RÉALITÉ CAUCHEMARDESQUE

C'était deux charmants vieux messieurs. Ils venaient de me prendre en stop et m'avaient fait asseoir entre eux, histoire de m'avoir à l' il. Je n'y ai vu aucun inconvénient puisque je suis assez costaude et que j'ai cru normal qu'ils veuillent prendre des précautions. De plus, le siège arrière de leur Citroën hors d'âge s'embarrassait de tant d'emplettes que je n'aurais pu m'y glisser de toute façon. J'essayai donc de me faire toute petite entre ses deux octogénaires babillards qui n'en finissaient plus de me bombarder de questions. «Les vieux messieurs ont sans doute besoin de distractions !» Me disais-je alors. Je répondais donc patiemment en les inondant de détails sur ma vie privée. Mes relations avec mon petit copain semblaient les intéresser plus que tout autre sujet et j'en conclus qu'ils avaient la fibre romantique. Ils s'appelaient Gustave et Théo et se prétendaient jumeaux. Seulement quelque chose ne collait pas. L'un était coiffé d'une tignasse de cheveux blancs immaculés et avait les yeux d'un bleu plutôt fade tandis que l'autre portait ce qui me semblait être une perruque de cheveux noirs et ondulés. Ses yeux, aussi noirs que sa pupille, laissaient percer quelque intention malicieuse. Je me sentis soudain embrassé par un étrange malaise. J'avais aussi la vague impression que l'on me transperçait l'épaule puis… Un trou noir ! Lorsque j'ouvris les yeux, nous roulions toujours en direction de Dijon en empruntant d'agréables petites routes rurales. Le printemps était magnifique de verdure et de boutons naissants et je m'aperçus, à un bruit de succion, que ma chatte, totalement mouillée et nue, était l'objet d'une attention toute particulière. Théo, le pépé aux cheveux noirs, faisait la fête à mon sexe en le suçant goulûment. Comme je ne parvenais pas à réagir normalement et que mon corps me brûlait ardemment, je ne vis aucun problème à me laisser dorloter de la sorte. Sa bouche me comblait, tiède et abondamment humide, je ne m'autorisais aucun mouvement tant j'étais paralysé par le plaisir. La main de Gustave me flattait tendrement la cuisse comme on caresse un bon chien pour le remercier de sa collaboration chez le vétérinaire. Je n'arrivais pas à sortir le brouillard de ma tête, tout restait vaporeux autour de moi et je crois que nous fîmes une légère embardée. Le véhicule s'arrêta net et Gustave m'attrapa par le cou pour me baver sur la nuque. Je sentis ses lèvres et sa langue me lécher et j'étais ravie. Il faisait sombre autour et je ne voyais plus les rangées d'arbres majestueux qui bordaient la route. Nous étions sans doute dans un tunnel ou un pont couvert, je ne sais trop. Ça m'était complètement égal, mon corps s'embrasait comme une torche vivante et je n'étais pas en mesure de ressentir autre chose que ces deux bouches, vaillantes ouvrières qui me dévoraient sans que je sentisse, toutefois, la moindre impression de morsure. Je m'y attendais pourtant mais leur bouche étaient lisse. La peau de mon clito roulait sous les gencives mouillées de Théo tandis que la langue de Gustave m'emplissait le cou de chatouillis qui me transperçaient d'ondes électrisantes. Mais je ne sentais pas leurs dents. Dans un bref éclair de lucidité, j'eus le sentiment d'avoir été kidnappé par des incubes. Puis, l'incommensurable bien-être qui m'envahit me fit retomber dans un état de bête euphorie. Je repris de nouveau un peu le sens de la réalité avec une bite entre mes lèvres. Ce sexe n'avait rien de singulier, ni gros, ni petit, ni ferme, quoique légèrement froissé. Mais j'avais peu d'expérience, à vingt ans, on n'a encore rien vu ! Ce qui me surpris toutefois c'était la grosseur du gland. Un très large gland pourpre et dur comme du béton. Les gémissements me parvinrent alors aux oreilles avec un moment de retard. Théo se lamentait de plaisir; c'était sa queue que je suçais vigoureusement. Je la mordais très fort comme pour m'agripper à du concret et il aimait ça. Il m'encourageait à faire couler le sang. J'avais toujours les seins occupés par la bouche de Gustave. Puis, je me retrouvai assise sur Gustave et quelque chose de chaud et moelleux dans s'enfonça dans le passage étroit de mon cul. L'information mit un temps à cheminer jusqu'à mon cerveau lorsque je compris que Gustave m'enculait. J'eus une espèce de mouvement de recul mais très peu d'espace pour le mettre à exécution; je me résignai à ma position quoique je fusse partagée entre le dégoût et le désir de jouir. Car j'avais la chatte en

» Plan cul Bourg-l?s-Valence

DIMANCHE 12 JANVIER 2014

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