INITIATION À L'EXHIBITION

Je m'appelle Noémie, j'ai 26 ans et je vis à Marseille. Après avoir fait des études de lettres jusqu'à la licence, je n'ai rien trouvé d'autre qu'un travail de vendeuse dans l'une des nombreuses boutiques de vêtements de la rue de Rome. Je suis venue vous parler ici de mes premières expériences d'exhibition. J'ai l'espoir aussi de connaître d'autres témoignages de femme aimant s'exhiber. Est-ce réellement une perversion comme je l'ai lu dans plusieurs bouquins de sexologie ? Pourquoi est-ce aussi troublant de montrer ce que l'on doit normalement cacher ? Car pour moi, c'est une jouissance très particulière que de devoir dévoiler mon corps devant des inconnus qui se masturbent et dont le seul plaisir est celui des yeux. Je me sens souvent coupable et honteuse mais j'ai l'impression que c'est justement parce que c'est interdit que je jouis encore plus fort. En fait, j'ai toujours été une exhibitionniste. Adolescente déjà, une grande partie de mes fantasmes tournaient autour de ce thème. Lorsque je me masturbais, l'une de mes histoires préférées que je me racontais, était de m'imaginer nue au milieu de plusieurs hommes beaucoup plus âgés que moi. Ils étaient assis dans des grands fauteuils et je devais me caresser devant eux, m'approcher et écarter mes cuisses pour leur faire découvrir ma chatte, me tourner et leur présenter mes fesses, les écarter de façon obscène sur mon petit trou. Eux, ils ne faisaient que regarder, ils touchaient un peu mais sans plus, il sentaient mes odeurs intimes. Ce scénario me faisait jouir très fort chaque fois. J'ai toujours aimé m'habiller de façon très sexy avec des jupes courtes qui dévoilent mes longues cuisses, un jean serré qui moule bien mes fesses et des tee-shirts largement échancrés sous lesquels je ne mets pas de soutien-gorge. L'été, sur les plages, je porte souvent de maillots-string et il m'arrive aussi de faire du naturisme. C'est un besoin pour moi de provoquer, d'allumer les hommes et de sentir leur regard sur mon corps. Pendant longtemps, je me suis refusée cette étiquette de femme exhibitionniste. Je pensais juste que c'était naturel pour une femme de se sentir désirer. J'avais une vie sexuelle tout a fait normale. J'aimais faire l'amour et comme j'avais un physique qui plaisait, je multipliais les aventures. Jusqu'à ce que je rencontre Richard, un homme divorcé, médecin à Marseille. Déjà, c'était la première fois que mon partenaire était beaucoup plus âgé que moi. En effet. Richard a 37 ans. Mais c'est aussi un homme avec des fantasmes particuliers. Il est dominateur, il aime guider, diriger, être obéi. J'ai découvert avec lui une façon nouvelle de faire l'amour qui me faisait jouir encore plus violemment. Sa domination est avant tout cérébrale, elle passe par les mots, par des attitudes sévères, une façon autoritaire de se comporter avec moi mais qui exclut toutes formes de violence. Par contre, il aime m'attacher, me bander les yeux et se servir de mon corps comme lui seul le décide. Quand il me fait l'amour, il me raconte des histoires ou bien, il invente un scénario. Et dans ses histoires, il est souvent question d'exhibition. Je ne lui avais jamais parlé de mes fantasmes secrets mais Richard les avait très vite deviné. C'est lui qui, un soir, m'a demandé : - Ça te plairait de te montrer devant des hommes ? J'ai fait mine de ne pas comprendre mais au même moment, une sensation intense a envahi mon corps. Devant mes yeux écarquillés. Richard a continué : - Oui, de te montrer nue. De t'exhiber réellement devant des voyeurs. Il connaissait un coin sur la Corniche, un parking situé près de la plage du Prado et réputé pour être fréquenté par des voyeurs. Nous y sommes allés un soir de semaine, juste à la tombée de la nuit. C'est Richard qui m'avait conseillée sur ce que je devais porter : un imperméable sous lequel j'étais presque entièrement nue avec un porte-jarretelles, des bas, un string en dentelle et un soutien-gorge pigeonnant. J'étais à la fois inquiète et excitée quand sa voiture s'est engagée sur la Corniche. Je ne savais pas encore si j'aurais vraiment le courage de m'exhiber devant des inconnus. Il s'est garé au fond du parking, sous un lampadaire. Dès que j'ai vu surgir un homme et se diriger vers nous, je lui ai demandé de repartir. J'étais en nage, j'avais les mains moites, mon c ur cognait fort dans ma poitrine. Richard m'a rassurée alors qu'un deuxième homme s'approchait

» Plan cul Delle

JEUDI 3 JUILLET 2014

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