LES SEINS DE SOPHIE

J'ai vécu il y a quelques mois une expérience assez peu banale. Je connais ma copine Sophie depuis 2 ans. Je dois avouer que dès le départ, j'ai été complètement subjugué par sa poitrine. C'était sans aucun doute la plus volumineuse et la plus excitante paire de seins que j'avais jamais vue et malgré cette opulence (120 F), elle défiait toutes les lois de l'apesanteur en se dressant fièrement sans le moindre repli. Même si ce n'est pas le critère absolu, j'ai toujours aimé les filles ayant des seins bien fournis et ce n'est pas un hasard, la plupart de mes anciennes petites amies en avaient, mais à ce point là certainement pas. Un jour, j'avais invité chez moi pour le week-end mon meilleur ami et confident de toujours. Marc, afin de s'amuser un peu et d'évoquer les bons souvenirs. Le vendredi soir s'était passé au restaurant et le samedi avait été l'occasion de faire une balade en cabriolet, le soleil étant évidemment de la partie. Le soir, on se prépara pour aller en boîte mais comme j'allais appeler d'autres potes, la sonnette retentit. C'est Marc qui ouvrit : la surprise était de taille puisque c'était Sophie, qui était sensée passer ces deux jours avec ses cousines. Bien que l'idée de la revoir m'enchantât, j'étais assez déçu car je comptais bien passer la soirée en célibataire. Sophie avait enfilé un T-shirt qui lui moulait admirablement le corps. Marc, qui jusque là avait les yeux rivés devant la Télé, ne s'attendait pas à cette apparition et je vis que son regard se porta d'instinct vers les obus de ma copine. Lorsqu'il s'aperçut que je le voyais, il détourna les yeux et aborda un problème de boulot tout ce qui a de plus banal. Je proposai alors à ma copine de nous accompagner en boîte, mais le voyage avait été fatigant et elle m'avoua y être allée la veille «entre filles». Finalement, nous nous sommes résolus à rester à la maison. Pour tuer l'ennui. Sophie nous proposa de jouer aux cartes mais à trois l'éventail des jeux est plutôt réduit. Aussi, après quelques parties de rami, nous avons décidé de nous coucher. Marc prit le canapé du salon tandis que nous nous dirigions vers la chambre qui se trouvait à l'opposé, à côté de la salle de bain et des toilettes. À peine rentrés dans la chambre. Sophie commença à me caresser et je devinai sans peine où elle voulait en venir, mais l'idée de faire l'amour tandis que mon meilleur ami était juste à côté me gênait profondément. D'abord parce que ma chambre n'avait plus de porte depuis quelques temps et que, bien que je le connaisse depuis très longtemps, je ne tenais pas à le mettre dans un situation embarrassante au cas où il se lèverait pour aller aux toilettes, puisqu'il lui serait difficile de nous éviter. Ce n'est pas l'envie qui me manquait mais je refusai les avances de ma copine, qui se faisait de plus en plus pressante. Ayant tout de même accepté un câlin, nous nous sommes endormis mais au bout d'une heure, une chaleur étouffante me réveilla : sans doute le chauffage qui n'avait pas été coupé. Un peu endormi et flemmard, ma copine me devança en se levant pour le fermer. Il faisait si chaud qu'elle enleva son T-shirt, découvrant ses protubérances mammaires qui faisaient tout mon bonheur. Avec les volets ouverts, les lumières de la ville éclairaient assez bien la chambre et je n'avais aucun mal à distinguer sa poitrine qui se dressait fièrement, ses gros tétons pointant vers moi. À chaque fois qu'elle se dévêtait, c'était pareil. Sa poitrine s'avérait un vrai détonateur à libido dont les signes étaient autant visibles qu'incontrôlables. Montée d'adrénaline immédiate combinée à une raideur soudaine au bas ventre. Malgré l'habitude et nos relations intimes, ça marchait à chaque fois et pour moi, c'est un peu comme la première fois où je l'ai vue nue. À ce moment, plus question de penser à Marc, qui sans doute devait dormir depuis un bout de temps. Je lui fis un sourire et elle s'approcha de moi. Je commençai donc à l'embrasser et visiblement elle n'attendait que ça. J'ôtai à mon tour mon T-shirt et je la pris dans mes bras, sentant ses formes délicieuses contre mon torse. Je continuai à l'embrasser tendrement tandis qu'elle parcourait mon dos de ses mains pour venir caresser mes fesses. Doucement, mes baisers descendaient dans son cou puis sur ses épaules pour se terminer par sa poitrine. Je

» rencontres à Vezin-le-Coquet

DIMANCHE 24 JUIN 2012

Pour répondre à cette annonce et voir la vidéo, Veuillez indiquer :

@