COMME SI DE RIEN N'ÉTAIT…

C'était un couple d'amis avec lequel j'étais sorti dans une soirée. J'ai tout juste 30 ans. Elle, le même âge, 1 m 61 et 47 kg. C'est une superbe brune, un peu salope, comme vous le verrez. Lui, plus grand et plus costaud que moi, très sûr de lui et assez dominant. Ils m'avaient ramené, sans trop savoir ce qu'ils feraient de moi, jugeant que j'avais trop bu pour rentrer seul. J'étais installé pour dormir chez eux sur le canapé, totalement absorbé par les vapeurs d'alcool, quand il est venu me dire qu'elle souhaitait que je vienne participer à un câlin avec elle. J'ai été surpris, je ne savais pas vraiment que ce genre de chose existait. J'étais célibataire et je tirais mon coup, ici et là, mais je ne connaissais pas ce genre de pratique dans les faits, même si on m'en avait déjà parlé. Je suis monté. Elle était au milieu du lit. Son mec se tenait à gauche et moi je suis monté pour combler le vide à sa droite. La lumière était éteinte et j'ai commencé à la caresser, elle me tournait le dos, je l'ai embrassée dans le cou, elle m'a offert sa bouche. Son mec était tout proche mais je ne voyais pas ce qu'il faisait. Je bandais comme un taureau. Du moins c'est l'impression que j'avais ou c'est l'impression que nous avons tous, nous les mecs ! Elle m'astiquait le sexe avec la main, ce qu'elle devait faire de l'autre côté aussi (enfin, c'est ce que je présumais). Des gémissements emplissaient la pièce, une forte odeur de désir et de sexe commençait à poindre et je me sentais envahit par une sorte d'énergie sexuelle incroyable. Comme elle était retournée (j'ai su pourquoi juste après), je l'ai prise par les hanches et je lui ai promené mon sexe le long de sa fente toute juteuse. En fait, je me suis rendu compte à ce moment précis qu'elle était en train de tailler une pipe à son mari, ce qui m'a tellement excité que je l'ai pénétré tout de suite avec délice. Je l'ai limé doucement et profondément. Elle ondulait du bassin comme une belle salope qu'elle était. Je n'ai pas tardé à jouir, mais je n'ai pratiquement pas débandé. Mon célibat forcé et le fait que je ne baisais pas trop souvent étaient responsable de ce priapisme involontaire. J'ai continué à la bourrer avec une ardeur vraiment au top. Je l'ai entendu gémir toujours plus fort tandis que son mari a gueulé un bon coup en éjaculant comme un dingue. Quel type ! Une vraie bête grognant son plaisir Enfin, je n'étais pas là pour commenter les bonnes manières de monsieur alors que j'enfilais joyeusement Madame ! Quand elle s'est retournée vers moi, elle avait un goût de sperme dans la bouche. Son mari s'est mis derrière elle et j'ai senti son sexe qui essayait de prendre possession de sa femme. En fait il se lubrifiait pour la prendre par derrière et la sodomiser. Enfin C'était sa légitime après tout ! Elle m'a demandé à l'oreille de la prendre en même temps, ce que je ne croyais pas possible. Et bien si ! Et même qu'on a trouvé ensuite une meilleure position, qui l'a fait se retrouver avec deux bites dans le fion, pour son plus grand bonheur. Ou peut-être pour le nôtre, quand y songe franchement Son mec a joui, dans un grognement de bête sauvage, encore très fort, puis elle s'est lâchée à son tour. Puis moi. Mais bon, j'étais tellement torché qu'après cet orgasme, venu je ne sais comment si l'on tient compte de mon état, j'ai sombré dans un sommeil sans rêves. J'ai dormi à côté d'elle, nu, et le matin j'ai eu un peu froid, c'était le jour du 11 novembre. Bizarrement, cela a été justement l'armistice car le lendemain, tous les deux ont fait comme si de rien n'était. Ça m'a scié, très sincèrement, je n'ai pas su comment réagir sur le coup alors je me suis cassé. Je les revois parfois, on se fait la bise et on ne reparle jamais de cette nuit si étrange. Comme si de rien n'était…

» rencontres ?  Bourg-de-Péage

MERCREDI 5 MARS 2014

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