LES VIERGES NOIRES - GESTION DE CRISE

La première Vierge Noire n'en était plus une, ayant fait l'expérience de la chair masculine. La grosse femme aux cheveux longs noirs en nattes porte une main à sa vulve et se lèche les doigts du sperme récupéré. Sa s ur arrive. Elle s'installe mais d'une façon particulière. Les cuisses sur les accoudoirs, les pieds en l'air, face à moi elle vient engloutir mon membre échaudé dans son autre orifice. Sa voix grave et rauque est plaintive à mesure que mon organe dilate son antre de Sodome, jusqu'à venir écraser mes bourses. - Ah oui, j'aime la sentir grosse, palpitante, remplie de sperme. Tu vas me faire éclater en deux quand tu vas jouir en moi. Jouis avec moi, mon petit chéri. Crie avec moi ! Sa bouche se crispe, le regard fauve, les échos de son plaisir résonnent dans mes oreilles et je sens son haleine sur mon visage. Elle fait cracher ma sève brûlante dans ses entrailles diaboliques, m'arrachant des râles à chaque giclée de semence. Un plaisir lancinant me vide de mes dernières forces. Heureusement que c'est la dernière. La plantureuse noire, plus athlétique, plus grande et moins grosse que sa s ur, l'orifice ouvert, d'où coule un filet de semence blanche, qui descend dans le sillon entre ses fesses en forme de poire, revient vers moi après avoir parlé avec sa s ur et me dit : - Cette nuit, dans ma cellule, avec toi je serai femme. J'aime sentir ta grosse (désolé, censuré !) en moi. Tu vas remplir mes fesses de sperme, mon chéri. Ses cuisses sont trempées de la cyprine qui a coulé de son vagin. Elle passe sa main sur ses lèvres vaginales roses, lèche ses doigts et me suce la bouche. Je goûte aux fluides de son anus vierge. - Tu as passé ton initiation avec succès. Tu sembles avoir les compétences requises pour être à notre service, à mon service, déclare la directrice. Il n'y a pas de lit ici pour toi. Tu vas dormir dans le mien, la tête entre mes cuisses, la langue sur ma vulve et ton sexe dans ma bouche… Il y en a de toutes les sortes dans la prison : voleuse, fraudeuse, batteuse, assassine, assoiffée de sexe. L'une de ces dernières, logeant devant la cellule d'une certaine Blanche Neige, supplie celle-ci de lui laisser quelques naines pour se satisfaire. Elle secoue sa porte au point où, un bon jour, le verrou cède. C'est une bête musclée avec une physionomie à la Serena Williams. Elle se rue sur la porte de Blanche Neige. La caméra la capte, la sirène hurle et l'escouade arrive, c'est-à-dire : MOI. À ma vue, elle entre dans sa cellule. Me regardant, elle glisse sa main dans sa culotte, se frotte l'entrejambe et la ressort, mouillée de cyprine. Je lui menotte les mains à la fenêtre de sa cellule. Son pantalon et sa petite culotte tombent. Un gros saucisson à la main, je l'enfonce dans son con, le faisant tourner, arrachant des cris à la bête. Son clitoris est mis à contribution et elle finit par avoir un orgasme, qui coince le saucisson dans son vagin. Dans son autre orifice, je glisse une carotte grand format. Les antres pleins, elle se cambre de plaisir. - Je la reconnais ta voix, lui dis-je en lui jouant dans les cheveux. J'ai reconnu tes soupirs, ta voix est celle qui m'a fait le plus frémir lors de mon initiation. Tu as voulu que je t'enfile par le petit trou. C'est ce que tu aimes, n'est-ce pas ? Tu sais, des prisonnières satisfaites, ce sont des prisonnières qui pensent moins à arracher la porte de leurs cellules. Je suis ici pour calmer tes angoisses, lui dis-je à l'oreille en caressant l'intérieur de ses cuisses et sa vulve rasée. Je libère ses antres des godemichés de cuisine et entame la suite. Je détache une main et fait pivoter la femme pour l'attacher, dos à la fenêtre. Les deux mains menottées, je sors mon organe par la braguette. L'organe gonflé qui pointe son ogive vers elle lui allume les yeux. Elle pousse un petit soupir, en pressentant son plaisir. Je la prends par l'arrière des jambes et viens les appuyer contre sa poitrine. Je n'ai qu'à

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SAMEDI 18 JANVIER 2014

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