LE MARI DE PAULA

Je m'appelle Sébastien et je suis programmeur informaticien. Je bosse dans une entreprise de X. J'avoue que c'est très excitant comme boulot surtout que je suis confronté au traitement de contenu pornographique chaque jour. Mais je dois également admettre que les scène de cul hétéro me laissent totalement indifférent. Ce que j'aime c'est le gay trash. Je suis homo, vous l'aurez deviné, mais en plus, j'adore le sexe hard. Avec mes potes, nous fréquentons des bars underground, des endroits très hots, très sophistiqués dans lesquels il se passe des choses pas toujours ordinaires. La semaine dernière par exemple, nous avons passé la nuit dans une boîte très branchée et le hit de la soirée était un mec qui se prêtait à un fisting anal. À couper le souffle ! Mais revenons à mon boulot. Voilà, tous mes collègues de travail savent que je suis gay et personne ne m'a jamais fait chier avec ça. Faut dire que je ne suis pas le style pédé à paillettes mais plutôt le costaud hyper musclé. Ça aide vachement au respect. Par ailleurs, je suis très respectueux de l'orientation des autres… Pas trop mon truc d'essayer de convertir les hétéros autour, ce qui fait que mes collègues n'ont pas peur de moi et que notre entente est parfaite. Le bureau juste à côté du mien est occupé par Paula, ma meilleure pote en quelque sorte. Quand on fait la fiesta au bureau, c'est toujours un plaisir de revoir Steffane, le mari de Paula. Il est sweet, vraiment sympa, et bon vivant. Et qu'est-ce qu'on rigole, son sens de l'humour est trop coup de poing ! Toutefois, la dernière fête de notre société m'a laissé une drôle d'impression, comme si Steffane essayait de nous passer un message à mon mec et moi. Je n'ai pas super bien saisi jusqu'à hier soir en fait, quand j'ai croisé le fameux Steffane par le plus grand des hasards, dans un endroit parfaitement inapproprié pour lui. Il était 23 heures et Pascal (mon mec) et moi venions d'entrer à la «Cage aux Couilles». Le spectacle qu'on y jouait plus tard dans la nuit promettait d'être haut en douleurs puisqu'il s'agissait d'une double pénétration pour un puceau. En fait, il s'agissait d'une sorte de jeu coquin pour lequel différents participants s'amenaient pour une lutte acharnée dans une sorte de gélatine bleue. Chaque candidat devait éliminer ses rivaux le plus souvent car celui qui perdait le plus de combats souffrait au terme de l'exercice du dépucelage anal. Aussi. Pascal et moi nous réjouissions follement de cette promesse de plaisir puisque ce soir-là nous étions les dépuceleurs. Une fois les 7 candidats dans l'arène, je n'en cru pas mes yeux lorsque je reconnus Steffane. Pascal me donna un grand coup dans les côtes et je sus que je ne rêvais pas : c'était bel et bien le mari de Paula, notre pote Steff. Putain ! Ça n'avait rien de rigolo. Et pourvu qu'il ne perde pas ce con… Parfois, il est des valeurs qui restent fondamentales. Et l'idée de me commettre avec un hétéro, mari de ma meilleure amie en plus, voilà un truc qui me répugnait. Pascal se tourna vers moi et me dit que Steff était un adulte, que s'il était là, c'est qu'il l'avait choisi. Sans doute, lui répondis-je, mais ma conscience n'était pas du tout en règles avec Paula. Pour la première fois de ma vie, je me retrouvais dans une situation d'hésitation. Les combats commencèrent malgré la lutte dans mon esprit, et Steff gagna son premier round. J'observai alors qu'il avait une façon très sensuelle de toucher l'autre homme, de glisser ses mains sur son corps, de prendre possession de ses muscles, de sa chair, de ce qui se cachait sous son caleçon aussi. Un frisson parcourut mon corps. Jamais l'idée que Steff fut attiré par les mecs ne m'avait effleurer l'esprit. Mais ce que je voyais me prouvait le contraire. Difficile de penser de façon rationnelle dans ce cas car Steff avait un physique très agréable et même si Pascal et moi n'avions jamais loucher sur lui, il nous fallait admettre que c'était un mec plutôt bandant ! Steff perdit les trois rounds suivants. Mince ! Bizarrement, il semblait quand même beaucoup plus fort que ses adversaires. Pascal et moi eûmes un doute : et s'il perdait volontairement pour qu'on l'encule ? C'est comme si à ce moment bien précis Pascal réalisa ce qui risquait de se passer et que soudain il comprit que cette situation serait pour moi intenable. Comment reparler à

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DIMANCHE 4 NOVEMBRE 2012

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