NADINE LE MODÈLE 1

Nadine, fût la première à me répondre. Un petit courrier rapide me disant que la photographie du magazine lui plaisait et qu'elle voulait poser nue. Elle m'envoya une photo d'elle réalisée par son mari. Une image couleur assez coquine. On la voyait en levrette, bien ouverte et ses seins pulpeux, au beau volume, touchaient à peine les draps de soie bleue. Elle me laissa son numéro de téléphone pour que je rappelle. Le soir même, je composai le numéro, c'est son mari qui répondit et me passa Nadine. Elle me précisa qu'ils étaient un couple très libre, qu'ils faisaient du naturisme et fréquentaient des lieux échangistes. Elle me parla un peu de la photo vue dans le magazine, me précisant que les photos que l'on faisait d'elle, habituellement, était bien plus hard. Je lui avouai que la photo qu'elle m'avait envoyé était charmante et que ses formes étaient tout à fait désirables. Elle me dit un petit merci très sensuel, précisant qu'elle aimait beaucoup s'exhiber, même pour du hard mais qu'elle avait envie, pour une fois, de photos d'elle qui soient artistiques. Je la remerciai de ses compliments et lui proposai un premier rendez-vous, histoire de lui montrer le reste de mon travail, qu'elle puisse aussi me montrer quelques autres photos d'elles, même hard. Elle accepta et me proposa de venir chez elle le lendemain en fin d'après-midi. Je fus à l'heure au rendez-vous. Nadine m'accueillit dans un petit short moulant blanc, un bustier assez minimaliste et je pus distinguer sans problème le galbe de ses seins. Je la complimentai immédiatement sur les belles rondeurs de ses seins et, me tournant le dos elle me dit : - Aimez-vous mes fesses aussi. J'avouai qu'elles étaient aussi rondes que sa belle poitrine. Elle me proposa un verre. Assis sur le canapé. Nadine se baissa pour ouvrir un buffet et sortit les boissons. La vue qu'elle m'offrit de son cul cambré, de ses seins lourds me fit immédiatement bander. Elle posa les verres et servit. Là encore, j'eus une vue des plus troublantes. Elle posa ses fesses à mes côtés, sa cuisse contre la mienne et je commençai à lui montrer mon book. Elle tourna les pages sur mes genoux et à chaque fois le plat de sa main effleurait mon sexe, tendu dans mon pantalon de lin. Puis elle alla chercher un album de photos d'elle. Elle le posa sur mes genoux et se remit à tourner les pages. C'était en effet des photos assez sexe d'elle, cuisses écartées, où elle ouvrait même son minou avec ses doigts, montrant son cul. Elle me précisa que la pages suivantes seraient encore plus hard, je lui répondis que cela ne me gênait pas. Elle me dit : «Je sens cela», en plaquant le dos de sa main sur mon sexe bien raide. Je répondis que j'étais désolé, timidement, mais elle me sourit et dit que cela lui faisait plaisir d'être désirable. La photo suivante, elle était à genoux devant un sexe qu'elle tenait fermement, la langue léchant le gland et souriant au photographe, son mari avait pris cette photo. Je lui demandai s'il avait utilisé un retardateur. Elle me dit simplement que non, que c'était la belle queue d'un ami. Nadine me proposa de me laisser tourner les pages. Pendant ce temps, elle s'occuperait de moi. Elle me déboutonna la braguette, sortit ma verge et me félicita sur sa raideur et ses dimensions. Elle se pencha et me prit délicatement dans sa bouche. J'ôtai son bustier et je me remplis les mains de sa poitrine ferme et opulente. L'album était par terre, je m'étais arrêté sur une image où elle suçait deux hommes et se faisait prendre en levrette. Elle était maintenant très active sur ma tige. Je retirai ce qu'il lui restait de vêtements, puis me mis nu aussi. Nadine voulu ma queue partout. Elle m'enveloppa d'un préservatif et s'empala sur ma bite d'un trait. Toute la longueur de ma tige s'enfonça dans sa moiteur brûlante. Elle resta plantée puis ondula juste des fesses, gardant ma queue au fond. Elle me laissa pétrir, peloter, embrasser, téter ses seins. Elle me demanda doucement à l'oreille : - Tu me feras de jolies photos de mes fesses, mes seins ? Et si tu veux, tu pourras même être photographié avec moi, ta belle queue partout comme j'aime. Nous étions enlacés, toujours sur ce canapé, elle assise sur ma pine. Elle

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LUNDI 21 OCTOBRE 2013

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