SANDRINE L'ESCORTE 2

Avec mon sens du sacrifice habituel (!), je me portai volontaire et me retrouvai bientôt entre ses cuisses, face à deux charmants orifices. Ne parvenant pas au premier abord à choisir entre les deux, je commençai par embrasser le périnée de l'étudiante ; délicate attention qui lui arracha un soupir. Puis plongeant vaillamment entre ses fesses, je la léchai à grands coups de langue sur toute la largeur, tout en lui fouillant profondément la moule et l'anus. Ainsi, nous pûmes initier Sandrine à l'art difficile du sandwich en toute délicatesse. Elle se mit à cheval sur Philippe, qui avait tout comme moi, enfilé un nouveau préservatif. Elle me suça un moment, afin que je sois assez humide pour pénétrer dans son petit trou rendu plus exigu encore, et par conséquent plus divin, par la présence de mon ami à l'étage inférieur. Sandrine avait beau être une pute, elle était si merveilleuse avec nous que je ne voulus surtout pas lui faire de mal. C'est pourquoi je présentai avec circonspection mon gland à l'orée de son cul, dont l'étroitesse me procura des sensations inouïes. Mes soins furent visiblement appréciées par la fille, qui entre deux soupirs m'encouragea : - Oui, comme cela, c'est bon… Tu es gentil… Défonce-moi, maintenant… À ce moment, ses jolies fesses vinrent à la rencontre de ma pine que j'enfonçai jusqu'à la garde avec soulagement tant elle était tendue. Et alors là, mes amis, quel pied ! Que j'étais bien dans le tunnel étroit de Sandrine ! Ma queue se régalait sans aucune retenue du contact, à peine amoindri par la capote, des muqueuses brûlantes de la fille ainsi que de la proximité, plus troublante encore, du membre de mon ami, dont les va-et-vient dans le vagin donnaient le rythme de notre chevauchée. Mais presque autant que physique, ma jouissance était mentale. Je parvenais avec peine à me persuader que la situation que je vivais était réelle tant elle était fascinante. Croyez-moi, la double pénétration est sans aucun doute l'expérience érotique la plus bouleversante qui soit, et je n'en finissais pas de me réjouir de l'obscénité du spectacle qui s'offrait à moi, le visage enfoui dans la chevelure délicieusement odorante de Sandrine. Néanmoins, si la situation était excitante, elle n'en était pas moins épuisante et après quelques minutes d'intense ramonage qui procurèrent plusieurs orgasmes à la jolie pute, je fis comprendre à mon copain que je désirais passer à une position plus reposante. Il devait en avoir assez lui aussi d'être écrasé par nos deux corps et ne se fit pas prier. Nous nous positionnâmes donc sur le côté, dans une position plus relaxante, qui nous permit de tenir encore un bon moment dans les orifices dilatés et fiévreux de notre Sandrine, laquelle manifestait son bien-être par de petits gémissements. Enfin, sans nous concerter, nous explosâmes tous trois presque simultanément, dans un délire de cris et de râles de jouissance. La fille que nous défoncions alors copieusement n'avait alors plus rien d'une pute qui baise pour de l'argent, mais d'une salope qui prend son pied de se sentir inondée par deux mecs à la fois. Nous avions payé Sandrine pour la nuit entière et même si cette pénétration double en était le point culminant, nous n'étions pas disposés à laisser la prostituée s'en tirer à si bon compte. Ainsi, après une douche très divertissante, prise en commun dans la petite salle de bain de la fille, nous ressortîmes la queue presque aussi volontaire qu'au début de la soirée et nous invitâmes Sandrine à s'installer à nouveau sur le lit les jambes écartées. Je la rejoignis le premier et la pris plus traditionnellement pendant un long moment. La garce, qui savait achever un homme, s'allongea sur moi et me suça la pine tout en m'offrant sa touffe exquise et toute humide à savourer. Je m'endormis, éreinté et vidé, tandis que Philippe enfilait la fille, toujours consentante et disponible. Mon réveil fut pour le moins agréable, puisque Sandrine poussa le professionnalisme jusqu'à nous apporter, vêtue d'un T-shirt bien trop court dévoilant largement ses fesses, un copieux petit-déjeuner. Ce qui nous mis suffisamment en forme pour la prendre une dernière fois en levrette. À vrai dire, quand je dis une dernière fois, il s'agit presque d'un abus de langage, puisque je revis plus tard Sandrine, dans des conditions fameuses. Environ trois mois après ce délicieux intermède, je me rendis à une petite fête organisée par un de mes amis, pour fêter la fin de l'année universitaire. Je m'y étais rendu seul et

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MERCREDI 13 MARS 2013

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