PLAISIRS AVEC GROSSES QUEUES

Je suis une femme très portée sur le sexe. À part aimer m'envoyer en l'air, je tiens une petite boutique de chaussures dans une rue commerçante de Montpellier mais dont je tairais le nom, bien entendu. Les chaussures, c'est une autre passion. Les chaussures, la lingerie, les vêtements J'ai toujours aimé plaire et séduire les hommes. Je m'habille de manière sexy et féminine et je préfère les bas aux collants, des bas que je peux fixer aux attaches d'un ravissant porte-jarretelles ou d'une guêpière. Je soigne mon corps et mon apparence car j'ai cette obsession d'être désirée, de donner envie de moi et de faire fantasmer tous les mâles que je croise dans la rue. Et lorsque je fais l'amour, cela m'excite encore plus de ne pas être totalement nue et de garder mes bas, mes talons hauts et mon porte-jarretelles. C'est un fétichisme que beaucoup d'hommes apprécient. J'ai des origines espagnoles. Une mère castillane et un père basque. Un mélange détonnant, parait-il ! Une chose est sûre, j'ai le sang chaud, très chaud. J'ai été mariée mais cela n'a duré que deux ans. Le temps pour moi de comprendre que c'était impossible que je puisse me satisfaire d'un seul homme. La fidélité n'a jamais été mon fort Baiser reste mon passe-temps favori mais aujourd'hui, ce qui m'attire surtout, ce sont les expériences insolites, les choses qui sortent un peu de l'ordinaire. Comme cette petite aventure que j'ai décidé de vous raconter ! À quarante-cinq ans, je me sens totalement épanouie et bien dans ma peau. En totale harmonie avec ma tête et mon corps. Mon âge n'a jamais été un obstacle pour faire des rencontres et passer de bons moments, bien au contraire. Les femmes mûres et expérimentés sont très convoitées et recherchées. Surtout par les hommes d'une trentaine d'années. Ils savent qu'avec une maîtresse comme moi, c'est beaucoup plus facile de réaliser leurs fantasmes. Question sexe, je ne suis pas du tout bloquée et j'ai pu me débarrasser de tous mes tabous. Quand je me donne avec un homme, je le fais avec mon corps entier et je suis capable d'accepter (et d'en jouir aussi), de nombreux petits vices. Et s'il le faut, c'est moi qui drague et fais les premiers pas. Cela ne me dérange pas du tout. Je n'ai pas honte d'afficher ouvertement mes désirs pour quelqu'un et de lui faire comprendre qu'il me fait mouiller dans ma petite culotte. Comme ce fut le cas avec Thierry Quand je l'ai vu pour la première fois, j'ai vraiment craqué. Il était jeune, beau, musclé, viril, très bien foutu. Tout ce que j'aime. Je l'ai croisé à la piscine municipale de Montpellier. Je profitais de la fermeture du magazine, entre midi et quinze heures, pour aller prendre un petit bain. J'ai eu envie de Thierry tout de suite, d'autant plus que cela faisait plusieurs jours que je n'avais plus fait l'amour. C'est moi qui suis allée l'aborder sous je ne sais plus quel prétexte. Je crois qu'il a immédiatement lu dans mon regard quel était le véritable motif de cette approche. Tant mieux car je n'avais pas envie de m'éterniser autour du bassin. Il y avait beaucoup mieux à faire avec ce bel étalon et ma chatte commençait à réagir agréablement sous mon slip de bain. Thierry n'était pas le genre timide. J'avais l'air de lui plaire. Il lorgnait sans cesses sur mes seins et c'est lui qui m'a proposé de quitter la piscine. Nous devions aller boire un verre dans un bar mais en fait, nous sommes allés directement chez lui. J'ai cru qu'il allait me sauter dans l'ascenseur tellement il semblait excité. Je crois que je l'aurais laissé faire Moi aussi, j'étais hors de moi. C'est dans la petite cabine qu'il a commencé à m'embrasser et à me caresser. Arrivés au sixième étage, l'ascenseur s'est arrêté et Thierry a continué à me peloter les fesses et les seins. La lumière s'est éteinte et ses caresses sont devenues encore plus vicieuses. Il bandait comme fou. Je pouvais sentir sa grosse bite dure contre mon ventre. Quant à moi, j'étais en train d'inonder ma culotte. Finalement, il a trouvé préférable de passer chez lui et nous avons continué dans le salon ce que nous avions déjà largement entamé dans l'ascenseur. Mes habits ont volé dans la pièce et Thierry ne m'a laissé que mes chaussures et mes dessous.

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MERCREDI 16 AVRIL 2014

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