PIQUE-NIQUE TORRIDE 1

Comme chaque samedi après-midi, j'adorais aller faire du vélo, histoire de prendre le soleil et me masturber des heures durant dans un coin bien tranquille où j'avais désormais l'habitude d'aller. C'était aux abords d'un parc. J'enjambais une petite clôture et j'arrivais dans un bosquet. Bien isolé des regards indiscrets, je me mettais nu et bronzais nu, ma bite à l'air, me masturbant ainsi à pleine main pendant quelques heures. Ce jour là, je m'approchai de mon arbre favori où je pouvais m'allonger. Je fus surpris en m'approchant d'entendre, à travers les arbustes, des petits gémissements de femme. Je laissai alors mon vélo contre un arbre et continuai mon chemin à pas de loups. Entre deux branches, je fus surpris de voir une fille complètement à poil à la place qui était la mienne. Assise sur une serviette, elle avait les jambes complètement écartées, et elle se caressait la chatte à s'en faire jouir. Elle ne se doutait pas de ma présence, gardant les yeux fermés de jouissance. Elle se caressait et se doigtait la chatte, qu'elle ouvrait outrageusement avec deux doigts, pendant que son majeur lui caressait la vulve et le clito. Sa chatte était d'un magnifique rose pâle. Eléonore (c'était le nom de cette jolie brunette) avait la chatte rasée, même si ses poils pubiens commençaient à repousser. Voyant cette scène formidable, je me mis à poil, sentant sous mon short ma bite gonfler et se raidir d'excitation. Eléonore lâchait de petits cris aigus, grimaçant parfois tellement que sa jouissance semblait forte. Elle ne se doutait vraiment pas que quelqu'un la surveillait, vu sa nudité parfaite et le peu de discrétion dont elle faisait preuve. Elle écartait les lèvres charnues de sa belle chatte amplement afin d'avoir la vulve bien à l'air et sentir le vent la lui caresser. Eléonore criait de plus en plus fort. Elle écarta alors les cuisses plus amplement encore et, faisant clapoter sa chatte pleine de mouille en se la caressant énergiquement. Eléonore se fit jouir, prise d'un violent orgasme. Elle lâcha alors de profonds et longs gémissements de jouissance. La vue de sa chatte m'excitait de plus en plus. Moi, je continuais de me masturber à pleine main, faisant coulisser la peau épaisse de ma bite sur mon gland rose et tendre qui était luisant et trempé de mouille. Je lâchai alors à mon tour un petit gémissement. Je crus un moment être surpris. Eléonore changea alors de position, se mettant à quatre pattes. Elle était de trois quarts face à moi, ce qui mettait parfaitement en valeur les charmes de son corps ; j'avais vue sur tout. Elle cabrait outrageusement son cul, qui était vraiment magnifique. Elle passait son doigt sur sa chatte puis sur son anus, ce qui semblait l'exciter considérablement. Je voyais la pointe de ses petits seins darder comme jamais. Je me rendais compte que sa chatte avait les petites lèvres qui sortaient très largement de sa belle chatte, et qu'elles étaient brunes et plissées. Cela m'excitait encore plus. Soudain. Eléonore regarda pile en ma direction, avec un grand sourire. J'entendis alors «Viens !». Surpris, je réalisai qu'elle m'avait réellement surpris tout à l'heure. Sortant de derrière l'arbuste, je me présentai à elle, ma bite gonflée à bloc dans la main gauche. Je mouillais moi aussi comme une fontaine, la queue bien raide entre les doigts. Le soleil me brûlait le corps et faisait monter en moi une fièvre intense ; celle de l'envie de baiser. Je m'approchai d'Eléonore en me masturbant et elle en faisait tout autant. Elle se décala de façon à ce que son cul soit bien en face de moi. Me présentant ainsi outrageusement sa belle chatte, elle mettait parfaitement en avant son jeu de doigts. Écartant avec deux doigts les lèvres charnues de sa belle chatte, elle me montrait son majeur lui caresser la vulve et s'enfoncer dans sa fente. Il en ressortait tout luisant de cyprine. Pour m'exciter encore plus. Eléonore passait sa langue rose le long de sa lèvre supérieure, comme si elle avait envie de me dévorer la bite. Je restai ainsi debout, masturbant ma queue qui me faisait beaucoup jouir, compte tenu de la situation pour le moins excitante à laquelle j'étais confronté. Elle nous fixait, moi et ma bite qui clapotait de mouille tout comme sa belle chatte. Eléonore lâchait des gémissements m'invitant à la baiser. Je me mis alors à genoux derrière elle pour la prendre en levrette. Prenant le manche

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LUNDI 6 JANVIER 2014

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