JEU DE GUERRE… ET D'AMOUR

La pluie tombe depuis déjà un bon moment lorsque j'arrive enfin en lieu sûr. L'ancien QG cubain est d'une propreté éclatante. La paperasse est classée sur des étagères exemptes de toute poussière, les cadres sont accrochés au mur et ajustés au quart de tour, les fenêtres sont limpides comme de l'eau de roche. Malgré ma hâte, je prends tout mon temps pour vérifier les pièces de la petite bâtisse à deux étages. Personne ne s'y trouve, je poursuis donc mon chemin vers l'escalier en colimaçon menant vers les appartements du commandant disparu. J'y déniche une foule de photos de guerre le montrant en pleine bataille, je continue à fouiller mais je ne trouve rien qui puisse m'aider dans ma mission. Ils ont dû tout emporter avec eux quand ils ont fui, songeai-je en m'avançant vers le grand lit trônant au beau milieu de la pièce. Je descends la longue fermeture éclair située à l'avant de ma combinaison verte et je la laisse tomber sur le sol avant de m'affaler nue sur le lit. Le sommeil vient me chercher immédiatement, cela fait tant de bien de fermer les paupières après des jours et des jours de combat. J'entends des voix pendant que je dors. Je ne le sais pas mais ces voix n'appartiennent pas à mon rêve. Quelqu'un me touche le bras, je ne rêve pas, j'en suis certaine. De peine et de misère, je soulève les paupières et j'aperçois plusieurs silhouettes penchées sur moi. Lorsque ma vision s'éclaircit et que je comprends enfin où je me trouve, mon sang se fige. Je croyais que mes coéquipiers étaient morts, je les ai tous vus tombé sur le champ de bataille. Il ne restait plus que moi, dans la faction, à pouvoir sauver la mission… Pourtant, les visages qui me sourient à travers les doux rayons du soleil matinal appartiennent bien à Noan. Philip. Fred et Sam. Ils sont tous là, bien vivants. Noan approche son visage du mien, je sens ses mains parcourir mon corps. Mon c ur s'enflamme soudainement pour eux, pour mes quatre soldats. Ma bouche refuse d'émettre le moindre mot mais je laisse échapper quelques plaintes. Mon corps, paralysé par l'émotion et l'excitation, refuse également d'obtempérer à ma volonté de tous les serrer dans mes bras. Je sais qu'ils regardent ma nudité avec envie, j'ai vécu tant d'horreur que je me sens tout à coup très faible. Je ne bronche pas lorsque Sam retire la couverture pour me masser les pieds et les mollets, pour me les embrasser aussi. Je soupire longuement lorsqu'il dépose de tendres baisers sur mes jambes. Je panique un peu lorsqu'ils me délaissent un instant, qui me parait une éternité, afin d'ôter leur vêtements. La tête reposant sur le côté, je regarde, moi aussi, leur nudité. Je ne désire qu'une chose, me donner à ces quatre hommes, mes amis et coéquipiers. Une langue s'insinue entre mes cuisses, je sens l'excitation me gagner lorsque des mains puissantes m'écartent doucement les jambes. Je m'abandonne complètement aux caresses, je profite de chaque instant, de chaque pression ou souffle sur ma peau, de chaque gémissement de satisfaction. Les yeux clos, les sensations s'amplifient et peuvent même doubler. La virilité de Philip se dégage naturellement et puissamment de son être. Ses yeux ambrés sont fascinants, ils me fixent, magnétiques, et je ne peux détourner le regard, comme s'il m'avait ensorcelée. Mais ce charme n'est que de courte durée. Fred me chevauche maintenant au niveau de la poitrine. Je vois son gland apparaître et disparaître entre mes seins qu'il serre fermement autour de sa tige. Il les malaxe doucement en aspirant mes petits mamelons durs et en effleurant des lèvres ma peau basanée. Je l'entends gémir de plus en plus fort, il serre plus fermement mes seins, du sperme s'échappe de sa queue… Son rythme s'accélère un instant, puis il ralentit et s'arrête. Je réussis à mêler mes mains aux siennes pour étendre sa semence sur ma poitrine et ses protubérances. Je sens des chatouillements aux pieds. Je soulève la tête et je comprends que Philip utilise mes pieds pour se masturber. Je sens un autre éclair de chaleur me traverser le ventre et exploser dans mon sexe. Je croise les jambes, je serre les cuisses, je gémis. Une main s'empare de la mienne et la dépose sur une queue. Je tourne la tête et je vois Sam qui, la main sur la mienne, se masturbe. Il me sourit et se penche pour atteindre ma chatte avec ses doigts. Il répand toute

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JEUDI 18 DéCEMBRE 2014

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