LE VOISIN AUDACIEUX

La journée précédente avait été infernale. Un surplus de boulot, des courses de dernières minutes dans les magasins de lingerie fine ; tu aimes les beaux dessous. Puis le tout se terminant par une randonnée à l'épicerie. Tu étais crevée comme jamais. Après une bonne nuit de sommeil, récupérant au creux de ton lit douillet, tu es restée un long moment allongée comme une paresseuse tandis que le réveil faisait tranquillement son travail. Le souvenir des événements que tu avais vécu te troublait profondément, te harcelait. Quelques jours auparavant, le voisin de pallier, un beau gosse d'un certain âge, fière allure, te croisant dans les corridors, te laissant perplexe… Tu ne pouvais te sortir de l'esprit sa façon de te dévisager et de dévorer ton corps d'un regard. La dernière fois sur le balcon, allongée pour te faire dorée la peau aux chauds rayons du soleil, il s'était manifesté sur le sien, adjacent, revêtu d'un simple short, pour que tu découvres sa belle carrure, ses épaules fortes et sa poitrine découpée, résultat d'un conditionnement soutenu. À cette occasion, tu te retrouvas exposée à son regard, dans un deux pièces qui mettaient en valeur ce que tu as de plus beaux à offrir. Tu le vis s'attarder longuement à te scruter sous toutes tes formes. Tu te mis à rougir, contenant difficilement ton malaise par des mouvements d'inconfort et de petits coups d' il rapide en sa direction. Mais sans pouvoir soutenir l'intérêt qu'il semblait te manifester. Il te salua discrètement de la main et en guise d'introduction, je te dis combien le temps était superbe. Tu fis mine d'acquiescer d'un simple mouvement de la tête. Puis ce que tu avais facilement deviné se confirma : - J'aime bien vous croiser. Vous êtes tellement jolie, te lança-t-il. À ces mots, tu ressentis une douce chaleur t'envelopper. La moiteur de ta peau sous les chauds rayons… Une ondée humecta ta petite culotte. Il avait remarqué ton trouble et l'interpréta comme une timide invitation, le désir de se sentir dans tes bras. Il avait hésité longuement avant d'entreprendre quoi que ce soit. Puis, ce matin là, il ne tint plus. Une sacrée belle fille avec des jambes qui n'en finissent pas, de beaux seins et des fantasmes à rendre fou un homme normalement constitué. Il savait que tu faisais la grâce matinée, tes larges fenêtres étaient encore voilées. En repensant à lui et à la chaleur qu'il pouvait te procurer au creux de ton lit, tu te mis à palper l'énorme godemiché caché sous ton oreiller. Lorsque tu sens l'excitation s'emparer de ta chair, pour soulager l'ivresse du plaisir qui se fait trop envahissant, tu t'adonnes à des plaisirs solitaires et te masturbes sans retenue !!! Tu sens la sève monter en toi et cet instrument, combiné à ton doigté, te permettent de relâcher ces vagues de tension qui se font de plus en plus incontrôlables. Tu vois, il a deviné juste, tu te masturbes et te caresses plusieurs fois par jour quand tu es en période de chaleur. Tu es en pleine action, les yeux mi-clos, te caressant le clito d'une main puis, de l'autre, introduisant un gode à l'intérieur de ton vagin. C'est à ce moment qu'il fait irruption dans la pièce. Par mégarde, tu as oublié de verrouiller la porte d'entrée. Ou était-ce prémédité ? Qui sait ? Sans faire de bruit, il se glisse jusqu'à ta chambre sans que tu n'aies aucun soupçon. Il observe, depuis l'entrebâillement de la porte, ce petit jeu, les mouvements de ton corps pris d'assaut par tes attouchements. Tu as pris soin de repousser le drap au pied du lit pour n'avoir aucune entrave aux caresses qui s'attardent à te peloter la chatte largement ouverte. De l'endroit où il t'observe, quel spectacle, quelle excitation de voir ton corps onduler sous les effets de tes touchés. Il te trouve si attirante, si belle mais il se sent comme un intrus, un voyeur. Pourtant, il te désire si ardemment que c'est plus fort que lui. - Salut ! Puis-je m'approcher ? Sans attendre la réponse, il s'avance vers toi alors que, stupéfiée, tu t'es recouverte rapidement. Il sent et comprend le bouleversement que sa seule présence produit dans de telles circonstances. - Oh, je vous en prie, laissez-moi seule. Vous vous êtes introduit chez moi, vous n'aviez pas le droit. Sortez d'ici, sinon je crie. Il te regarde droit dans les yeux et malgré tes menaces.

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SAMEDI 6 AVRIL 2013

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