LISE ET LES FEMMES

Je m'appelle Lise, j'ai 34 ans, je suis cadre dans une grande entreprise et je suis une parfaite bisexuelle. Je ne me suis jamais mariée pour pouvoir garder ma liberté et vivre ma sexualité comme je le désire. Si je me montre assez facile avec un homme, quand je suis avec une femme, mes fantasmes tournent essentiellement autour de la domination. Je n'aime pas les excès de violence, la brutalité gratuite. Je suis une domina soft, comme on dit, préférant jouer de manière cérébrale avec mes partenaires. J'aime les diriger, les pousser à m'obéir, les humilier parfois et me montrer assez crue avec elle. La vulgarité est quelque chose qui me choque beaucoup en règle générale, sauf en amour où elle stimule ma libido. Et les mots ont un pouvoir extraordinaire sur mon excitation. Si je vous écris aujourd'hui, c'est pour vous parler d'une jeune étudiante que j'ai rencontrée dernièrement mais aussi, pour clouer le bec à tous ceux qui sont persuadés qu'il n'y a que des filles moches, ou frigides ou mal baisées, chez les lesbiennes. Donc, dernièrement, j'ai fait la connaissance de Coralie dans un bar fréquenté exclusivement par des femmes, l'idéal pour moi quand j'ai envie d'une rencontre rapide. Elle était seule à une table. Elle avait un air aussi à son aise dans cet endroit qu'un oisillon tombé du nid. C'est sa fragilité qui m'a poussée vers sa table. À peine dix-neuf, vingt ans, rousse avec de grands yeux verts, une bouche sensuelle, maquillée d'un léger rouge orangé qui soulignait à merveille l'éclat de son teint de peau et de ses petites taches de rousseur, de jolis seins que l'on devinait sous son débardeur blanc, la taille menue moulée dans un jean serré. Impossible de perdre ma soirée. Quand je l'ai abordée, elle s'est mise à rougir. De quoi m'exciter encore plus ! Une demi-heure après, elle me suivait chez moi. Je l'ai dirigée directement vers ma chambre où je l'ai embrassée d'autorité, glissant ma langue entre ses douces lèvres charnues et caressant ses seins menus à pleines mains. J'ai trouvé ses deux tétons déjà érigés sous le tissu de son débardeur et je me suis amusé à les pincer délicatement en serrant de plus en plus fort mon étreinte sur ses pointes dures. Coralie s'est aussitôt mise à gémir, elle me murmurait que je lui faisais mal mais je sentais très bien que ce genre d'attouchements ne la laissait pas indifférente dans sa petite culotte. J'avais envie de me comporter comme un mec avec elle. J'ai pincé encore plus fort et étirant ses deux tétons et je lui ai lancé froidement : - Tu vas faire tout ce que je veux, c'est bien compris ? Coralie m'a répondu oui en baissant les yeux, comme si elle voulait éviter mon regard dur. Je l'ai débarrassée de son débardeur et j'ai découvert deux jolis seins en poire avec de larges mamelons sombres. Les pointes étaient larges et tendues. Je les ai léchées l'une après l'autre, je les ai sucées. J'ai demandé ensuite à Coralie de se déshabiller complètement et de s'étendre à plat ventre sur mon lit. Je la sentais hésitante et un peu honteuse mais elle a fini par m'obéir. Quand elle a retiré sa culotte, j'ai pu apercevoir une jolie chatte de rousse, peu poilue avec les lèvres bombées et serrées sur une fente rose et étroite. Mais déjà toute brillante de cyprine. Alors qu'elle était étendue devant moi et m'offrait la vision d'un joli petit cul absolument parfait, j'ai glissé ma main entre ses cuisses. Mes doigts l'ont fait aussitôt gémir et je les ai sentis s'imprégner d'une chaude liqueur qui s'écoulait de sa fente. Je l'ai branlée, j'ai joué avec son clitoris puis, je lui ai ordonné de se mettre à quatre pattes, les cuisses très écartées et le cul bien cambré vers l'arrière. Devant sa jolie croupe entièrement offerte, je n'ai pas pu résister à l'envie de la fesser un peu. Coralie n'a rien dit quand elle a reçu une première claque sèche sur son cul. Cela m'a encouragée à lui en administrer une seconde, puis une troisième alors que sa petite chatte rousse se mouillait de plus en plus. J'ai écarté sèchement ses deux lobes fermes sur son anus ourlé et plissé. Coralie s'est laissée inspecter, docilement avec un plaisir qu'elle avait du mal à dissimuler. Je l'ai encore caressée, j'ai passé mes doigts sur sa vulve et je les ai remontés vers son trou

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MERCREDI 26 MARS 2014

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