PIQUE-NIQUE TORRIDE 2

En effet, son vagin était encore un peu serré, ce qui m'empêchait de la culbuter plus énergiquement. Ainsi, chaque pénétration était vraiment exquise pour moi. Je sentais mon gland rose glisser dans son vagin chaud et humide, suivi de mon sexe tout entier. Je sentais ses belles fesses de salope frotter et s'écraser contre mon bassin. Leur douceur m'excitait. Je regardais ma grosse pine s'insérer et glisser entre les petites lèvres brunes de sa belle chatte, qui luisaient de mouille. Petit à petit. Eléonore prenait son pied de plus en plus, sa chatte s'écartelant au fur et à mesure des pénétrations bien profondes. Elle se tenait désormais bien à quatre pattes, restant immobile pour bien sentir le plaisir que ma bite lui procurait. Je lui bourrais la chatte à outrance. Mon sexe en ressortait tout mouillé et luisant de cyprine. Eléonore me regardait en souriant, pour me montrer à quel point elle était satisfaite de se faire baiser ainsi. Elle ne lâchait plus que de petits gémissements, le plaisir l'ayant emporté sur les premières douleurs. Nous étions donc en train de baiser en pleine nature, tous les deux complètement à poil, le soleil chauffant nos deux corps en fusion. Je me rendais compte à quel point Eléonore était belle, vraiment magnifique ! La jouissance qui marquait son visage le faisait resplendir. Les petites lèvres brunes et plissées de sa chatte clapotaient à chaque pénétration. À chacune de celles-ci, je sentais ma bite s'insérer encore plus loin dans son vagin ruisselant et brûlant. C'était vraiment hyper jouissif. Nous ne nous disions pas un seul mot ; seuls nos gémissements agrémentaient notre accouplement. Je sentais mon gland heurter le fond infiniment chaud et tendre de son vagin, après que ma queue ait glissé de toute sa longueur et de toute sa grosseur à l'intérieur. C'était exquis ! Son petit cul me donnait envie de jouir. Ses fesses ainsi que ses petits seins pointus remuaient à chaque pénétration. Eléonore jouissait comme une vraie petite salope en rut. Ça lui faisait beaucoup de bien ; elle en était heureuse. Je sentais mes couilles velues et pleines de sperme crier à l'orgasme. Mon prépuce me donnait envie d'éjaculer en elle à chacun de mes mouvements. Sentant que j'allais éjaculer d'une seconde à l'autre, je me retirai d'Eléonore pour qu'elle me suce. Restant à quatre pattes, elle saisit le manche épais et luisant de mouille à pleines mains et se mit à me masturber. Elle fixait mon gland, attendant que je lui jouisse sur et dans la bouche. Je gémissais comme un dingue, sentant ainsi sa main étrangère remuer sur mon sexe en fusion. Eléonore semblait aimer le sperme car le fait que je lui éjacule sur le visage ne semblait pas la déranger, bien au contraire. Pour m'exciter, elle passait sa langue rose et luisante sur ses lèvres. Soudain, je sentis une violente décharge parcourir mes couilles et mon sexe. Je me mis à râler de jouissance. Là, un long et puissant jet de sperme jaillit hors de moi. Eléonore le reçu dans sa bouche, qu'elle garda grande ouverte. À peine avais-je giclé, qu'elle referma la bouche pour avaler. Là, un autre copieux jet de sperme chaud vînt s'écraser sur ses lèvres roses. Eléonore rouvrit alors la bouche pour boire mon foutre. Je lui éjaculai ainsi dans la bouche, pendant qu'elle continuait de me masturber pour me faire jouir le plus fort possible et faire jaillir mon sperme par de longues giclées. En quelques instants, elle en avait plein autour de la bouche. Mon sperme coulait sur ses seins. Eléonore se pencha alors pour engouffrer ma bite dans sa bouche. Je sentis alors ses lèvres pulpeuses se resserrer dessus, ce qui me fit râler de nouveau de jouissance. Je me vidais dans sa bouche et Eléonore avalait mon sperme goulûment. Elle semblait adorer ça plus que tout. Avec son autre main, elle se caressait la chatte pour se faire jouir en même temps que moi. Elle me pompait le dard comme une reine, faisant aller et venir ses lèvres sur mon gland. Une fois l'éjaculation terminée. Eléonore continua de me sucer jusqu'à la dernière goutte de sperme. Le soleil tapait sur son visage et sur ma bite qui restait gonflée d'excitation. Eléonore me regarda alors dans les yeux pour lire sur mon visage tout le plaisir et la jouissance qu'elle venait de me procurer. Puis, elle sortit de sa bouche ma bite et, faisant un dernier

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JEUDI 9 JANVIER 2014

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