LES VIERGES NOIRES - FRÉNÉSIE...

Dans une ville au nord de Grenoble, en France, se trouvait une prison qui n'abritait que des femmes. Récemment, deux femmes de la prison, que l'on appelait les Vierges Noires, semaient la terreur le jour par leurs cris de rage et rendaient folles les autres pensionnaires la nuit par leurs cris de jouissance. Leurs mains et leurs bras faisaient office de verges et leurs antres étaient la proie d'une fureur sexuelle animale. L'écho de leur plaisir résonnait entre les murs de béton comme dans une église et les autres prisonnières, si elles étaient deux et plus dans une cellule, se livraient à des ébats lesbiens. Pour les autres, solitaires, c'était le choix entre la masturbation qui finissait par frustrer ou la crise de nerfs engendrée par la frustration de celles refusant de se masturber. Des femmes séduisaient des gardes féminins et glissaient leurs mains sous les chemises bleus pâles et les pantalons gris foncés, empoignant et pétrissant les seins, fouillant dans les petites culottes, frottant le duvet de la vulve, glissant des doigts, des mains et des bras dans les antres. Une gardienne s'était retrouvée dans le sable de la cour, dénudée, une myriade de mains et de langues se déchaînant dans les endroits les plus intimes de son corps qui se tortillait et se cabrait dans le sable. Elle eut des orgasmes foudroyants. C'est ce que me raconte la directrice de la prison, lorsque nous sommes dans son bureau, un verre de scotch à la main. Je suis le nouveau gardien de la prison. Ma mission : faire cesser la terreur des vierges noires, faire baisser la frustration et la tension sexuelle dans la prison. J'ai ordre d'utiliser les méthodes adéquates, investi de pouvoirs spéciaux pour faire régner l'ordre. La directrice, une grosse tout en rondeurs à la peau brune et aux cheveux noirs tressés en fines mèches torsadées, semble elle-même en chaleur. Sa chemise blanche se déboutonne, un bouton après l'autre, et bientôt la craque de sa poitrine opulente apparaît. Les mamelons sont visibles sous la chemise. Elle porte son verre à ses lèvres énormes et je me sens tout d'un coup somnoler. Elle pose son verre et porte sa main à son pantalon. Le bouton pression saute, la fermeture à glissière s'ouvre, la végétation du Mont de Vénus apparaît, mes yeux se ferment. Un sourire satisfait se dessine sur le visage de la grosse Rosita. Soudain, je suis dans un rêve. On m'a bandé les yeux, menotté les mains et les pieds à ma chaise alors que je dors grâce à un somnifère dans le scotch. Je sens la bouche de la directrice me pomper la verge puis je sens son vagin engloutir ma verge. Elle alterne entre sa bouche et son vagin. Je me réveille. Mes yeux sont ouverts et je ne vois rien. Mon rêve est le reflet de la réalité, je sens bien ma verge glisser en elle, palpiter, enfler et cracher sa semence chaude contre le fond de son vagin. - À partir de maintenant, quand j'aurai soif, je te viderai les couilles, mon beau trésor. Maintenant, écoute bien ceci. J'ai choisi pour toi les prisonnières les plus belles, les plus chaudes et les plus sexuellement frustrées de notre pénitencier. Elles sont ici et elles se sont flattés le duvet en me voyant jouir de ta belle grosse couleuvre. Ton épreuve initiatique est la suivante : satisfaire aux désirs de toutes ces femmes. La récompense : un accès privilégié et illimité à mes orifices. Ne manque pas ta chance. Recharge tes batteries au plus vite. Mon petit Simon, elles vont te vider les oranges comme des vampires qui te pompent le sang. Un «fesse-tival» érotique, mon petit ange. Un homme seul pour une meute de chattes en chaleur. Dieu que tu en as de la chance mon petit ! J'entends les prisonnières qui rient et parlent à voix basse entre elles. Je me sens à la fois ridicule et excité par la situation. Les menottes ne m'inspirent rien de bon. Elle est folle… - J'ai bien vu tes yeux sur mes seins, mes cuisses et ma chatte que tu devinais sous mes vêtements. J'ai bien vu bondir ta bite dans ton pantalon et tu as aimé la sentir exploser dans mon antre. Tu vas réussir parce que tu me veux. Je vais te délivrer de tes entraves et je sais que tu ne te sauveras pas. Effectivement, je reste parce que quelque chose dans mon pantalon grouille d'envie…

» Plan cul Plédran

MERCREDI 16 JANVIER 2008

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