VIERGE ET POURTANT COMBLÉE

Je me réveille avec une sensation bizarre. Je suis allongée sur le grand lit de Montse, à présent nue comme un ver. Il fait tout noir. Je suis sur le ventre. J'essaie de me retourner, mais mes bras et mes jambes sont attachées. Mes poignets et mes chevilles sont liés aux montants du lit et, si je ne vois rien de ce qui se passe dans la pièce, c'est parce qu'un bandeau noir recouvre mes yeux. J'entends des chuchotements que je ne peux identifier. - Elle se réveille ! C'est une voix de fille. - On va s'amuser, mais on est bien d'accord, personne ne la dépucèle ! Je commence à être vraiment inquiète. Pourtant, je sens en même temps mon ventre qui s'échauffe. Deux mains se posent sur ma nuque et massent mes épaules. C'est agréable. Deux autres, plus douces, caressent mon dos, mes fesses, se glissent sous mon corps pour palper et apprécier la fermeté de mes seins. J'apprécie tout autant. Deux autres encore caressent mes pieds, remontent doucement sur les mollets, reviennent sur la plante et les talons et massent quelques points sensibles qui me procurent des ondes de plaisir. Je sens une humidité bienfaisante envahir mon sexe. Des doigts crochent alors mes cheveux et ramènent brutalement ma tête en arrière. Aïe ! Une bouche effleure mes lèvres, les force et nos langues se mêlent. Des doigts à présent caressent mes lèvres sans que le baiser ne s'interrompe. J'ouvre grand ma bouche pour happer cette langue délicieuse. Les lèvres me quittent et comme je commençais à m'y attendre, je sens quelque chose de plus dur forcer ma bouche. Ce que je devine être un gland joue alors avec mes lèvres, s'insinue, caresse l'intérieur de mes joues. La main impérieuse qui tient mes cheveux tire plus fort en arrière, et je ne peux réprimer un cri. Le sexe mâle en profite alors pour s'enfoncer davantage et commence à utiliser ma bouche comme un sexe pour se branler entre mes lèvres. L'homme effectue des va-et-vient lents et profonds, me tirant une larme. Je ne peux m'empêcher d'avoir un hoquet quand le gland vient buter au fond de ma gorge. Cela ne fait qu'exciter l'homme qui me ramone de plus belle. Les hoquets se répètent puis, petit à petit, s'espacent et l'homme en profite encore. La queue s'enfonce jusqu'aux couilles. Je sens les poils du sexe qui me chatouillent le nez et le menton un court instant à chaque coup de piston. Je savoure cette première pipe sans pour autant en tirer tout le plaisir que je souhaiterais. J'oscille entre la joie de cette expérience et l'humiliation du traitement qui m'est infligé. Au bout de quelques minutes, les mouvements s'accélèrent encore, deviennent convulsifs, la queue se tend plus encore. Je ressens les soubresauts de jouissance de l'homme, tandis que les jets de sperme giclent au fond de ma gorge. Je ne peux faire autrement que d'avaler le liquide chaud et douceâtre. La queue quitte ma bouche, J'avale une grande goulée d'air, mais déjà un autre sexe, plus petit celui là, vient violer mes lèvres. Cette fois-ci, l'homme ne bouge pas et ce sont les doigts qui me tiennent qui donnent à ma tête les impulsions propices à branler la bite. Je ne sais combien de temps dure le supplice, mais ce sont plus de cinq bites qui vont ainsi se déverser dans ma gorge avec des flots de sperme qui débordent et coulent sur mon cou, ma poitrine ou mes joues. J'entends les chuchotements qui reprennent. Je suis incapable d'identifier les voix nombreuses qui s'entremêlent. - Elle est vierge, d'accord, mais son cul est libre, non ? Je n'ai pas le temps de réagir ni d'avoir peur que déjà, je sens deux mains écarter mes fesses sans complaisance. Une langue agile se glisse au plus secret et vient lécher mon sexe et mon cul. Je suis en fait déjà trempée de mouille, et bien vite, mon oeillet s'écarte doucement. Un doigt s'insinue dans mes entrailles, puis un autre, et encore un autre. La douceur des caresses m'indique qu'il s'agit sans doute d'une fille qui me prépare ainsi. Impuissante, je me laisse faire. Je sens que quelqu'un monte sur le lit et vient s'asseoir sur ma main droite. J'identifie une paire de couilles. Devinant ce que l'on attend de moi, je joue mon rôle docile et les caresse aussitôt. Bien vite, un autre homme se présente de même sur ma main gauche. Je le caresse à son tour. La fille à présent a…

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SAMEDI 14 JUILLET 2007

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