MECS EN UNIFORME

Vice, déviance ou perversion ? Je suis une femme de 31 ans, mariée. Aujourd'hui, même si cela m'est parfois difficile, je dois admettre et accepter mon côté fétichiste ainsi que ma nature de femme soumise. En deux mots, je suis très excitée par les hommes en uniformes, que ce soit les pompiers, les C. R. S, les militaires… Des hommes qui représentent une certaine autorité, un certain pouvoir. Des hommes qui dégagent une impression de force, de virilité et de puissance. Je sais que chez les homosexuels, c'est un fantasme assez répandu. Par contre, je crois que c'est plus rare chez les femmes et c'est l'une des raisons qui me pousse à écrire cette lettre. D'autre part, tout serait beaucoup plus simple, je crois, si je pouvais concrétiser mes fantasmes avec mon mari, ou du moins en parler avec lui. Mais ce n'est pas le cas. David ne sait rien de tout ça. Il ne sait pas, non plus, que depuis plus de trois mois, je le trompe. J'ai une relation étonnamment perverse avec un autre homme : Patrick. Il a 48 ans, il est divorcé et occupe un poste élevé dans l'armée. C'est un colonel de l'aviation et je suis obligée de rester très discrète sur son identité. J'ai fait sa connaissance par Minitel. J'ai souvent honte de moi quand je pense jusqu'où je peux aller avec cet homme. Je ne lui refuse rien. J'accepte tous ses vices, toutes ses manies, toutes ses perversions. Patrick est un homme autoritaire, souvent cru avec moi et sévère. Quand je le vois, dans sa tenue marine avec ses bottes cirées, impeccables et son regard froid, je perds tous mes moyens. Je deviens sa chose, je m'offre à lui comme un jouet docile et j'en retire un plaisir indescriptible. Je l'ai rencontré pour la première fois, il y a seulement trois mois et je ne peux déjà plus me passer de lui. C'est si différent de ce que je vis avec David et tellement plus fort. En ce moment, je me pose mille questions. J'ai surtout peur de m'être mariée, il y a six ans, pour échapper à mes fantasmes et à ma vraie nature et pour tenter de refouler mes désirs réels. J'ai épousé un homme simple, sans histoire, qui me fait l'amour avec une extrême tendresse et une grande douceur. Mes rapports avec mon mari sont très classiques et d'une grande banalité, sans fantaisie ni la moindre originalité. C'est souvent rapide : on s'embrasse, on se caresse et il me prend. David n'est pas un homme pour qui le sexe est quelque chose de très important. Je n'ai jamais vraiment joui avec lui. J'ai toujours eu plus de plaisir en me masturbant que dans ses étreintes souvent bâclées. Avec Patrick, c'est tout à fait autre chose. Avec lui, j'ai osé… J'ai d'abord osé lui parler de mon fantasme de l'uniforme quand j'ai su qu'il était militaire. Cachée derrière l'anonymat du Minitel, c'était beaucoup plus facile pour moi de me livrer à de telles confidences. Mon fétichisme (même si j'avais refusé pendant longtemps de le nommer ainsi) remontait à mon adolescence et à mes premiers émois sexuels. Il m'en reste encore une image très forte : celle d'un défilé du 14 juillet, dans la petite ville de province où je vivais, avec la participation de la fanfare de la légion étrangère. Par la suite, et chaque fois que je me masturbais, je m'imaginais avec des hommes en uniformes. Peu à peu, mes fantasmes ont évolué. Il y avait toujours des hommes en uniformes dans les histoires que je me racontais mais nos rapports prenaient une tournure beaucoup plus scandaleuse. Je me soumettais tout simplement à eux. Je n'en ai jamais parlé à personne, même pas à mes meilleures amies. J'avais trop honte de moi. En même temps, je m'efforçais de chasser toutes ces idées que je jugeais malsaines et perverses tout en essayant de retrouver ce que j'appelais, une sexualité normale. Bien que j'éprouvais toujours une sorte de grand frisson chaque fois que je croisais un homme en uniforme. Même en photo, l'effet sur moi était identique. Un grand frisson accompagné d'une excitation vive et incontrôlable au niveau de mon sexe. J'ai eu mes premiers flirts, mes petits copains. Puis plus tard, j'ai croisé, chez des amis communs, celui qui allait devenir mon mari. David n'avait rien de très viril, de macho, ni d'autoritaire. C'est étrange de choisir

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LUNDI 2 FéVRIER 2015

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