STRICTEMENT CUL

J'ai reçu une éducation assez stricte, j'ai fréquenté les meilleures écoles privées de l'Oise J'ai été élevée dans une famille bourgeoise où le sexe était complètement tabou. Mais à trop vouloir interdire les choses Du coup, il n'y avait que ça qui m'intéressait et beaucoup plus que les études. Au lycée privé, et avec quelques copines aussi curieuses que moi, on s'échangeait des romans assez crus. Le seul endroit possible pour lire discrètement quelques pages de ces récits interdits était les toilettes de l'internat. Je mouillais comme une folle de lire toutes ces choses qui, en même temps, me mettait la chatte en feu et faisait durcir le bout de mes seins. Il m'était impossible de sortir des toilettes sans m'être masturbée, obligée de jouir silencieusement en mordant mes lèvres car nous étions très surveillées. Je ne compte pas les orgasmes pris sur la cuvette des W. C… les cuisses largement écartées et une main sur ma fente et mon clitoris. Des orgasmes souvent rapides mais toujours délicieux. J'ai été dépucelée un mercredi après-midi par mon professeur de piano. J'avais un corps qui prenait de belles formes, une tête bourrée des envies les plus folles et avec lui, je m'amusais à tester mon pouvoir de séduction. Est-ce que je pouvais faire bander un homme qui avait vingt ans de plus que moi ? Cela m'excitait de l'allumer et de me montrer chaque fois plus provocante et plus perverse pour le pousser à bout. Il s'appelait Vincent, il me plaisait et me faisait nettement plus fantasmer que les garçons de mon âge. C'était un homme divorcé qui, visiblement, collectionnait les maîtresses. Il a fini par craquer. Ce jour-là, je n'avais pas mis de soutien-gorge et je portais un chemisier que j'avais volontairement dégrafé jusqu'au nombril. Pendant que je faisais mes gammes, il pouvait profiter d'une belle vue plongeante sur mes seins avec leurs tétons en permanence érigés qui pointaient sous le tissu. C'est à cette époque que j'ai pris conscience de mon petit côté exhib… un tempérament qui n'a fait que s'accentuer par la suite. Je sentais que Vincent n'avait qu'une envie : glisser sa main à l'intérieur de mon chemisier léger pour profiter d'une jeune poitrine consentante. Mais c'est par un autre côté qu'il s'est manifesté et le seul fait d'avoir sa main sur ma cuisse m'a fait frissonner de la tête aux pieds. Mes doigts se sont mis à trembler et j'ai fermé les yeux. Quelques minutes plus tard, j'étais quasiment nue sur le canapé de la salle de musique de mon professeur. Il avait une belle queue, fine mais longue et si raide qu'elle restait plaquée contre son ventre. Pendant un long moment, je me suis laissée faire, ne prenant aucune initiative. J'étais trop émue et intimidée. Vincent s'est occupé de ma poitrine, rendant mes pointes si dures qu'elles en devenaient douloureuses et lorsqu'il a retiré ma culotte, j'étais si excitée que ma chatte était déjà trempée. Il m'a léchée, branlée et je gémissais encore plus fort que lorsque je me masturbais. Puis, tenant sa queue entre ses doigts, il m'a demandé : - Suce-moi un peu ! Il était debout, j'étais assise sur le sofa et j'ai empoigné sa queue tandis que mon autre main glissait vers ma chatte. J'ai sucé la queue tout en me caressant et en écoutant les conseils de Vincent. C'est à ce moment là que j'ai compris que le sexe était la meilleure chose au monde. J'étais si ouverte d'envie et si mouillée d'excitation que je n'ai ressenti aucune douleur lorsque Vincent m'a pénétrée. Au bout de quelques secondes, je jouissais déjà et cet orgasme a complètement transformée ma vie. Vincent a été un excellent initiateur. Par la suite, je n'ai pas beaucoup fait de progrès au piano mais question baise, je me débrouillais de mieux en mieux chaque semaine. Il faut dire que je passais plus de temps à faire l'amour avec lui que sur le clavier. Et j'ai appris tout ce qu'un homme pouvait faire avec une femme : les liens, les petites fessées, la sodomie, le plaisir des mots crus, les jouets sexuels, l'épilation intime et bien d'autres choses encore. Cela a duré trois à quatre mois puis, toujours en couchant avec Vincent, j'ai eu des relations avec d'autres hommes. Mon besoin de jouir était quotidien et les orgasmes du mercredi après-midi ne me suffisaient plus. Attendre une semaine, c'était bien trop long et me

» Plan cul Bailly-Romainvilliers

MERCREDI 12 FéVRIER 2014

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