SEB ET SA BELLE-MÈRE

Salut, j'ai 24 ans et je m'appelle Seb. L'histoire que je vais vous raconter se passe chez la mère de ma copine. Elle s'appelle Marie, elle a 45 ans et pour son âge, elle est drôlement bien foutue. Brune, les cheveux courts, 1m70 pour à peu près 60kg, elle a tout d'une bombe. J'ai découvert, il n'y a pas très longtemps, que c'était également une sacrée salope en l'absence de son mari routier. En week-end chez mes beaux-parents, je me préparais pour une soirée organisée en l'honneur de leur fils aîné. Le soir venu, la fête s'annonce plutôt bien, les boissons arrosent chaque rire, ce qui promet une superbe bataille de conneries en tous genres. Un peu plus tard dans la soirée, manquant d'équilibre à cause des quelques verres de champagne qu'elle s'est enfilé, ma belle-mère tombe et se fait mal à la hanche. On l'amène sur le fauteuil du salon pour qu'elle se repose mais elle désire plus son lit qu'autre chose. Son mari et ma copine vont alors la mettre au lit. Ils la déshabillent, la couchent puis viennent nous rejoindre. La soirée reprend de plus belle, tout le monde se met à rire rien quand voyant le mari imiter ma belle-mère ivre. Entre deux feux, je me lève de table pour aller faire une petite vidange. En avaçant dans le couloir qui méne aux W. C… je passe devant la porte de chambre de mes beaux-parents où là, j'entends ma belle-mère se plaindre. Je frappe à la porte et j'entre. Je lui demande si ça va, elle me répond qu'elle voudrait un seau au cas où elle ne réussirait pas à contenir le trop plein d'alcool en elle. Je m'exécute aussitôt et reviens dans la chambre, je place le seau prés d'elle et je lui demande si elle n'a plus besoin de moi. Elle me répond qu'elle ne supporte plus les couvertures, qu'elle a trop chaud, le tout avec quelques hauts de coeur. Je commence à descendre doucement la couverture et je vois apparaitre son corsage. Elle me demande de l'abaisser plus bas, ce que je fais de suite. Elle m'apparaît alors en petite culotte blanche et soutien-gorge devant moi. Je reformule ma question à nouveau en lui demandant si je peux lui rendre encore un service. - Oui Seb, tu veux bien me masser la hanche, elle me fait trop souffrir. - Ok pas de problème, lui réponds-je… Je m'assois donc sur sa droite et je commence à lui masser délicatement la hanche, située du même côté. J'applique d'abord quelques mouvements circulaires sur celle-ci pour la réchauffer puis, à deux mains, je la malaxe doucement sans forcer. De temps à autre, mes doigts frôlent le bord de sa petite culotte. puis c'est toute ma main. Sous mes doigts, ma belle-mère s'est assoupie, l'alcool ayant fait son devoir. Mais je continue cette douce besogne pour mon bon plaisir. Des idées pas très saintes viennent s'installer dans mon esprit. Ma belle-maman dort, elle est pratiquement nue devant moi et de plus j'ai déjà les mains posées sur elle… Je vous laisse imaginer la suite. Doucement, et à plusieurs reprises, mon index commence à glisser sous la dentelle de la culotte. Tout en continuant mon massage apaisant, c'est mon majeur qui joint l'index dans cette petite fouille. Sous l'effet que produisent mes doigts, je sens la jambe droite de Marie se raidir par petits coups. Serait-elle éveillée ? Peu importe, je continue mon exploration. Au bout de cinq minutes, c'est ma main entière qui se retrouve à l'intérieure de sa culotte, je sens les poils à l'extrémité de mes doigts. Elle ne dit toujours rien. L'autre, quant à elle, masse toujours la hanche. Doucement mes doigts se dirigent vers ses lèvres. Ils ont commencent par fouiller un peu et ne mettent pas longtemps avant de trouver son clitoris. Je le masse entre mon index et mon majeur et ma belle-maman commençe à se tordre, son souffle devient plus fort. Je descends mes doigts entre ses lèvres où je peux déjà sentir sa mouille toute chaude. Mes deux doigts s'introduisent en elle et entreprennent un va-et-vient langoureux. Un clopotis de mouille se fait entendre, ma belle-mère ouvre les yeux et me fixe pendant un moment, pour me dire ensuite : - Seb, va plus vite s'il te plaît, mets un autre doigt. Sur ces mots, je m'excute aussitôt et je vois ma Marie se tordre de plus en plus. Ses gémissements suivent mes mouvements. Elle mouille abondemment. Une de ses mains a rejoint la mienne pour se

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JEUDI 17 MAI 2012

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