LA LONGUEUR DE TA QUEUE

Nous revenions de notre rendez-vous. Tu m'avais invité à un dîner romantique et charmant au restaurant Roy's à Hawaii. Ensuite, nous nous étions arrêté sur la plage pour regarder le clair de lune qui dansait sur les vagues déferlantes. Je ne vais que très rarement dans les bons restaurants, et j'ai eu une soirée magnifique ! Ça faisait plusieurs fois que nous sortions ensemble, et tu voyais bien que j'étais très attirée par toi. Nul besoin de feindre la surprise quand je t'invitai à mon appartement pour discuter un peu. Ma copine était sortie avec son mec, alors, nous avions l'entière liberté de l'endroit. Je t'avais déjà précisé que j'étais célibataire lors d'un dernier rendez-vous, et que je ne voyais personne en ce moment. Tu me trouvais attirante, et ce soir, j'avais décidé de rendre évident que ce sentiment était réciproque. Nous nous sommes assis sur le rebord de mon lit, parlant de choses et d'autres, nos cours, les gens que nous connaissions, et finalement, de nos relations amoureuses. Tu me demandas : -Alors Pam, que dois faire un garçon pour que tu l'aimes vraiment ? Tout en t'approchant un peu plus de moi. Voyant ta proximité, je répondis : -Bien, je n'aime pas les gars qui pensent être les meilleurs ou qui diraient que je passe à côté de quelque chose de bien si je ne sors pas avec eux. Et je déteste vraiment les garçons qui prétendent être bien alors que c'est le contraire et qu'ils se foutent de mes sentiments. J'en connais qui avancent aussi que leur bite fait 20 centimètres alors que jamais de ma vie j'ai vu un tel engin ! Mon ex avait une queue de 12 centimètres et c'était très bon. J'imagine que j'en demande pas tant. J'aime bien les mecs simples comme toi. À ces mots, ton c ur s'arrêta alors que je mis ma main sur ta cuisse. Te rapprochant encore un peu plus, tu passas ta main dans mes cheveux longs et la posas doucement sur mon épaule. Tu étais alors si près de moi que tu me chuchotas à l'oreille : - Je suis heureux d'apprendre que tu me trouves gentil. Je n'ai pas de queue de 20 centimètres, mais je crois savoir bien l'utiliser. À vrai dire, je ne l'ai jamais mesuré, et je ne pourrais dire sa longueur. Qu'en penses-tu, devrait-on la mesurer, pour savoir ? Je sentis alors mon c ur s'accélérer, appréhendant ton toucher délicat. J'ajoutai alors en souriant : - Oui, je crois que c'est à découvrir. Je suis certaine que ton pénis a une bonne longueur, mais vérifions pour voir… Tu ressentis la victoire en toi, et tu m'embrassas tout doucement du bout des lèvres en me serrant contre toi. Tu sentis mon corps s'abandonner dans cette étreinte. Pendant que tu m'embrassais, tes mains parcoururent mon corps, en commençant par mes épaules et en descendant tout doucement sur mes seins fermes. Une main s'aventura dans mon dos pour y découvrir la fermeture-éclair et l'ouvrir. Ma main, elle, parcourut tes larges épaules et tes pectoraux bien formés. Elle se promena peu à peu en se dirigeant vers ton entrejambe, explorant l'intimité de cette protubérance au-devant de ton pantalon. Tu avais déjà défait l'attache de mon soutien-gorge et descendis tout doucement les bretelles en même temps que ma robe, dévoilant ainsi mes épaules nues et mes seins pointus. Je m'allongeai tout doucement sur le lit, ma robe toujours autour de ma taille. J'étais là, offerte, et tu t'allongeas auprès de moi pour masser un sein avec ta main alors que tes lèvres léchaient tout doucement l'autre. - OHHHHHHHHHHHHH ! C'est agréable… Je gémis alors que tu t'attardais à mon mamelon sensible avec le bout de ta langue chaude, caressant l'autre entre ton pouce et ton index. Je pressai l'arrière de ta tête, t'invitant ainsi à continuer. Après un long moment, tu te posas et tu retiras ma robe. Je t'aidai en me soulevant les hanches, et en l'espace de quelques secondes, ma robe ne fut plus qu'un tas de chiffon sur le sol. Je soulevai à nouveau mes hanches et tu poursuivis avec ma culotte, me laissant complètement nue. Tu pris une légère pause pour profiter de l'instant et admirer mon corps nu, avant de te pencher un peu vers l'avant en écartant tout doucement mes jambes pour te donner accès à ma chatte. Tu commenças à me lécher avec délicatesse entre les jambes et je ne pus retenir un petit cri alors que tes lèvres moites s'accaparaient de mes lèvres sensibles : -

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VENDREDI 25 JANVIER 2013

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