LE GUET-APENS 2

Un gros plan montra mon index faisant rouler mon clitoris alors que j'ouvrais brièvement les cuisses mais soudain je me redressai d'un coup et avançai dans la pièce, jusqu'à un petit meuble où j'ouvris un tiroir pour en tirer un objet couleur chair. Tout d'abord incrédules, les hommes se regardèrent. Ils n'en croyaient pas leurs yeux, c'était trop beau ! Et pourtant ils durent bien finir par reconnaître en l'objet un superbe godemiché. D'ailleurs, pour ne laisser aucun doute, je m'étais assise sur le bord du canapé, mes deux chaussures appuyées aux extrémités de la table basse. Incroyable spectacle ! La caméra vint me cadrer à hauteur de la table basse, de la façon la plus impudique possible, les jambes ouvertes et relevées, livrant mon intimité. Ils me virent passer l'objet sur mes lèvres, visiblement entrouvertes, pour le lubrifier à la source de mes lèvres. Le gode que je tenais entre mes mains imitait parfaitement un membre masculin mais sa taille était plus importante ; plus importante que celle du membre de Robert en tout cas. Tout alla très vite alors. L'objet brillait, trahissant l'abondance de ma mouille. Il me virent fermer les yeux, empoigner la base du gode, de grosses couilles gonflées, et guider l'autre extrémité entre mes chairs. Robert avait filmé en gros plan et ils purent voir mes grosses lèvres charnues, amollies par l'excitation, s'arrondir autour du gland du gode. Le plan suivant me montrait, bouche ouverte, savourer la sensation de l'objet venant en moi. L'on voyait que je n'étais nullement inquiète de ses dimensions. Mon bassin ondulait au rythme du poignet qui forçait le godemiché en moi. Bientôt je l'absorbai complètement jusqu'au renflement et la caméra révéla que je le poussais en moi comme pour m'en pénétrer davantage. Bien entendu, ces types avaient déjà vu des spectacles de ce genre, car ils étaient tous deux des habitués de cinéma porno mais la vision de leur hôtesse sur cet écran, comme extraite d'une de ces vidéos pornos qu'ils regardaient souvent, rendit soudain légitimes, à leurs yeux, les fantasmes les plus fous ! Je devins alors pour eux la plus vicieuse des actrices hard. Pendant ce temps Robert enrageait d'être toujours retenu et de ne pas pouvoir seulement communiquer avec moi. Puis j'entendis du salon la voix d'Henry qui m'appelait : - Evelyne ? - Oui… Vous avez besoin de moi ? Dis-je en les rejoignant. - Oui, nous avons un problème avec la vidéo, pouvez-vous venir ? Je les rejoignis au salon sans me douter de quoi que ce soit. - Tenez, venez voir un instant, me dit Henry en me désignant la place libre sur le canapé, entre son copain et lui, il n'y a que le début de l'entraînement sur cet enregistrement. J'eus bien envie de leur dire que je me moquais totalement de leur entraînement, mais en bonne maîtresse de maison, je souris et vins m'asseoir entre eux. Les images défilèrent sur l'écran mais ne tardèrent pas à laisser place à la fameuse scène décrite plus haut. J'eus un moment de surprise puis de stupeur, ne reconnaissant pas immédiatement la scène en question mais soudain mon visage s'empourpra et je me figeai. - Oh non ! Je serrai les poings et cherchai des yeux la télécommande. - Arrêtez ça ! Arrêtez ça immédiatement ! Tout de suite ! Vous m'entendez ? Mais les deux hommes ne bougèrent pas. Je m'apprêtais à me lever pour aller arrêter le magnétoscope mais deux mains vigoureuses me retinrent en m'appuyant sur les épaules, m'immobilisant sur le canapé. - Mais…? Qu'est-ce qui vous prend ? Laissez-moi… Vous êtes fous ! - Du calme, tu vas rester bien tranquillement avec nous, me dit-il, se mettant soudain à me tutoyer, on va la regarder encore… Pour la troisième fois !

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SAMEDI 24 NOVEMBRE 2012

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