WEEK-END D'ENFER !

Je m'appelle Darling. Je suis mariée depuis près de 10 ans. Il m'est arrivée quelques fois de tromper mon mari, c'est vrai… Il y a deux ans exactement j'ai eu une aventure formidable avec un homme, celui-ci m'a permis de découvrir le côté salope qui sommeillait en moi. Nous faisions l'amour dans des endroits insolites, bureaux, balcons. Au bout d'un an de cette passion, je me suis lassée et j'ai décidée de reprendre le rôle d'épouse fidèle. Malheureusement, depuis quelques mois, je suis tombée amoureuse de Maurem, un agent de la société dans laquelle je travaille. Maurem était plus jeune que moi, (deux ans) mais m'attirait profondément. Je lui ai révélé mes sentiments il y a un mois et nous avons décidé de nous mettre ensemble. Il me couvait à longueur de journée de regards amoureux et langoureux, et moi sachant que je tenais les cartes, lui imposait un traitement d'enfer. Un petit message pour lui annoncer que je ne porte aucun dessous, un autre pour lui dire que j'ai la chatte en chaleur. Il arrivait alors en courant et moi je le repoussais sans ménagement : j'aimais ça, il me lançait alors des regards suppliants pleins de désir et moi, méchamment, je lui disais non. Je cachais bien mon jeu, car sous mes airs froids et hautains, la bosse visible de son pantalon me laissait imaginer une queue impressionnante. Cela me mettait dans un émoi profond. Plus le temps passait moins je résistais. Un soir à la veille d'un voyage, je n'y tins plus. J'enlevais Maurem à sa belle (il était) marié et nous nous retrouvâmes dans un hôtel de banlieue. Le trajet se déroulait dans un mini bus de fortune, serrés l'un contre l'autre dans un coin. Maurem profitait de la pénombre pour me caresser les cuisses, ses mains douces dessinaient des cercles ronds, tout petits d'abord et qui au fur et à mesure s'agrandissaient. Je me sentais inondée par une douce chaleur. Maurem savait s'y prendre : sa main gravissait centimètre par centimètre l'espace qui le séparait de mon intimité, mais s'arrêtait juste à l'entrée, me laissant un sentiment de faim inassouvi ! Il le savait et il recommençait. En fait, il se vengeait tendrement des diverses frustrations que je lui avais fait subir. Je commençais vraiment à m'impatienter. À peine arrivés à l'hôtel et la porte fermée, je me jetai sur lui comme un fauve sur sa proie. Mes mains se perdirent dans son pantalon duquel je sortis une queue, d'une dimension impressionnante. Il étouffa un gémissement et retroussa ma jupe, il me fit asseoir sur la table de la chambre, mon string fut simplement écartée et d'un mouvement sec il me pénétra, cela déclencha en moi un orgasme violent. Les jambes sur ses épaules, je me sentais pleine, bien remplie par cette queue qui me labourait sans ménagement. Maurem poussait de petits cris, je pensais qu'il allait se libérer lorsqu'il se retira et me retourna sur la table, il joignit mes jambes et écarta les siennes autour des miennes, je le sentais dans toute sa longueur me pénétrer tout doucement et ressortir. Je sentais ses mouvements dans les profondeurs de mes chairs, il prenait son temps et moi je sentais le plaisir naître des extrémités de mes orteils et longer mon corps comme une bande de fourmis envahissantes, je le sentais inexorablement venir et monter sans trop savoir comment il exploserait. Je commençais à être prise de tremblements incontrôlés, mes jambes en coton me supportaient à peine, mes oreilles se mirent à bourdonner et je me sentais prête à exploser lorsque je sentis ses va-et-vient s'accélérer. Il me tenait par les hanches, gémissant de plus en plus fort et cela contribuait à me rendre de plus en plus folle. Au moment où je le sentis exploser au fond de moi, mille pétards explosèrent en moi. Je venais d'atteindre des sommets encore inexplorés de l'extase. Maurem s'affala sur moi et nous dûmes presque nous traîner sur le lit pour reprendre notre souffle. J'essayais de me souvenir de ce qui s'était passé, mais pendant de longues minutes, mon esprit demeura embué par le plaisir. Je m'assoupis quelques instants plus tard. Je fus réveillée par une douleur atroce au niveau du bassin. Elle me tenaillait le sexe et m'empêchait de bouger. Malgré tous mes efforts, je ne parvenais pas à faire le moindre geste. Pendant de longues minutes, je restai là incapable de bouger sous le regard effaré de Maurem. L'heure

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VENDREDI 9 DéCEMBRE 2011

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