. Je n'avais plus que mes bas, mon porte-jarretelles et ma culotte lorsque je me suis retrouvée étendue sur mon lit. Laurent est venu me rejoindre après s'être mis entièrement nu. Je n'avais laissé qu'une lumière douce et tamisée dans ma chambre et j'ai pu remarquer son état d'excitation quand il est venu se coucher près de moi. Son sexe était tellement tendu qu'il restait plaqué sur son ventre. Et, pendant que Laurent s'attardait de nouveau sur mes seins, j'ai approché une main de cette queue hyper raide. Je l'ai masturbé avec douceur, j'ai empoigné délicatement les bourses, effleuré le gland. J'avais très envie de ce sexe d'homme gonflé par le désir, envie de le prendre dans ma bouche et de le recevoir dans tous mes orifices. J'ai attendu que Laurent me guide entre ses cuisses pour faire glisser son membre entre mes lèvres. Mon nouvel amant me guidait tout en caressant ma nuque. Il me demandait de continuer : - Oui, c'est très bon, ce que tu es en train de me faire. Surtout, ne t'arrête pas ! Je n'avais pas du tout le désir d'interrompre ma fellation. J'y prenais trop de plaisir. Laurent m'a fait comprendre qu'il me voulait à quatre pattes sur lui. Je me suis placée tête-bêche

» Plan cul Auray

JEUDI 15 MAI 2014

Pour répondre à cette annonce et voir la vidéo, Veuillez indiquer :

@