SÉCURITÉ AÉROPORTUAIRE

En ce début juillet, les passagers en partance vers leurs vacances ensoleillées se pressaient au contrôle de sécurité de l'aéroport de Roissy, tous aussi pressés de rejoindre leur lieu de villégiature. Et comme chaque année, cette foule de gens pas toujours habitués aux voyages en avion occasionnait pas mal de soucis aux gardes chargés du contrôle des objets métalliques. Parmi ces derniers. Christine, 30 ans, travaillait pour la dernière fois avant ses propres vacances, qu'elle et sa s ur allaient passer à Ibiza, certainement la plupart du temps à boire, danser et affoler les garçons avec leurs corps de rêve. En effet, malgré sa petite taille, 1m62. Christine avait tout pour plaire : un teint bronzé, des cheveux bruns où se distinguaient quelques mèches blondes, un buste avantageux et une chute de reins à tomber à la renverse. Et comme chaque année, lors des grands départs en vacances, un nombre incalculable de gens oubliaient une paire de ciseaux, de la monnaie ou encore des clefs dans leurs poches, que ce soit par distraction ou par ignorance. Environ 1 heure avant sa pause. Christine fut appelée au contrôle 2C pour fouiller une demoiselle qui avait beau s'être débarrassée de tout ce qu'elle pensait avoir de métallique mais continuait à déclencher le détecteur à son passage. Il s'agissait d'une jeune femme d'environ 25 ans, de la même corpulence que Christine mais blonde et qui était accompagnée de deux amies pour des vacances communes. En arrivant sur les lieux, la jeune femme en question lui fut amenée, suivie de près par ses deux compagnes de voyage. Après des salutations courtoises. Christine l'invita à la suivre vers les locaux de la sécurité aéroportuaire. Les deux accompagnantes les suivirent, pour ne pas se perdre, et elles arrivèrent toutes trois devant la salle où la fouille allait se dérouler. Christine et la jeune passagère y pénétrèrent, laissant les deux amies dans le couloir. -«Si vous le voulez bien, je vais vous demander de passer dans la cabine et de vous déshabiller en ne gardant que vos sous-vêtements sur vous. Déposez vos vêtements dans ce panier et apportez-le moi en sortant. Je vous attends ici.» -«Bien. Mais je pense que c'est mon soutien-gorge qui fait sonner le détecteur, à cause des armatures.» -«Normalement, les détecteurs ne sont pas si sensibles, mais si ça ne vous dérange pas, vous pouvez l'enlever également, ça facilitera le contrôle.» -«Pas de problèmes, lança-t-elle en entrant dans la cabine de déshabillage.» Une fois enfermée dans la cabine, elle enleva d'abord chaussures et chaussettes puis défit son pantalon qui tomba sur ses chevilles. Elle rangea le tout dans le panier en plastique puis déboutonna son chemisier. Une fois rangé, elle dégrafa son soutien-gorge puis se retourna vers la porte qu'elle déverrouilla et sortit enfin. Elle déposa ses vêtements sur la table prévue à cet effet et prit la pose que lui indiquait Christine : les bras tendus à l'horizontale de part et d'autre du corps, les pieds écartés d'environ 70 centimètres. L'agent de sécurité se saisit du détecteur portable, l'alluma et commença à inspecter la voyageuse en le passant autour de sa tête. Elle descendit le long du dos, des hanches et continua jusqu'en bas de la jambe droite. Elle remonta l'intérieur de la jambe gauche et, arrivant à l'entrejambe, entendit le détecteur sonner. Passant à l'avant de la passagère, elle recommença à peu près le même trajet, remarquant au passage ses jolis petits seins haut perchés, et encore une fois, le détecteur sonna à l'entrejambe. -«Mademoiselle, je suis désolée, mais j'ai bien peur que vous ne deviez baisser votre culotte. Vous avez un piercing ?» Pour toute réponse. Nathalie, la jeune femme, souleva l'élastique de sa culotte en dentelle et la fit glisser au long de ces cuisses, pour ensuite la laisser tomber à ses pieds. Christine découvrit alors au milieu de la légère toison blonde une petite chatte remplie par des boules de geisha en argent pur. D'un air gêné, elle lui demanda si elle voulait bien les retirer mais celle-ci sourit en disant : -«Bien sur, ça ne m'ennuie pas du tout, mais j'aimerais qu'elles soient remises avant que je reparte… Et je ne sais pas le faire toute seule. De plus, j'ai encore autre chose, ailleurs…» Devant l'air incrédule de Christine. Nathalie enchaîna : -«Je me promène aussi avec un plug dans le cul. Ça fonctionne par télécommande.» Christine ne savait plus trop quoi penser, elle semblait fascinée par tous ces jouets dans les orifices que la nature avait donné à Nathalie. Pendant qu'elle restait là, bouche bée.

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SAMEDI 14 FéVRIER 2015

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