SOCIÉTÉ SECRÈTE - PRESQUE NUE !...

Je finis par retourner faire mes courses au supermarché. L'habitude aidant, je n'exposais plus mon anatomie à tout va. Je dois dire que je faisais tourner les regards sur mon passage. Bref je me sentais bien. Pourtant j'arrivai un jour au rayon frais face à la femme au yaourt accroupie à ranger son étale. Je m'arrêtai, pétrifiée. Elle ne me vit pas de suite. Sûrement, mes pieds à ses côtés. Elle monta lentement le long de mes jambes. Me fixa du regard. - Vous voulez quoi ? J'esquissai un geste. - Servez-vous. Je me penchai pour attraper mon article. - Bougez pas. Bordel, j'en étais sûre ! Elle se leva et me regarda de derrière. - Ça vous plaît de monter votre cul ? Putain de salope, elle jute déjà. Qu'est-ce que tu veux ? Te masturber ? Fais-le ! Que je te foute la main au cul ? C'est ça ? Oui bordel c'est ça ! Hein, c'est ça ? Je ne pouvais plus bouger. Elle écarta mes lèvres et fouilla mon sexe. J'ai pris mon pied comme jamais. Elle est ressortie. Mes jambes, mon sexe étaient trempés. Elle s'essuya la main sur mon chemisier l'ouvrant à moitié au passage. - Lève-toi sale pute ! Putain, je suis sûre que si je te dis de faire tes courses comme ça tu vas le faire. Va faire tes courses ! La jupe sur le pubis, un sein hors du chemisier, je ne pus résister. Je me dirigeai vers la sortie du rayon. - Stop ! Elle le fait. Merde, elle le fait ! Je me suis arrêtée net comme un robot. Elle s'est approchée. - Habillez-vous ! Je sais pas ce qui vous arrive mais, pff ! Je finis dans une heure. Je vous retrouve au bar en face. J'ai fini mes courses, honteuse. J'ai repris confiance en rangeant mes emplettes à la maison. Je suis retournée l'attendre au bar. L'heure approchant, je me remémorais la scène. Je devenais de plus en plus honteuse. Elle arriva. Je n'avais qu'une envie : partir me cacher. Je me criais de rage de fuir. Mais mon corps ne bougeais pas. Elle s'installa, se présenta et s'excusa de ce quelle m'avait demandé de faire. Je ne répondis pas. Non pour la mettre dans l'embarras, simplement par honte du sujet. Elle continua en disant que ce n'était pas une raison parce que je me laisse faire qu'il fallait en profiter. Je ne disais toujours rien. Cela l'irrita. - Dis quelque chose enfin. Pourquoi tu fais ça ? Je me présentai. Elle lança :«C'est tout !» Et partit dans un monologue volubile. Je la regardai, morte de peur. Je n'arrivais pas à bouger le petit doigt. Je sentais que si elle me demandait n'importe quoi, je serais incapable de lui refuser. Que mon esprit hurlerait ! Mais que mon corps le ferait. - Réponds ! Bouge ! Dis quelque chose ! Si je te demande de faire un truc, tu vas le faire. Alors parle ! Je la sentais qui s'énervait. - Bon lève-toi et déshabille-toi ! Je tentai de résister mais je me levai et ouvris un bouton de chemise. - Stop ! Assise ! On est mal partie. On prend un verre. Qu'est-ce que tu bois ? Je répondis. Elle passa commande. Nous nous sommes détendues durant le verre. Elle a parlé d'elle. Elle me regardait, haussait les épaules. - Je crois que t'as besoin de calme pour parler de ça. Je t'invite. Pas chez moi, y'a rien à manger, pensa-t-elle à haute voix. Un resto ? Non pas possible, ajouta-t-elle en me regardant. Bon, une seule solution, chez toi ! Elle s'est levé et a payé la boisson. Je l'ai suivi, nous sommes rentées chez moi. Elle entra dans mon appartement comme si c'était le sien. Elle réussit à détendre suffisamment l'atmosphère. Je lui racontai comment cela avait commencé. - Je ne vois qu'un remède. C'est ta chambre ! Nous sommes arrivées devant mon armoire. Elle a sorti une robe que je n'avais pas pu raccourcir. Elle fouilla mon tiroir à sous-vêtements. Sortit de la dentelle. Et me tendit le tout. Je la regardais. Elle me fit signe. Tremblante je défis un bouton. J'eus un mal fou à enlever mon chemisier. Elle fit mine de s'impatienter. Je me retrouvai nue. Elle me tendit mes dessous. La guêpière ne fut pas difficile à mettre. Je fus incapable d'enfiler le slip. Elle me serra dans ses bras. Elle me demanda d'essayer encore. Je m'effondrai. Elle me le mit. Et me passa la robe. Elle me cajola. Nous avons passé une soirée sympathique. Elle était gentille et avenante. Je

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VENDREDI 23 AOûT 2013

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