JULIETTE

Juliette était vraiment fière de son coup. Elle avait dompté ce routier, et, par la même occasion, réalisé son fantasme le plus intime. L'auto-stop n'était qu'une excuse, et cette excuse avait plutôt bien marché avec Harvey. D'autant plus qu'elle trouvait ce mec vraiment très plaisant. Elle savait très bien qu'elle referait l'amour avec lui, les gouttes qui perlaient de son sexe et qui coulaient le long de ses jambes en était la preuve. Juliette savait qu'elle devait passer pour une salope. Pourtant elle avait toujours été, jusqu'à aujourd'hui, une jeune fille bien sage. Elle n'était sortie qu'avec un seul homme de toute sa vie. Cela pouvait paraître étrange qu'une jeune fille de 21 ans, belle et sexy comme elle, n'eut jamais fait cocu son mec. Surtout qu'avec lui elle n'avait jamais éprouvé de plaisir. Elle était avec lui par convenance depuis 3 ans. John était un employé de banque qui finirait probablement directeur, ou, à tout le moins, à un poste très élevé. Il était beau, et tout le monde disait à Juliette qu'il était l'homme de sa vie. Alors elle s'était mise à croire à ce conte fée. Elle était loin d'être stupide. Juliette, et elle venait de finir sa troisième année de droit. Harvey descendit en premier du camion et après que Juliette eût ouvert la porte, il la pris par les hanches et la souleva afin de la poser sur le sol comme si elle n'était qu'une gosse. Mais le doigt qu'il lui glissa discrètement dans la chatte n'avait rien à voir à ce que l'on fait à une enfant ! Cela permit à Juliette de sortir de ses pensées pour admirer son Harvey, profiter de son doigt, et lui rouler une pelle. Il était vraiment rustre, grossier (mais pourtant pas totalement stupide) mais elle adorait ça. Elle adorait être traitée comme un objet sexuel et être désirée, elle retira la main de Harvey de sous sa jupe en jouant la timorée. Puis elle lui chuchota de se contrôler. Harvey rigola. Juliette aussi. Pourtant, elle dégoulinait totalement de mouille, son sexe était en feu, elle n'avait jamais eut aussi envie de faire l'amour. Mais elle avait décidé de faire patienter Harvey qui devait être aussi fou d'attente qu'elle. Tout en allant s'asseoir à une table, elle se remit à penser à John. Ce salaud la cocufiait depuis le début. Elle qui aurait pu coucher avec tant d'hommes avait été trompé avec des dizaines de femmes. Elle l'avait appris la veille au soir. Elle l'avait saoulé, car elle avait des doutes depuis peu quand à sa fidélité, et cet abruti avait craché le morceau en rigolant bêtement. Quelques verre de Tequila avaient suffit à lui faire tout dire, lui qui prenait tant de peine à cacher ses liaisons à Juliette. Harvey, voyant que Juliette restait plongée dans ses pensées, se leva et se dirigea vers les toilettes, après lui avoir dit qu'il n'en avait pas pour longtemps. Tout d'abord, après avoir appris la triste vérité. Juliette fut complètement perdue. Elle pleura pendant toute la nuit (alors que dans les toilettes. John vomissait toute la Tequila qu'il avait ingurgitée.). Elle avait pensé rentrer chez ses parents mais, il était encore trop tôt, et puis après tout, c'était à cause d'eux qu'elle avait rencontré John. C'est dans l'après-midi, lasse des gémissements de John, qui ne cessait de pleurnicher en lui demandant de l'excuser, en lui disant qu'il l'aimait et en sortant plein d'autres excuses bidons, que Juliette décida de partir, loin de tout, vivre enfin la grande aventure. Elle se déshabilla devant John, pris sa douche, et lui interdit de la toucher. Elle lui expliqua que c'était la dernière fois qu'il voyait son cul, ses seins, son sexe, puis elle mis directement une jupe qu'elle n'avait jamais osé porter, un débardeur, pris quelques affaires de rechange qu'elle fourra dans un sac, et elle partit, laissant cet ex-homme de sa vie baigner dans ses larmes de croco. Elle ne savait pas encore que quelques heures plus tard, son anus serait visité par la grosse queue d'un routier nommé Harvey.

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VENDREDI 30 NOVEMBRE 2012

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